Devant la mosquée de Paris, Yassine Ayari exhibant la bannière de Daech.
Un daéchien au Parlement tunisien! Ce n’est pas si étonnant dans ce premier pays exportateur de « main d’œuvre » islamo-terroriste dans le monde. Un député représentant la communauté tunisienne en Allemagne ! Pas si étonnant, après tout, au pays de Merkel, devenu seconde pépinière de l’islamisme européen, après la Grande Bretagne et devant la Belgique et la France.
Du fichier "S" au Parlement tunisien!
Ancien cyber-collabo de la galaxie OTPOR-Freedom House, Yassine Ayari (35 ans) est surtout un dangereux illuminé qui n’a jamais caché ses penchants extrémistes, ni en Tunisie ni en France, où il s’est installé il y a sept ans. Selon nos confrères de Kapitalis en date du 18 décembre 2017, « A la mort d’Oussama Ben Laden, ex-chef d’Al-Qaïda tué par un commando américain en Afghanistan, il n’a pas hésité à déclarer qu’il regrettait la disparition du chef d’Al-Qaïda, le qualifiant même de leader exemplaire…Il aurait été renvoyé (de chez Bouygues télécom) pour suspicion de lien avec les filières jihadistes et qu’il a même été fiché S ». Comment donc la candidature d'un tel personnage a t-elle pu être validée par l'Instance supérieure indépendante pour les élections (ISIE) ? A moins que cette instance elle-même compte parmi ses responsables des exécutants de Rached Ghannouchi ou des sympathisants de Daech !
Sur sa page Facebook, Mohsen Marzouk, l’un des pionniers chez Freedom House, a écrit : « Aujourd’hui, le véritable candidat d’Ennahdha a été élu ». De son côté, Hager Ben Cheikh Ahmed, une ancienne thuriféraire radio des Trabelsi, devenue, elle aussi, députée, a révélé ce que nul n’ignore, à savoir que « Yassine Ayari n’a jamais été un candidat indépendant » !
Yassine Ayari n'a jamais été ingénieur
Au fait, contrairement à Kapitalis et à BusinessNews qui sont tombés dans le panneau de cet affabulateur islamiste (il est à l’origine de la légende du «général qui a dit non à Ben Ali », diffusée par Nawat et aveuglement reprise par tout le monde), Yassine Ayari n’est pas et n’a jamais été « ingénieur en informatique ». C’est un technicien supérieur qui a raté ses études en Belgique et qui a été en revanche à la bonne école des cybers-collabo tunisiens, de la même promotion que Slim Amamou, Haythem el Mekki, Lina Ben Mhenni, Emna el Hammi, Amira Yahyaoui, Emna Ben Jemaa, Lamia Slim, Aziz Amami, Malek Khadraoui, Sofiane Chourabi, les frères Gherfali…Maintenant qu’il est député au pays de la « révolution du jasmin », qu’il rende public son CV et qu’il publie son diplôme d’ingénieur !
C’est à la suite de la démission du député Hatem Ferjani, élu sur la circonscription d’Allemagne et nommé depuis secrétaire d’Etat au Affaires étrangères, que des élections législatives partielles en Allemagne ont été décidées. Coût de l’opération supervisée par « l’Instance supérieure indépendante pour les élections », 700 000 dinars ! Au début, c’est Hafedh Caïd Essebsi, fils du Bey blanchisseur des Frères musulmans en Tunisie, qui devait empocher ce poste vacant de député. Pour les petits stratèges de Carthage, notamment l’ex-Rcédiste et affairiste véreux Abderraouf Khamassi, ce stratagème devait assurer la voie de la succession du fils-prodige au père-renégat. Mais, conscient de son échec probable, Hafedh Caïd Essebsi s’est finalement rétracté.
Les ambitions du fils du saint père ont ainsi coûté à la Tunisie près de 700 000 dinars, un affront dans un pays en faillite économique, qui peine à payer son administration devenue depuis 2011 pléthorique et qui va devoir bientôt quémander à l'étranger d'autres crédits à des taux d'intérêt excessivement élevés. Hathem Ferjani, le député qui était élu sur la circonscription d'Allemagne et qui est devenu depuis septembre 2017 secrétaire d'Etat auprès du ministre des Affaires étrangères, n'aurait jamais dû quitter l'assemblée dite nationale d'autant plus que les ministrables et les secrétaires d'Etats se ramassent à la pèle au pays de la "révolution" de la Brouette. C'est le caprice d'un fils à papa et la courtisanerie d'un ramassis de politiciens mafieux qui ont ouvert un grand boulevard à un daéchien sans complexe.
Le début de la fin de Nidaa Tounès
Près de 25 candidats concouraient à ce poste bien convoité, et pour cause : un salaire juteux versé en devise, deux voyages par mois Paris-Tunis, un passeport diplomatique…Et c’est finalement le vrai faux « ingénieur » qui rafle la mise. En plus du salaire, des deux billets d’avions mensuelles Paris-Tunis, Tunis-Paris, ce condamné de droit commun en Tunisie aura l’immunité parlementaire. Il a obtenu à peine 263 voix sur 1325, en sachant qu’il y a en Allemagne 26438 électeurs inscrits dans les différents consulats. Artisan de cette victoire foudroyante, le parti des Frères musulmans locaux, Ennahdha -qui a financé la campagne de Yassine Ayari- avec la complicité active et bien discrète d’Abderraouf Khamassi, le « polytechnicien » de Béji.
Bien plus que son Bey devenu président, ce dernier entretient des relations politiques et d’affaires très solides avec la mafia islamiste en Tunisie et en Allemagne. Suspectant son allié stratégique Ennahdha d’avoir joué double jeu, le patron de Nidaa Tounès a menacé hier, dans un communiqué, de revoir toute sa stratégie en prévision des prochaines élections municipales et présidentielles. Un mensonge de plus pour tromper les électeurs qui ont fait confiance à BCE et pour conserver ce qui reste des supporters de Nidaa.
Nabil Ben Yahmed
Du fichier "S" au Parlement tunisien!
Ancien cyber-collabo de la galaxie OTPOR-Freedom House, Yassine Ayari (35 ans) est surtout un dangereux illuminé qui n’a jamais caché ses penchants extrémistes, ni en Tunisie ni en France, où il s’est installé il y a sept ans. Selon nos confrères de Kapitalis en date du 18 décembre 2017, « A la mort d’Oussama Ben Laden, ex-chef d’Al-Qaïda tué par un commando américain en Afghanistan, il n’a pas hésité à déclarer qu’il regrettait la disparition du chef d’Al-Qaïda, le qualifiant même de leader exemplaire…Il aurait été renvoyé (de chez Bouygues télécom) pour suspicion de lien avec les filières jihadistes et qu’il a même été fiché S ». Comment donc la candidature d'un tel personnage a t-elle pu être validée par l'Instance supérieure indépendante pour les élections (ISIE) ? A moins que cette instance elle-même compte parmi ses responsables des exécutants de Rached Ghannouchi ou des sympathisants de Daech !
Sur sa page Facebook, Mohsen Marzouk, l’un des pionniers chez Freedom House, a écrit : « Aujourd’hui, le véritable candidat d’Ennahdha a été élu ». De son côté, Hager Ben Cheikh Ahmed, une ancienne thuriféraire radio des Trabelsi, devenue, elle aussi, députée, a révélé ce que nul n’ignore, à savoir que « Yassine Ayari n’a jamais été un candidat indépendant » !
Yassine Ayari n'a jamais été ingénieur
Au fait, contrairement à Kapitalis et à BusinessNews qui sont tombés dans le panneau de cet affabulateur islamiste (il est à l’origine de la légende du «général qui a dit non à Ben Ali », diffusée par Nawat et aveuglement reprise par tout le monde), Yassine Ayari n’est pas et n’a jamais été « ingénieur en informatique ». C’est un technicien supérieur qui a raté ses études en Belgique et qui a été en revanche à la bonne école des cybers-collabo tunisiens, de la même promotion que Slim Amamou, Haythem el Mekki, Lina Ben Mhenni, Emna el Hammi, Amira Yahyaoui, Emna Ben Jemaa, Lamia Slim, Aziz Amami, Malek Khadraoui, Sofiane Chourabi, les frères Gherfali…Maintenant qu’il est député au pays de la « révolution du jasmin », qu’il rende public son CV et qu’il publie son diplôme d’ingénieur !
C’est à la suite de la démission du député Hatem Ferjani, élu sur la circonscription d’Allemagne et nommé depuis secrétaire d’Etat au Affaires étrangères, que des élections législatives partielles en Allemagne ont été décidées. Coût de l’opération supervisée par « l’Instance supérieure indépendante pour les élections », 700 000 dinars ! Au début, c’est Hafedh Caïd Essebsi, fils du Bey blanchisseur des Frères musulmans en Tunisie, qui devait empocher ce poste vacant de député. Pour les petits stratèges de Carthage, notamment l’ex-Rcédiste et affairiste véreux Abderraouf Khamassi, ce stratagème devait assurer la voie de la succession du fils-prodige au père-renégat. Mais, conscient de son échec probable, Hafedh Caïd Essebsi s’est finalement rétracté.
Les ambitions du fils du saint père ont ainsi coûté à la Tunisie près de 700 000 dinars, un affront dans un pays en faillite économique, qui peine à payer son administration devenue depuis 2011 pléthorique et qui va devoir bientôt quémander à l'étranger d'autres crédits à des taux d'intérêt excessivement élevés. Hathem Ferjani, le député qui était élu sur la circonscription d'Allemagne et qui est devenu depuis septembre 2017 secrétaire d'Etat auprès du ministre des Affaires étrangères, n'aurait jamais dû quitter l'assemblée dite nationale d'autant plus que les ministrables et les secrétaires d'Etats se ramassent à la pèle au pays de la "révolution" de la Brouette. C'est le caprice d'un fils à papa et la courtisanerie d'un ramassis de politiciens mafieux qui ont ouvert un grand boulevard à un daéchien sans complexe.
Le début de la fin de Nidaa Tounès
Près de 25 candidats concouraient à ce poste bien convoité, et pour cause : un salaire juteux versé en devise, deux voyages par mois Paris-Tunis, un passeport diplomatique…Et c’est finalement le vrai faux « ingénieur » qui rafle la mise. En plus du salaire, des deux billets d’avions mensuelles Paris-Tunis, Tunis-Paris, ce condamné de droit commun en Tunisie aura l’immunité parlementaire. Il a obtenu à peine 263 voix sur 1325, en sachant qu’il y a en Allemagne 26438 électeurs inscrits dans les différents consulats. Artisan de cette victoire foudroyante, le parti des Frères musulmans locaux, Ennahdha -qui a financé la campagne de Yassine Ayari- avec la complicité active et bien discrète d’Abderraouf Khamassi, le « polytechnicien » de Béji.
Bien plus que son Bey devenu président, ce dernier entretient des relations politiques et d’affaires très solides avec la mafia islamiste en Tunisie et en Allemagne. Suspectant son allié stratégique Ennahdha d’avoir joué double jeu, le patron de Nidaa Tounès a menacé hier, dans un communiqué, de revoir toute sa stratégie en prévision des prochaines élections municipales et présidentielles. Un mensonge de plus pour tromper les électeurs qui ont fait confiance à BCE et pour conserver ce qui reste des supporters de Nidaa.
Nabil Ben Yahmed