C’est par une lettre publiée sur sa page facebook que Samir Abdellah a dénoncé le harcèlement fiscal qu’il subit depuis cinq ans. Dès mon retour au pays, et après avoir cherché en vain des dossiers compromettants pour me salir, ils ont voulu m’infliger des milliers de dinars de redevance fiscale alors que mon cabinet d’avocat était fermé durant toute la période où j’étais en poste à Beyrouth, écrit-il dans sa lettre rédigée en arabe et reprise par certains sites tunisiens.
Selon nos informations, Samir Abdellah a recouru à la justice et a obtenu gain de cause contre une administration fiscale aux ordres. Malgré ce verdict définitif, les pseudo-révolutionnaires qui cherchent à discréditer leurs adversaires pour avoir la voie libre, sont récemment revenu à la charge avec un nouveau contrôle fiscal. Pis encore, ils ont ordonné à toutes les entreprises publiques dont il défendait les intérêts depuis longtemps et bien avant 1987 de cesse toute collaboration avec son cabinet.
« Est-ce que les fraudeurs et les trafiquants qui monopolisent la moitié de l’économie tunisienne sont soumis aux mêmes pressions et contrôles fiscales ?» se demande Samir Abdellah. La réponse et évidemment non, puisque les contrebandiers et les mercenaires sont au pouvoir !
La lettre de Samir Abdellah a provoqué une large solidarité dans les réseaux sociaux d’autant plus que cet avocat indomptable a prévenu : « si par ces moyens, ils espèrent me faire taire, qu’ils déchantent. Je continuerai à m’exprimer librement… ». Un choix pour le moins courageux eu égard à la platitude et à l’opportunisme dont ont fait preuve beaucoup d’autres avocats qui étaient membres du RCD et qui sont devenus aujourd’hui les serviteurs bien serviles de Rached Ghannouchi et de sa secte islamo-mafieuse.
Lilia Ben Rejeb
Selon nos informations, Samir Abdellah a recouru à la justice et a obtenu gain de cause contre une administration fiscale aux ordres. Malgré ce verdict définitif, les pseudo-révolutionnaires qui cherchent à discréditer leurs adversaires pour avoir la voie libre, sont récemment revenu à la charge avec un nouveau contrôle fiscal. Pis encore, ils ont ordonné à toutes les entreprises publiques dont il défendait les intérêts depuis longtemps et bien avant 1987 de cesse toute collaboration avec son cabinet.
« Est-ce que les fraudeurs et les trafiquants qui monopolisent la moitié de l’économie tunisienne sont soumis aux mêmes pressions et contrôles fiscales ?» se demande Samir Abdellah. La réponse et évidemment non, puisque les contrebandiers et les mercenaires sont au pouvoir !
La lettre de Samir Abdellah a provoqué une large solidarité dans les réseaux sociaux d’autant plus que cet avocat indomptable a prévenu : « si par ces moyens, ils espèrent me faire taire, qu’ils déchantent. Je continuerai à m’exprimer librement… ». Un choix pour le moins courageux eu égard à la platitude et à l’opportunisme dont ont fait preuve beaucoup d’autres avocats qui étaient membres du RCD et qui sont devenus aujourd’hui les serviteurs bien serviles de Rached Ghannouchi et de sa secte islamo-mafieuse.
Lilia Ben Rejeb