C’est une question que beaucoup de Tunisiens se posent puisque le rôle direct ou indirect de la CIA dans la formation et l’instrumentalisation de certains blogueurs tunisiens et arabes en général n’est plus un secret pour personne. Pourquoi s’obstinent-ils à taire la vérité ? Pourquoi ne soulagent-ils pas leur conscience comme certains blogueurs égyptiens ?
Le témoignage de cette égyptienne est accablant. On voit qu’elle n’est pas dans son état normal et qu’elle souffre d’avoir été instrumentalisée par une ONG qui se fait passer pour une organisation militante des droits de l’homme et de la démocratie alors qu’elle est l’une des nombreuses succursales de la CIA. Il s’agit de la Freedom House.
Ce témoignage n’est pas le premier. Dès que des journalistes du Washington Post et du New York Times ont révélé le rôle des services américains dans le « printemps arabe », les principaux jeunes activistes égyptiens ont été acculé à l’aveu. En février 2011, sur DreamTV, Waeil Gouneym en larmes a déclaré : »Je veux dire à toute mère et tout père qui ont perdu un fils ou un être cher, que je m’excuse, que ce n’est pas de notre faute à nous, je le jure, ce n’est pas de notre faute ». Plus tard, sa complice Nadine Wahab a fait la même chose : « L’objectif était de faire tomber le régime. J’ai ressenti une immense responsabilité, parfois de la culpabilité, parce que je poussais mes compatriotes à prendre des risques » (Jeune Afrique du 3 juillet 2011).
Pourquoi donc Slim Amamou, Lina Ben Mhenni, Emna Ben Jomaa et les autres pions de la « révolution 2.0 » ne font-ils pas la même chose ? Pourquoi ne disent-ils pas qu’ils font partie de l’Alliance of Youth Movements (AYM) et du réseau « Cyberdissidents.org, crée en 2008 à l’initiative des Américains et des Israéliens ? Que craignent-ils ? Quelles ont été leurs relations avec Alec Ross, Appelbaum , Peter Ackerman et David Keyes ? Lire aussi: TUNISIE Slim Amamou & USA CIA , Enfin il a avoué
Le témoignage de cette égyptienne est accablant. On voit qu’elle n’est pas dans son état normal et qu’elle souffre d’avoir été instrumentalisée par une ONG qui se fait passer pour une organisation militante des droits de l’homme et de la démocratie alors qu’elle est l’une des nombreuses succursales de la CIA. Il s’agit de la Freedom House.
Ce témoignage n’est pas le premier. Dès que des journalistes du Washington Post et du New York Times ont révélé le rôle des services américains dans le « printemps arabe », les principaux jeunes activistes égyptiens ont été acculé à l’aveu. En février 2011, sur DreamTV, Waeil Gouneym en larmes a déclaré : »Je veux dire à toute mère et tout père qui ont perdu un fils ou un être cher, que je m’excuse, que ce n’est pas de notre faute à nous, je le jure, ce n’est pas de notre faute ». Plus tard, sa complice Nadine Wahab a fait la même chose : « L’objectif était de faire tomber le régime. J’ai ressenti une immense responsabilité, parfois de la culpabilité, parce que je poussais mes compatriotes à prendre des risques » (Jeune Afrique du 3 juillet 2011).
Pourquoi donc Slim Amamou, Lina Ben Mhenni, Emna Ben Jomaa et les autres pions de la « révolution 2.0 » ne font-ils pas la même chose ? Pourquoi ne disent-ils pas qu’ils font partie de l’Alliance of Youth Movements (AYM) et du réseau « Cyberdissidents.org, crée en 2008 à l’initiative des Américains et des Israéliens ? Que craignent-ils ? Quelles ont été leurs relations avec Alec Ross, Appelbaum , Peter Ackerman et David Keyes ? Lire aussi: TUNISIE Slim Amamou & USA CIA , Enfin il a avoué