Al-Jazeera n’est pas une télévision d’information mais un outil de propagande islamiste au service d’une monarchie réactionnaire, vendue aux Etats-Unis, à la Grande Bretagne et à Israël. Jusqu’à la « révolution du jasmin », que les services de renseignements américains ont fait faire aux jeunes tunisiens, Al-Jazeera passait pour une télévision libre, indépendante et sensible aux causes arabes. C’est à partir de l’invasion de la Libye que la chaîne de Hamad et Moza a révélé son véritable visage : désinformation, manipulation, diversion, faux témoignages, fabrication de scènes de guerre, reportages fictifs…Tout a été mis en œuvre pour enflammer les peuples tunisien, égyptien et yéménite. Tout a été mis en œuvre pour couvrir d’une cire morale l’invasion armée de la Libye qui a fait près de 150 000 morts et la destruction du régime Kadhafi. Tout est encore mis en œuvre pour anéantir la Syrie, dernière ligne de défense de la « cause arabe »et dernier maillon à faire sauter avant d’ouvrir les portes de l’Iran.
En perte de vitesse, Al-Jazera joue sur la fibre arabe
Seulement voilà, depuis près d’une année, l’opinion publique arabe a fini par découvrir ce rôle pernicieux qu’Al-Jazeera a joué dans le fameux « printemps arabe », qui a tourné au cauchemar islamiste conformément à l’agenda américain. D’où la haine que vouent les Tunisiens, les Algériens, les Egyptiens et les Syriens à cette chaîne de propagande islamo-impérialiste. Conscients de la perte totale de toute crédibilité, les stratèges anglais et américains de cette chaîne essayent depuis peu de restaurer l’image d’une Al-Jazeera « fidèle aux causes arabes » et à la « liberté des peuples ». Ils veulent ainsi jouer à nouveau sur la fibre de l’opinion publique arabe pour pouvoir continuer leur sale besogne en Syrie avant de passer à l’Iran et à l’Algérie.
Le bombardement des locaux d’Al-Jazeera à Bagdad était un coup monté
C’est dans cette stratégie de reconquête de l’opinion arabe qu’il fait décrypter l’affaire Yasser Arafat. Comme quoi, Al-Jazeera cherche toujours la vérité et défend la cause palestinienne dont on parle d’ailleurs de moins en moins depuis le « printemps arabe » ! Il faut rappeler ici que de son vivant, Arafat a subi les pires critiques et les pires calomnies de cette chaîne réactionnaire et intégriste. Tout le temps, l’OLP était discréditée au profit du Hamas. Plus grave et plus machiavélique encore, Al-Jazeera n’hésite pas à sacrifier ses propres correspondants pour redorer son blason. Tel fut le cas de Tayçir Allouni. De même qu’en 2003, lors de l’invasion de l’Irak, le bombardement des locaux d’Al-Jazeera à Baghdad a été décidé de concert entre l’émir du Qatar et Donald Rumsfeld. Comme l’avaient révélé la presse anglaise à l’époque, Waddah Kanfar, le directeur d’Al-Jazeera savait que l’aviation américaine allait bombarder les locaux de cette chaîne mais il n’a rien fait pour alerter ceux qui y travaillaient. Le correspondant de cette chaîne, Tarek Ayoub, y a laissé la vie. Le but de cette opération a été atteint puisque le Qatar, d’où partaient les bombardiers américains pour massacrer la population irakienne, est sorti « victime » de cette « agression » américaine.
Et si le Qatar était derrière l’assassinat d’Arafat ?
Aujourd’hui, Al-Jazeera ressort le dossier de la mort de Yasser Arafat, décédé le 11 novembre 2004 à Paris, et affirme que la cause de cette mort est du polonium retrouvé dans les affaires de l’ancien président de l’Autorité palestinienne. Un secret de polichinelle car tout le monde savait que la maladie subite d’Arafat et la dégradation rapide de sa santé n’était pas du tout le fruit du hasard. Si Arafat est mort assassiné, la question serait alors la suivante : à qui profite le crime ? Cette disparition profitait exclusivement à Israël et au Qatar, l’allié stratégique du Hamas et des mouvements islamistes en général. Comme les relations entre le Qatar et Israël ne sont plus un secret pour personne, on vous laisse deviner les assassins du chef historique de la résistance palestinienne !
Rafik Bouchlakha, aux ordres de sa majesté
Synchronie parfaite : dès qu’Al-Jazeera a « révélée cette grande affaire », c’est le ministre « tunisien » Rafik Abdessalem Bouchlakha, que le Qatar a chargé des Affaires étrangères tunisiennes, qui a réclamé à la radio tunisienne Mosaïque FM une « réunion d’urgence de la Ligue arabe et une enquête internationale ». Rafik Bouchlakha, gendre de Rached GHannouchi et ancien salarié d’Al-Jazeera est ainsi chargé de mettre en musique diplomatique une affaire qui remonte à 2004 et que le Qatar cherche à exploiter aujourd’hui pour faire oublier à l’opinion arabe tous les crimes dont cet émirat voyou est responsable en Irak, en Tunisie, en Egypte, en Libye, au Yémen et en Syrie.
En perte de vitesse, Al-Jazera joue sur la fibre arabe
Seulement voilà, depuis près d’une année, l’opinion publique arabe a fini par découvrir ce rôle pernicieux qu’Al-Jazeera a joué dans le fameux « printemps arabe », qui a tourné au cauchemar islamiste conformément à l’agenda américain. D’où la haine que vouent les Tunisiens, les Algériens, les Egyptiens et les Syriens à cette chaîne de propagande islamo-impérialiste. Conscients de la perte totale de toute crédibilité, les stratèges anglais et américains de cette chaîne essayent depuis peu de restaurer l’image d’une Al-Jazeera « fidèle aux causes arabes » et à la « liberté des peuples ». Ils veulent ainsi jouer à nouveau sur la fibre de l’opinion publique arabe pour pouvoir continuer leur sale besogne en Syrie avant de passer à l’Iran et à l’Algérie.
Le bombardement des locaux d’Al-Jazeera à Bagdad était un coup monté
C’est dans cette stratégie de reconquête de l’opinion arabe qu’il fait décrypter l’affaire Yasser Arafat. Comme quoi, Al-Jazeera cherche toujours la vérité et défend la cause palestinienne dont on parle d’ailleurs de moins en moins depuis le « printemps arabe » ! Il faut rappeler ici que de son vivant, Arafat a subi les pires critiques et les pires calomnies de cette chaîne réactionnaire et intégriste. Tout le temps, l’OLP était discréditée au profit du Hamas. Plus grave et plus machiavélique encore, Al-Jazeera n’hésite pas à sacrifier ses propres correspondants pour redorer son blason. Tel fut le cas de Tayçir Allouni. De même qu’en 2003, lors de l’invasion de l’Irak, le bombardement des locaux d’Al-Jazeera à Baghdad a été décidé de concert entre l’émir du Qatar et Donald Rumsfeld. Comme l’avaient révélé la presse anglaise à l’époque, Waddah Kanfar, le directeur d’Al-Jazeera savait que l’aviation américaine allait bombarder les locaux de cette chaîne mais il n’a rien fait pour alerter ceux qui y travaillaient. Le correspondant de cette chaîne, Tarek Ayoub, y a laissé la vie. Le but de cette opération a été atteint puisque le Qatar, d’où partaient les bombardiers américains pour massacrer la population irakienne, est sorti « victime » de cette « agression » américaine.
Et si le Qatar était derrière l’assassinat d’Arafat ?
Aujourd’hui, Al-Jazeera ressort le dossier de la mort de Yasser Arafat, décédé le 11 novembre 2004 à Paris, et affirme que la cause de cette mort est du polonium retrouvé dans les affaires de l’ancien président de l’Autorité palestinienne. Un secret de polichinelle car tout le monde savait que la maladie subite d’Arafat et la dégradation rapide de sa santé n’était pas du tout le fruit du hasard. Si Arafat est mort assassiné, la question serait alors la suivante : à qui profite le crime ? Cette disparition profitait exclusivement à Israël et au Qatar, l’allié stratégique du Hamas et des mouvements islamistes en général. Comme les relations entre le Qatar et Israël ne sont plus un secret pour personne, on vous laisse deviner les assassins du chef historique de la résistance palestinienne !
Rafik Bouchlakha, aux ordres de sa majesté
Synchronie parfaite : dès qu’Al-Jazeera a « révélée cette grande affaire », c’est le ministre « tunisien » Rafik Abdessalem Bouchlakha, que le Qatar a chargé des Affaires étrangères tunisiennes, qui a réclamé à la radio tunisienne Mosaïque FM une « réunion d’urgence de la Ligue arabe et une enquête internationale ». Rafik Bouchlakha, gendre de Rached GHannouchi et ancien salarié d’Al-Jazeera est ainsi chargé de mettre en musique diplomatique une affaire qui remonte à 2004 et que le Qatar cherche à exploiter aujourd’hui pour faire oublier à l’opinion arabe tous les crimes dont cet émirat voyou est responsable en Irak, en Tunisie, en Egypte, en Libye, au Yémen et en Syrie.