Je constate que la pauvre Sihem Ben Sedrine est trop crispée, trop grimaçante, trop coincée du popotin, pour être honnête, et, ne pas cacher, bien profondément, de lourds secrets, eux-aussi, bien archivés...
On pourrait aller jusqu'à imaginer qu'elle a dû se faire, Marzoukiser et Tartouriser, de fond en comble, pour la voir tenter un véritable hold-up des Archives de la Présidence, avec, heureusement, à la clé juste une consternante tentative magistralement ratée...
Et, à partir de ce simple constat, il n'y aurait plus qu'un tout petit pas à faire pour y voir le sauvetage désespéré de son honneur fictif, et, aussi, celui de ses aussi silencieux qu'anonymes bailleurs de fonds, tout autant mouillés et, chacun d'eux, avec un sombre passé, plus ou moins long, et surtout très compromettant...
"Le temps use l'erreur et polit la vérité", et, alors, viendra un jour prochain, la fin des scellés immondes qui marquera le clap final de la success-story de ce bien vilain feuilleton people, tout à la fois trompeur et non-exhibitionniste : "Sihem et les mauvais garçons"...
Le moins que l'on puisse dire est que la présidente de l’Instance Vérité et dignité (IVD), Sihem Ben Sedrine, n'a pas froid aux yeux (ni au reste, visiblement...), et semble, en toutes circonstances, sûre de son bon droit, comme elle l'a montré un dimanche soir sur le plateau de « Ceux qui osent seulement » (Liman Yajroo fakat) sur Al Hiwar Ettounsi, en révélant que l'instance qu'elle dirige a réclamé un budget de 30 millions de dinars pour l'année 2015.
La morale de cette professionnelle de la double-faces est, elle aussi, double : en premier lieu, "l'amour ce n'est pas le sacrifice, c'est le don de soi-même", couplé en second lieu au séduisant "quand on aime, on ne compte pas". Je tiens à souligner et à rendre un hommage appuyé à la très digne Sihem Ben Sedrine, qui, visiblement, se l'est appliquée de façon aussi purement, pragmatique que les vertus du salutaire vieil échange de bons procédés, afin d'assurer et d'améliorer sensiblement son ordinaire...
Post-scriptum : est-il possible que la Grande Prêtresse de l’Instance Vérité et dignité (IVD) ne soit qu'une fausse mangouste dissimulant une vraie Escorte politique qui ne serait qu'une indigne et insigne courtisane non-déclarée ? D'autant plus qu'elle a, paraît-il, poussé la fibre révolutionnaire jusqu'à devenir la protégée, elle aussi, de Tabal El Hnoucha, qui l'a installée à ce poste, et moi, qui naïvement croyais que Sihem ("Sihâm") voulait dire celle qui est comme une flèche, comme un trait...
Eddie Mahdhi
https://www.facebook.com/groups/leverbeetlejasmin/permalink/903296239705062/
On pourrait aller jusqu'à imaginer qu'elle a dû se faire, Marzoukiser et Tartouriser, de fond en comble, pour la voir tenter un véritable hold-up des Archives de la Présidence, avec, heureusement, à la clé juste une consternante tentative magistralement ratée...
Et, à partir de ce simple constat, il n'y aurait plus qu'un tout petit pas à faire pour y voir le sauvetage désespéré de son honneur fictif, et, aussi, celui de ses aussi silencieux qu'anonymes bailleurs de fonds, tout autant mouillés et, chacun d'eux, avec un sombre passé, plus ou moins long, et surtout très compromettant...
"Le temps use l'erreur et polit la vérité", et, alors, viendra un jour prochain, la fin des scellés immondes qui marquera le clap final de la success-story de ce bien vilain feuilleton people, tout à la fois trompeur et non-exhibitionniste : "Sihem et les mauvais garçons"...
Le moins que l'on puisse dire est que la présidente de l’Instance Vérité et dignité (IVD), Sihem Ben Sedrine, n'a pas froid aux yeux (ni au reste, visiblement...), et semble, en toutes circonstances, sûre de son bon droit, comme elle l'a montré un dimanche soir sur le plateau de « Ceux qui osent seulement » (Liman Yajroo fakat) sur Al Hiwar Ettounsi, en révélant que l'instance qu'elle dirige a réclamé un budget de 30 millions de dinars pour l'année 2015.
La morale de cette professionnelle de la double-faces est, elle aussi, double : en premier lieu, "l'amour ce n'est pas le sacrifice, c'est le don de soi-même", couplé en second lieu au séduisant "quand on aime, on ne compte pas". Je tiens à souligner et à rendre un hommage appuyé à la très digne Sihem Ben Sedrine, qui, visiblement, se l'est appliquée de façon aussi purement, pragmatique que les vertus du salutaire vieil échange de bons procédés, afin d'assurer et d'améliorer sensiblement son ordinaire...
Post-scriptum : est-il possible que la Grande Prêtresse de l’Instance Vérité et dignité (IVD) ne soit qu'une fausse mangouste dissimulant une vraie Escorte politique qui ne serait qu'une indigne et insigne courtisane non-déclarée ? D'autant plus qu'elle a, paraît-il, poussé la fibre révolutionnaire jusqu'à devenir la protégée, elle aussi, de Tabal El Hnoucha, qui l'a installée à ce poste, et moi, qui naïvement croyais que Sihem ("Sihâm") voulait dire celle qui est comme une flèche, comme un trait...
Eddie Mahdhi
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