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Les deux Kamel franc-maçons qui ont trahi la Tunisie 15/11/2012
Il s’agit de Kamel Eltaïef et de Kamel Jendoubi, du maître et de l’esclave. Le premier a 30ans de bons et loyaux services pour le compte des Etats-Unis. Le second, sioniste notoire, a fait une brillante carrière dans le marketing des droits de l’homme à Paris. Le second doit tout au premier, qui ne faisait rien sans les consignes de l’ambassade américaine à Tunis. Pour que l’opinion tunisienne sache qui sont réellement ces deux étoiles de l’ère nouvelle du jasmin, voici en quelques lignes leurs forfaits et méfaits, en attendant les dossiers qui leur seront consacrés.
On commence par le commencement : Kamel Eltaïef serait victime d’une cabbale judiciaire montée de toute pièce par les islamistes, qui veulent lui faire payer son ralliement à Nidaa Tounès. La ficelle est trop grosse car les islamistes sont bien placés pour savoir que Kamel Eltaïef est intouchable de part sa double immunité de protégé américain et de grand maître de la loge maçonnique de Hammamet. Mais très malin, Eltaïef joue de cette victimisation pour redorer son blason. Et comme le hasard fait bien les choses, Kamel Jendoubi est fidèle au poste pour secourir son mentor. Par reconnaissance du ventre ou par solidarité maçonnique, Kamel Jendoubi étant depuis 1988 membre du Grand Orient de France, loge « Combats ».
Depuis janvier 2011, Kamel Eltaïef se fait passer pour un résistant qui a combattu la dictature de Ben Ali et qui a joué un rôle important dans sa chute. C’est le Kamel côté cour. Le Kamel côté jardin : affairiste véreux qui a joué un rôle crucial dans l’arrivée au pouvoir de Ben Ali et qui, les 10 premières années, a été le vice-président de fait de la dictature tunisienne. Tombé en disgrâce pour corruption et gourmandise financière, il deviendra le premier informateur du microcosme parisien.
Depuis janvier 2011, Kamel Jendoubi se fait passer pour un grand militant des droits de l’homme, qui a payé le prix de son « courage » par 19 ans d’exil. C’est le Kamel côté cour. Le Kamel côté jardin : de nationalité française, il n’était pas exilé mais adopté ! Défenseur du régime bénalien de 1987 à 1995, période pendant laquelle l’UTIT était en étroite collaboration avec l’ATCE et le RCD-France, il changera de cap par dépit, Ben Ali ne l’ayant pas nommé consul de Tunisie à Toulouse, son rêve de jeunesse.
Désigné à la tête de l’ISIE sur recommandation de Kamel Eltaïef, qui a d’ailleurs nommé la moitié du gouvernement Mohamed Ghannouchi et le quart du gouvernement Béji Caïd Essebsi, Kamel Jendoubi est lui-même « victime » d’une « cabbale judiciaire » portant sur les 37 milliards (140 millions d’euros) dépensés dans l’organisation des premières élections « transparentes » et « démocratiques » du 23 octobre 2011.
Vous devinez les raisons pour lesquelles les « frères » Kamel sont plus que jamais solidaires !
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