J’ai écrit à un site de Somaliens vivants aux Pays-Bas pour comprendre ce que cette pauvre fille dit aux criminels barbares qui l’enterrent avant de procéder à sa lapidation. Les seules phrases déchiffrables de cette fille suppliciée dont on peut imaginer la souffrance et l’angoisse terrible sont les suivantes : « Je vous jure que je n’ai rien fait de mal…, il m’a juste embrassé…Au nom d’Allah ne me faite pas de mal, laissez-moi voire ma mère et mes sœurs. Au nom d’Allah laissez-moi revenir chez mes parents… ».
Un rocher aurait entendu cet appel à la clémence, mais pas ces infrahumains à l’islam nauséabond. Les criminels sont les sinistrement célèbres « Shebab », un groupe islamiste issu de fraction de « L’union des tribunaux islamiques » qui sévissent en Somalie depuis une dizaine d’années. Ils ont été financé et armé par le Qatar et, jusqu’à ce jour, Al-Jazeera en parle comme d’héroïques résistants. Ils appartiennent à la même secte wahhabite des Qataris et des Saoudiens. Parmi les rares pays qui pratiquent la lapidation, il y a l’Arabie Saoudite, le Qatar, l’Afghanistan et l’Iran.
Pourtant, la lapidation n’a jamais été autorisée par le Coran. La racine même du mot RAJM n’existe pas dans le Coran, livre supposé être l’autorité suprême en islam. Que dit le Coran ? « Celles de vos femmes qui forniquent, faites témoigner à leur encontre quatre d'entre vous. S'ils témoignent, alors confinez ces femmes dans vos maisons jusqu'à ce que la mort les rappelle ou qu'Allah décrète un autre ordre à leur égard. " (4, 15). Dans un autre verset, le châtiment de la femme ou de l’homme adultère est 100 coups de fouet. Il n’est donc pas question de lapidation dans le Coran, pas même le mot. D’où vient donc cette pratique barbare ? D’une certaine interprétation de la Sunna (tradition prophétique).
En réalité, la lapidation a pour origine la Loi juive. Grace à la sagesse de certains rabbins, elle est progressivement tombée en désuétude. Elle devait être transmise aux chrétiens mais, dans son infinie bonté, Jésus l’a abolie. Voici le récit de cette abolition selon les Evangiles :
« Et Jésus gagna le mont des Oliviers. Dès le point du jour, il revint au temple et, comme tout le peuple venait à lui, il s'assit et se mit à enseigner. Les scribes et les Pharisiens amenèrent alors une femme qu'on avait surprise en adultère et ils la placèrent au milieu du groupe. « Maître, lui dirent-ils, cette femme a été prise en flagrant délit d'adultère. Dans la Loi, Moïse nous a prescrit de lapider ces femmes-là. Et toi, qu'en dis-tu ? » Ils parlaient ainsi dans l'intention de lui tendre un piège, pour avoir de quoi l'accuser. Mais Jésus, se baissant, se mit à tracer du doigt des traits sur le sol. Comme ils continuaient à lui poser des questions, Jésus se redressa et leur dit : « Que celui d'entre vous qui n'a jamais péché lui jette la première pierre ». Et s'inclinant à nouveau, il se remit à tracer des traits sur le sol. Après avoir entendu ces paroles, ils se retirèrent l'un après l'autre, à commencer par les plus âgés, et Jésus resta seul. Comme la femme était toujours là, au milieu du cercle, Jésus se redressa et lui dit : « Femme, où sont-ils donc ? Personne ne t'a condamnée ? » Elle répondit : « Personne, Seigneur », et Jésus lui dit : « Moi non plus, je ne te condamne pas : va, et désormais ne pèche plus » Jésus, à nouveau, leur adressa la parole : « Je suis la lumière du monde. Celui qui vient à ma suite ne marchera pas dans les ténèbres ; il aura la lumière qui conduit à la vie ».
Dans la Sunna, on retrouve à peu près la même symbolique. Abd'Allah Ben Burydah a rapporté de la part de son père qu'une femme (al-Gamidya) a dit au prophète : "ô Messager d'Allah ! J'ai forniqué, purifie-moi." Mais le prophète l'a renvoyée. Le lendemain, elle lui a dit "Ô Messager d'Allah ! Pourquoi tu me renvoies ?! Me renvoies-tu comme t'as renvoyé Maëz ! Par Allah, je suis enceinte " Il lui répondit : "Bon, vas-t-en et reviens quand tu auras accouché." (dans quelques mois). Quand elle a donné naissance à son garçon, elle le lui a apporté dans une étoffe et elle a dit : "Le voilà, je l'ai mis au monde" "Vas l'allaiter et reviens après sevrage" répondit le prophète (c’est-à-dire dans 3 à 4 ans). Quand elle l'a sevré, elle lui a apporté le gamin portant un morceau de pain à la main et a dit : "Le voilà, ô Messager d'Allah ! Je l'ai sevré et il s'est bien nourri." C’est à partir de là que divergent les rapporteurs de la tradition. Pour les uns, Mohamed aurait ordonné sa lapidation et le sang aurait giclé de sa tête sur la chemise de Khalid Ibn el-Walid. Pour d’autres, Mohamed lui aurait dit la même phrase de Jésus à Marie-Madelaine.
Selon nous, Mohamed ne peut pas avoir autorisé une telle horreur. Le fait de renvoyer cette femme à trois reprises est hautement significatif. Et si certains musulmans continuent à soutenir que la lapidation est dans la Sunna et dans la Charia, alors au diable leur Sunna et leur Charia.Tunisie-Secret.com
Karim Zmerli
Un rocher aurait entendu cet appel à la clémence, mais pas ces infrahumains à l’islam nauséabond. Les criminels sont les sinistrement célèbres « Shebab », un groupe islamiste issu de fraction de « L’union des tribunaux islamiques » qui sévissent en Somalie depuis une dizaine d’années. Ils ont été financé et armé par le Qatar et, jusqu’à ce jour, Al-Jazeera en parle comme d’héroïques résistants. Ils appartiennent à la même secte wahhabite des Qataris et des Saoudiens. Parmi les rares pays qui pratiquent la lapidation, il y a l’Arabie Saoudite, le Qatar, l’Afghanistan et l’Iran.
Pourtant, la lapidation n’a jamais été autorisée par le Coran. La racine même du mot RAJM n’existe pas dans le Coran, livre supposé être l’autorité suprême en islam. Que dit le Coran ? « Celles de vos femmes qui forniquent, faites témoigner à leur encontre quatre d'entre vous. S'ils témoignent, alors confinez ces femmes dans vos maisons jusqu'à ce que la mort les rappelle ou qu'Allah décrète un autre ordre à leur égard. " (4, 15). Dans un autre verset, le châtiment de la femme ou de l’homme adultère est 100 coups de fouet. Il n’est donc pas question de lapidation dans le Coran, pas même le mot. D’où vient donc cette pratique barbare ? D’une certaine interprétation de la Sunna (tradition prophétique).
En réalité, la lapidation a pour origine la Loi juive. Grace à la sagesse de certains rabbins, elle est progressivement tombée en désuétude. Elle devait être transmise aux chrétiens mais, dans son infinie bonté, Jésus l’a abolie. Voici le récit de cette abolition selon les Evangiles :
« Et Jésus gagna le mont des Oliviers. Dès le point du jour, il revint au temple et, comme tout le peuple venait à lui, il s'assit et se mit à enseigner. Les scribes et les Pharisiens amenèrent alors une femme qu'on avait surprise en adultère et ils la placèrent au milieu du groupe. « Maître, lui dirent-ils, cette femme a été prise en flagrant délit d'adultère. Dans la Loi, Moïse nous a prescrit de lapider ces femmes-là. Et toi, qu'en dis-tu ? » Ils parlaient ainsi dans l'intention de lui tendre un piège, pour avoir de quoi l'accuser. Mais Jésus, se baissant, se mit à tracer du doigt des traits sur le sol. Comme ils continuaient à lui poser des questions, Jésus se redressa et leur dit : « Que celui d'entre vous qui n'a jamais péché lui jette la première pierre ». Et s'inclinant à nouveau, il se remit à tracer des traits sur le sol. Après avoir entendu ces paroles, ils se retirèrent l'un après l'autre, à commencer par les plus âgés, et Jésus resta seul. Comme la femme était toujours là, au milieu du cercle, Jésus se redressa et lui dit : « Femme, où sont-ils donc ? Personne ne t'a condamnée ? » Elle répondit : « Personne, Seigneur », et Jésus lui dit : « Moi non plus, je ne te condamne pas : va, et désormais ne pèche plus » Jésus, à nouveau, leur adressa la parole : « Je suis la lumière du monde. Celui qui vient à ma suite ne marchera pas dans les ténèbres ; il aura la lumière qui conduit à la vie ».
Dans la Sunna, on retrouve à peu près la même symbolique. Abd'Allah Ben Burydah a rapporté de la part de son père qu'une femme (al-Gamidya) a dit au prophète : "ô Messager d'Allah ! J'ai forniqué, purifie-moi." Mais le prophète l'a renvoyée. Le lendemain, elle lui a dit "Ô Messager d'Allah ! Pourquoi tu me renvoies ?! Me renvoies-tu comme t'as renvoyé Maëz ! Par Allah, je suis enceinte " Il lui répondit : "Bon, vas-t-en et reviens quand tu auras accouché." (dans quelques mois). Quand elle a donné naissance à son garçon, elle le lui a apporté dans une étoffe et elle a dit : "Le voilà, je l'ai mis au monde" "Vas l'allaiter et reviens après sevrage" répondit le prophète (c’est-à-dire dans 3 à 4 ans). Quand elle l'a sevré, elle lui a apporté le gamin portant un morceau de pain à la main et a dit : "Le voilà, ô Messager d'Allah ! Je l'ai sevré et il s'est bien nourri." C’est à partir de là que divergent les rapporteurs de la tradition. Pour les uns, Mohamed aurait ordonné sa lapidation et le sang aurait giclé de sa tête sur la chemise de Khalid Ibn el-Walid. Pour d’autres, Mohamed lui aurait dit la même phrase de Jésus à Marie-Madelaine.
Selon nous, Mohamed ne peut pas avoir autorisé une telle horreur. Le fait de renvoyer cette femme à trois reprises est hautement significatif. Et si certains musulmans continuent à soutenir que la lapidation est dans la Sunna et dans la Charia, alors au diable leur Sunna et leur Charia.Tunisie-Secret.com
Karim Zmerli
Vidéo censuré par Youtube
Si vous voulez savoir la vérité sur la lapidation en islam.
http://oumma.com/Entretien-avec-le-Professeur,960