Marzougui dont le nom est synonyme de trahison, sache que l'honneur de Mejri Jabeur n'a pas de prix contrairement au tien. Toi qui ne rates jamais l'occasion de disjoncter et de fermer tes yeux de chauve-souris maléfique, sinistre, lugubre, effrayant, hantant le palais de Carthage, qui prend de plus en plus les allures du palais macabre de Mikhaïlovski, haut lieu d'intrigues et de meurtres ton bec de chauve-souris sinistre et lugubre, rejeté par les siens, tu te fais l'avocat de la justice obscurantiste pour lui accorder un quitus d'équité.
Tu parles de justice juste et équitable, faudrait-il que tu en connaisses la valeur de ces mots et que tu déshonores rien qu'en les prononçant. Pour toi, Jabeur Mejri mérite bien sa condamnation inique de 7 ans et demi de prison pour avoir caricaturé le prophète sur sa page F.B. que tu sembles découvrir juste maintenant après avoir emprunté les voies de la déperdition et de la dépravation et dont tu deviens toi aussi son justicier noir.
Te voilà désormais sur le chemin de la rédemption devenu le chemin du calvaire et du supplice de la Tunisie. Jouissant de la joie des agapes divines pendant qu'elle se consume dans les bûchers ardents de l'enfer. Fayot, délateur, roi du retournement de veste, opportuniste, fabulateur, vil, veule, cupide, renégat, fils de goumier, tunisophobe, qatarophile, félon, laquais islamiste, sans vergogne ni scrupule, girouette, cireur de pompes de Raspoutine Ghannouchi, simulateur, psychopathe, pique-assiette, souffrant d'instabilité psychique chronique, sujet à des troubles d'humeur récurrents, personnalité immature, versatile, la liste de tes symptômes pathologiques est tellement longue qu'un dictionnaire Vidal ne suffirait pas pour les énumérer tous.
Ton ingratitude légendaire vient d'atteindre les sommets de l'ignominie humaine en jetant en pâture les noms de tes anciens bienfaiteurs dont Mezri Haddad, Slim Bagga, Ahmed Bennour, qui en avaient fait tellement pour toi aux hydres islamistes affamées, assoiffées de revanche, aigries, terroristes, assassines, hideuses, corrompues, haineuses, antipatriotiques, miliciennes, et félonnes dont le sang t'irrigue depuis toujours. Mais tu as réussi à berner tout ton monde en adoptant une posture droit de l'hommiste.
Imposteur et fourbe, tu n'es pas plus fou que tu ne le prétends, tu surjoues de la folie pour amuser la galerie tunisienne frappée par la pire sinistrose aiguë de son histoire, tu en fais même un instrument politique pour la divertir et la distraire pendant que toi et ta meute de rapace s'acharnent à la destruction de la souveraineté nationale et la mise à mort de l'identité tunisienne.
Tu ne sais pas que la nouvelle justice tunisienne est une justice plus que jamais aux ordres, elle doit plaire à ses nouveaux maîtres dont tu es le premier des obligés, elle doit criminaliser le bien et innocenter le mal.
Les meurtriers de Chokri Belaïd, Lotfi Nagadh, Mohamed Brahmi, des forces de l'ordre et des auteurs de la répression sauvage de Siliana courent toujours et dont tu connais certainement l'identité tandis que les nouveaux juifs du nazislamisme que sont les patriotes tunisiens sont embastillés ou assassinés. Tenu en laisse par ton dresseur et maître Rached Ghannouchi tu ne peux pas désavouer une justice inique, dévoyée, pervertie et partiale, de peur de subir son courroux dont tu as fait les frais un jour à Carthage pendant ton audience avec l'Ambassadeur de France à Tunis. Histoire de te rappeler que c'est lui le roi et toi une simple portion congrue jute bonne à être jetée aux orties.
Desservi par ton manque cruel de discernement et de cohérence intellectuelle et surtout de courage politique, tu crucifies et décapites Mejri Jabeur appliquant ainsi à la lettre la sentence wahhabite, le symbole de la résistance tunisienne face à l'obscurantisme wahhabite, le nouveau Jean Moulin de la Tunisie. Jabeur Mejri mérite son châtiment selon ton verdict, alors quel sera le verdict que tu prononceras à ton encontre si tu as un minimum d'intégrité morale et d'honnêteté intellectuelle. Il est à craindre que tu ne fasses pas Hara Kiri tellement tu as honte de tes méfaits et dérives immoraux et criminels. Un homme dont le seul crime est d'avoir exprimé des idées qui ne sont pas du goût de l'idéologie dominante ambiante en Tunisie ne mérite pas que l'on le déchoie de sa liberté pour 7 ans et demi.
Inconsciemment mais est-ce que tu as été ne serait-ce qu’une seule fois conscient pour mesurer la portée de tes actes et de tes paroles, tu dois être aveuglé par ta jalousie de Mejri Jabeur, la fierté nationale, en comparaison avec ton statut de la honte nationale et dont le nom de famille est désormais synonyme d'indignité et de trahison. Entre vous deux, c'est la lumière et l'obscurité, c'est le beau et le laid, c'est la justice et l'injustice, c'est la civilisation et la barbarie, c'est la collaboration et la résistance, c'est la fidélité et l'infidélité, c'est tout simplement la Tunisie tunisienne et l'Emirat-bananier en voie de devenir un futur champ gazier de schiste à ciel ouvert pour le compte de tes bailleurs de fonds. Total et B.P.?
Tu pourras toujours continuer à écrire tes funestes chroniques pour ton employeur esclavagiste et philonazi d'Al Jazira pendant que Jabeur Mejri tel un Jean Moulin au fond de sa cellule rêve de la libération de son pays du joug de la barbarie wahhabite. La Tunisie a de l'avenir contrairement à ce que tu crois, il est tunisien, celui que des hommes comme Mejri Jabeur et ses élites éclairées sauront lui écrire.
Salem Ben Ammar
Tu parles de justice juste et équitable, faudrait-il que tu en connaisses la valeur de ces mots et que tu déshonores rien qu'en les prononçant. Pour toi, Jabeur Mejri mérite bien sa condamnation inique de 7 ans et demi de prison pour avoir caricaturé le prophète sur sa page F.B. que tu sembles découvrir juste maintenant après avoir emprunté les voies de la déperdition et de la dépravation et dont tu deviens toi aussi son justicier noir.
Te voilà désormais sur le chemin de la rédemption devenu le chemin du calvaire et du supplice de la Tunisie. Jouissant de la joie des agapes divines pendant qu'elle se consume dans les bûchers ardents de l'enfer. Fayot, délateur, roi du retournement de veste, opportuniste, fabulateur, vil, veule, cupide, renégat, fils de goumier, tunisophobe, qatarophile, félon, laquais islamiste, sans vergogne ni scrupule, girouette, cireur de pompes de Raspoutine Ghannouchi, simulateur, psychopathe, pique-assiette, souffrant d'instabilité psychique chronique, sujet à des troubles d'humeur récurrents, personnalité immature, versatile, la liste de tes symptômes pathologiques est tellement longue qu'un dictionnaire Vidal ne suffirait pas pour les énumérer tous.
Ton ingratitude légendaire vient d'atteindre les sommets de l'ignominie humaine en jetant en pâture les noms de tes anciens bienfaiteurs dont Mezri Haddad, Slim Bagga, Ahmed Bennour, qui en avaient fait tellement pour toi aux hydres islamistes affamées, assoiffées de revanche, aigries, terroristes, assassines, hideuses, corrompues, haineuses, antipatriotiques, miliciennes, et félonnes dont le sang t'irrigue depuis toujours. Mais tu as réussi à berner tout ton monde en adoptant une posture droit de l'hommiste.
Imposteur et fourbe, tu n'es pas plus fou que tu ne le prétends, tu surjoues de la folie pour amuser la galerie tunisienne frappée par la pire sinistrose aiguë de son histoire, tu en fais même un instrument politique pour la divertir et la distraire pendant que toi et ta meute de rapace s'acharnent à la destruction de la souveraineté nationale et la mise à mort de l'identité tunisienne.
Tu ne sais pas que la nouvelle justice tunisienne est une justice plus que jamais aux ordres, elle doit plaire à ses nouveaux maîtres dont tu es le premier des obligés, elle doit criminaliser le bien et innocenter le mal.
Les meurtriers de Chokri Belaïd, Lotfi Nagadh, Mohamed Brahmi, des forces de l'ordre et des auteurs de la répression sauvage de Siliana courent toujours et dont tu connais certainement l'identité tandis que les nouveaux juifs du nazislamisme que sont les patriotes tunisiens sont embastillés ou assassinés. Tenu en laisse par ton dresseur et maître Rached Ghannouchi tu ne peux pas désavouer une justice inique, dévoyée, pervertie et partiale, de peur de subir son courroux dont tu as fait les frais un jour à Carthage pendant ton audience avec l'Ambassadeur de France à Tunis. Histoire de te rappeler que c'est lui le roi et toi une simple portion congrue jute bonne à être jetée aux orties.
Desservi par ton manque cruel de discernement et de cohérence intellectuelle et surtout de courage politique, tu crucifies et décapites Mejri Jabeur appliquant ainsi à la lettre la sentence wahhabite, le symbole de la résistance tunisienne face à l'obscurantisme wahhabite, le nouveau Jean Moulin de la Tunisie. Jabeur Mejri mérite son châtiment selon ton verdict, alors quel sera le verdict que tu prononceras à ton encontre si tu as un minimum d'intégrité morale et d'honnêteté intellectuelle. Il est à craindre que tu ne fasses pas Hara Kiri tellement tu as honte de tes méfaits et dérives immoraux et criminels. Un homme dont le seul crime est d'avoir exprimé des idées qui ne sont pas du goût de l'idéologie dominante ambiante en Tunisie ne mérite pas que l'on le déchoie de sa liberté pour 7 ans et demi.
Inconsciemment mais est-ce que tu as été ne serait-ce qu’une seule fois conscient pour mesurer la portée de tes actes et de tes paroles, tu dois être aveuglé par ta jalousie de Mejri Jabeur, la fierté nationale, en comparaison avec ton statut de la honte nationale et dont le nom de famille est désormais synonyme d'indignité et de trahison. Entre vous deux, c'est la lumière et l'obscurité, c'est le beau et le laid, c'est la justice et l'injustice, c'est la civilisation et la barbarie, c'est la collaboration et la résistance, c'est la fidélité et l'infidélité, c'est tout simplement la Tunisie tunisienne et l'Emirat-bananier en voie de devenir un futur champ gazier de schiste à ciel ouvert pour le compte de tes bailleurs de fonds. Total et B.P.?
Tu pourras toujours continuer à écrire tes funestes chroniques pour ton employeur esclavagiste et philonazi d'Al Jazira pendant que Jabeur Mejri tel un Jean Moulin au fond de sa cellule rêve de la libération de son pays du joug de la barbarie wahhabite. La Tunisie a de l'avenir contrairement à ce que tu crois, il est tunisien, celui que des hommes comme Mejri Jabeur et ses élites éclairées sauront lui écrire.
Salem Ben Ammar