Le représentant du parti Al Nour salafiste au gouvernorat d'Al Gharbiya dans le Delta a été pris en flagrant délit d’adultère avec des dizaines de femmes mariées, dont certaines portaient le Niqab à leur entrée dans sa chambre avant de de se déshabiller totalement, ainsi qu’avec des filles dont l’âge ne dépasse pas les 15 ans!
L'histoire commence par le Cheikh "pieux... très très pieux" qui a voulu réparer son son ordinateur tombé en panne. Il l’a alors confié à un informaticien du quartier qui a réussi à le réparer mais qui a été surpris de trouver des clips vidéo très compromettants sur les mœurs sexuels du vénérable salafiste. Il en informa alors le cheikh pour faire du chantage habituel. En vain.
L’informaticien lui rend son ordinateur sans lui dire qu'il a tout transféré sur son disque dur. Il a par la suite contacté tous les maris des épouses infidèles qu’il a réussi à identifier, puisqu’elles habitent le même quartier que lui. Il a exigé l’équivalent de 20 euros pour chaque clip.
Trois femmes ont été répudiées par leurs maris et les autres époux cocus cherchent à se venger du cheikh salafiste dont des images "screen shots" des vidéos ont été publiées sur plusieurs sites d'infos égyptiens en masquant les yeux, les seins nus.... etc.
La réaction du parti salafiste était d'ouvrir, non-pas une enquête, mais ses caisses, pour proposer des sommes d'argents aux époux et aux parents des jeunes filles qui ne sont pas majeures! Certaines familles ont refusé et ont continué à traquer, avec l’aide de la police, le cheikh fugitif. Caché par ses frères salafistes, il tente de faire sortir de son village ses quatre épouses « légitimes » et ses 13 enfants.
Depuis la chute du président Hosni Moubarak, c'est le troisième scandale sexuel qui secoue l’Egypte et ébranle l’image « pieuse » des salafistes égyptiens. En 2012, un autre scandale concernait un cheikh salafiste qui ne faisait pas de différence entre filles et garçons en abusant d’eux sexuellement.
Comme les Egyptiens adorent les blagues, certains ironisent en prenant la défense du chef du parti salafiste dans la mesure où la constitution égyptienne n'a pas interdit la création des partis politiques sur des bases de fornication » !
Il semblerait qu’en cette journée du 11 novembre 2014, le moteur de recherche Google s’est emballé, puisque des milliers d’internautes voulaient visionner les clips sexuels du cheikh salafiste qu’on ne montrera pas par décence.
Lilia Ben Rejeb
L'histoire commence par le Cheikh "pieux... très très pieux" qui a voulu réparer son son ordinateur tombé en panne. Il l’a alors confié à un informaticien du quartier qui a réussi à le réparer mais qui a été surpris de trouver des clips vidéo très compromettants sur les mœurs sexuels du vénérable salafiste. Il en informa alors le cheikh pour faire du chantage habituel. En vain.
L’informaticien lui rend son ordinateur sans lui dire qu'il a tout transféré sur son disque dur. Il a par la suite contacté tous les maris des épouses infidèles qu’il a réussi à identifier, puisqu’elles habitent le même quartier que lui. Il a exigé l’équivalent de 20 euros pour chaque clip.
Trois femmes ont été répudiées par leurs maris et les autres époux cocus cherchent à se venger du cheikh salafiste dont des images "screen shots" des vidéos ont été publiées sur plusieurs sites d'infos égyptiens en masquant les yeux, les seins nus.... etc.
La réaction du parti salafiste était d'ouvrir, non-pas une enquête, mais ses caisses, pour proposer des sommes d'argents aux époux et aux parents des jeunes filles qui ne sont pas majeures! Certaines familles ont refusé et ont continué à traquer, avec l’aide de la police, le cheikh fugitif. Caché par ses frères salafistes, il tente de faire sortir de son village ses quatre épouses « légitimes » et ses 13 enfants.
Depuis la chute du président Hosni Moubarak, c'est le troisième scandale sexuel qui secoue l’Egypte et ébranle l’image « pieuse » des salafistes égyptiens. En 2012, un autre scandale concernait un cheikh salafiste qui ne faisait pas de différence entre filles et garçons en abusant d’eux sexuellement.
Comme les Egyptiens adorent les blagues, certains ironisent en prenant la défense du chef du parti salafiste dans la mesure où la constitution égyptienne n'a pas interdit la création des partis politiques sur des bases de fornication » !
Il semblerait qu’en cette journée du 11 novembre 2014, le moteur de recherche Google s’est emballé, puisque des milliers d’internautes voulaient visionner les clips sexuels du cheikh salafiste qu’on ne montrera pas par décence.
Lilia Ben Rejeb