Othman Jallouli, le barbouze de l'UGTT qui a injurié et menacé Saïd Aïdi devant son bureau au ministère, en compagnie d'un ramassis de syndicalistes.
Othman Jallouli, qui fait office de secrétaire générale de la fédération nationale de la santé, a invectivé à propos de son ministre : «Je suis son Seigneur, lorsque je l’appelle au téléphone et que je lui demande quelque chose, il doit s’exécuter »! (propos tenus en arabe, voir le lien vidéo ci-dessous).
Ce barbouze syndicaliste a raison de parler ainsi. Depuis la « révolution » de la brouette qui a été suivie du coup d’Etat du 14 janvier 2011, l’UGTT se partage le pouvoir avec sa sœur Ennahdha. Ainsi en a décidé l’Oncle Sam. Othman Jallouli a raison de menacer le ministre le plus compétent et le plus intègre de ce gouvernement fantoche, incapable et corrompu. Depuis la « révolution » de la brouette, n‘importe quel voyou et inculte peut se permettre de dire à un polytechnicien ou à un cadre Bac plus 10, « T’es qui toi, Dégage » !
Vous avez raison Messieurs Othman Jallouli, Noureddine Taboubi, Houcine Abassi… Les polytechniciens et les Bac plus 10 ne valent rien au pays de l’alcoolique Mohamed Bouazizi. Qui sont-ils, comparés à vous autres, les « révolutionnaires » nobélisés, reçus par le Roi de Suède et le Pape François ! Devant le Roi de Suède, vous avez donné la meilleure image du Tunisien : ivres morts, vous ne saviez pas que le champagne, c’est une seule coupe et non pas dix ! Selon des témoins présents, vous avez souillé de vos vomissures les ascenseurs du palace où le Comité Nobel vous a logé.
Cette scène filmée d’un ramassis de syndicalistes vociférant devant le bureau du ministre a indignée plusieurs Tunisiens et provoquée notamment cette réaction sur facebook d’Ali Gannoun : « Devant le ministère de la santé, un syndicaliste remonté comme une pendule n'a cessé d'insulter son ministre de tutelle comme s'il s'adressait à son pire ennemi. Insultes, mépris, menace et j'en passe. Le type ne se sentait pas, il avait le pouvoir de tout casser, de tout fermer, de tout exclure, de tout bazarder et de tout bloquer. Il était appuyé par une meute de fouteurs de merde à la demande. Entre l'hymne nationale et "Birrouh biddem nefdik ya ittihaad", ils applaudissaient et encourageaient, telle une bande de primitifs, leur champion déchaîné et hors de tout contrôle ».
Durant 23 ans de règne bénalien, le fameux « Ittihaad » (UGTT), a brillé par son mutisme et son lèche-bottisme. Corruptrice et corrompue, l’UGTT a bien profité de l’ancien régime nationaliste (Bourguiba ensuite Ben Ali) et elle s’est gavée du régime « postrévolutionnaire » vendu aux impérialistes américains, régime dont elle est, avec les Frères musulmans, la moelle épinière. Le coup d’Etat du 14 janvier 2011 n’aurait jamais réussi sans la double trahison de l’armée dite nationale et de l’UGTT.
Beaucoup de Tunisiens ignorants de l’Histoire et des manouvres secrètes, ne savent pas encore que la centrale syndicale, qui avait naguère pris part à la lutte pour l’indépendance a, en effet, joué un rôle déterminant dans le coup d’Etat islamo-atlantiste de janvier 2011. Ils ne savent pas non plus que, depuis l’époque bourguibienne, l’UGTT a toujours été considérée par les services américains comme une pièce centrale de l’échiquier politique tunisien, tout comme les Frères musulmans locaux. Que ces deux mercenaires (Ennahdha et l’UGTT) se partagent aujourd’hui le pouvoir et ses privilèges, n’est donc pas du tout un hasard.
La grande imposture et supercherie, c’est que l’on a voulu faire passer l’UTICA pour le fer de lance de l’impérialisme américain –parce qu’elle regroupe les « capitalistes » et les chefs d’entreprises- et l’UGTT, pour l’organisation patriotique par excellence, parce qu’elle défend la cause des travailleurs et que ces fondateurs, de Mohamed Ali Hammi à Farhat Hached, ont été effectivement de vrais patriotes. C’est sur ce fond de commerce que prospèrent la trahison et l’affairisme véreux de l’UGTT.
Ce n’est pas le moment de démontrer, preuves et documents à l’appui, que l’UGTT a joué un rôle déterminant dans l’avilissement et la destruction de la Tunisie. Ce sera fait dans les jours qui viennent. Mais c’est le moment de dire à Monsieur Habib Essid que, lorsque l’élément le plus dévoué et le plus travailleur de son gouvernement se fait intimider et insulter de la sorte, la moindre des choses c’est de dénoncer publiquement ces barbouzes de l’UGTT, qui ont détruit l’économie du pays, dont son fleuron, la Compagnie des Phosphates de Gafsa (CPG), et qui continuent aujourd’hui à mener leurs actions subversives et antipatriotique selon, non pas les intérêts des travailleurs et des chômeurs, mais l’agenda de l’ambassade des Etats-Unis en Tunisie.
Nebil Ben Yahmed
Pour écouter et voir ce barbouze, cliquer sur ce lien :
https://www.facebook.com/343473679020755/videos/1125436037491178/
Ce barbouze syndicaliste a raison de parler ainsi. Depuis la « révolution » de la brouette qui a été suivie du coup d’Etat du 14 janvier 2011, l’UGTT se partage le pouvoir avec sa sœur Ennahdha. Ainsi en a décidé l’Oncle Sam. Othman Jallouli a raison de menacer le ministre le plus compétent et le plus intègre de ce gouvernement fantoche, incapable et corrompu. Depuis la « révolution » de la brouette, n‘importe quel voyou et inculte peut se permettre de dire à un polytechnicien ou à un cadre Bac plus 10, « T’es qui toi, Dégage » !
Vous avez raison Messieurs Othman Jallouli, Noureddine Taboubi, Houcine Abassi… Les polytechniciens et les Bac plus 10 ne valent rien au pays de l’alcoolique Mohamed Bouazizi. Qui sont-ils, comparés à vous autres, les « révolutionnaires » nobélisés, reçus par le Roi de Suède et le Pape François ! Devant le Roi de Suède, vous avez donné la meilleure image du Tunisien : ivres morts, vous ne saviez pas que le champagne, c’est une seule coupe et non pas dix ! Selon des témoins présents, vous avez souillé de vos vomissures les ascenseurs du palace où le Comité Nobel vous a logé.
Cette scène filmée d’un ramassis de syndicalistes vociférant devant le bureau du ministre a indignée plusieurs Tunisiens et provoquée notamment cette réaction sur facebook d’Ali Gannoun : « Devant le ministère de la santé, un syndicaliste remonté comme une pendule n'a cessé d'insulter son ministre de tutelle comme s'il s'adressait à son pire ennemi. Insultes, mépris, menace et j'en passe. Le type ne se sentait pas, il avait le pouvoir de tout casser, de tout fermer, de tout exclure, de tout bazarder et de tout bloquer. Il était appuyé par une meute de fouteurs de merde à la demande. Entre l'hymne nationale et "Birrouh biddem nefdik ya ittihaad", ils applaudissaient et encourageaient, telle une bande de primitifs, leur champion déchaîné et hors de tout contrôle ».
Durant 23 ans de règne bénalien, le fameux « Ittihaad » (UGTT), a brillé par son mutisme et son lèche-bottisme. Corruptrice et corrompue, l’UGTT a bien profité de l’ancien régime nationaliste (Bourguiba ensuite Ben Ali) et elle s’est gavée du régime « postrévolutionnaire » vendu aux impérialistes américains, régime dont elle est, avec les Frères musulmans, la moelle épinière. Le coup d’Etat du 14 janvier 2011 n’aurait jamais réussi sans la double trahison de l’armée dite nationale et de l’UGTT.
Beaucoup de Tunisiens ignorants de l’Histoire et des manouvres secrètes, ne savent pas encore que la centrale syndicale, qui avait naguère pris part à la lutte pour l’indépendance a, en effet, joué un rôle déterminant dans le coup d’Etat islamo-atlantiste de janvier 2011. Ils ne savent pas non plus que, depuis l’époque bourguibienne, l’UGTT a toujours été considérée par les services américains comme une pièce centrale de l’échiquier politique tunisien, tout comme les Frères musulmans locaux. Que ces deux mercenaires (Ennahdha et l’UGTT) se partagent aujourd’hui le pouvoir et ses privilèges, n’est donc pas du tout un hasard.
La grande imposture et supercherie, c’est que l’on a voulu faire passer l’UTICA pour le fer de lance de l’impérialisme américain –parce qu’elle regroupe les « capitalistes » et les chefs d’entreprises- et l’UGTT, pour l’organisation patriotique par excellence, parce qu’elle défend la cause des travailleurs et que ces fondateurs, de Mohamed Ali Hammi à Farhat Hached, ont été effectivement de vrais patriotes. C’est sur ce fond de commerce que prospèrent la trahison et l’affairisme véreux de l’UGTT.
Ce n’est pas le moment de démontrer, preuves et documents à l’appui, que l’UGTT a joué un rôle déterminant dans l’avilissement et la destruction de la Tunisie. Ce sera fait dans les jours qui viennent. Mais c’est le moment de dire à Monsieur Habib Essid que, lorsque l’élément le plus dévoué et le plus travailleur de son gouvernement se fait intimider et insulter de la sorte, la moindre des choses c’est de dénoncer publiquement ces barbouzes de l’UGTT, qui ont détruit l’économie du pays, dont son fleuron, la Compagnie des Phosphates de Gafsa (CPG), et qui continuent aujourd’hui à mener leurs actions subversives et antipatriotique selon, non pas les intérêts des travailleurs et des chômeurs, mais l’agenda de l’ambassade des Etats-Unis en Tunisie.
Nebil Ben Yahmed
Pour écouter et voir ce barbouze, cliquer sur ce lien :
https://www.facebook.com/343473679020755/videos/1125436037491178/