Ridha Mellouli, une voix libre dans un pays soumis aux Frères musulmans et à leurs suppôts gauchistes.
Invité de la célèbre émission de Samir el-Wafi « Liman Yajroo fakat », dimanche dernier, Ridha Mellouli a tenu un discours patriotique et en rupture avec le consensualisme ambiant de la nouvelle « classe » politicienne. Ce discours de la vérité contre le mensonge, de la sincérité des braves contre l’hypocrisie des lâches, de la résistance contre la collaboration, du nationalisme contre la trahison, a évidemment excité les tenants de la « révolution » de la Brouette et déchainé leurs sentinelles dans les réseaux sociaux.
Sans remettre en cause l’utilité politique et éthique de la justice transitionnelle, Ridha Mellouli a émis quelques réserves quant à l’intégrité morale de celle qui a caporalisé l’IVD, à savoir Sihem Bensedrine, la propagandiste de l’islamisme « modéré » qui s’est mise au service de cette idéologie théocratique depuis près de vingt ans.
Pas question pour Ridha Mellouli de faire comme beaucoup d’autres anciens apparatchiks du RCD : demander pardon. Intellectuel indépendant et membre de la Ligue des droits de l’homme, Ridha Mellouli n’a pas, en effet, à s’excuser des exactions commises par les gouvernements sous la présidence de Ben Ali. Primo parce qu’il n’en était pas membre. Secundo parce qu’il n’a pas défendu un régime mais un Etat-Nation. Tertio parce que les supposées victimes étaient pour la plupart des criminels et des terroristes.
Ce n’est pas la première fois que Ridha Mellouli tient ce discours. Depuis la conspiration du 14 janvier 2011, qui a détruit la Tunisie et dont on mesure aujourd’hui les conséquences sur la Libye et la Syrie, il a fait preuve d’une résistance et d’un courage d’autant plus remarquables que l’on sait jusqu’où peut aller la vengeance des islamo-terroristes !
La réaction hystérique de la racaille islamistes et de la canaille gauchiste dénote paradoxalement leur fragilité et démontrent à quel point les Tunisiens sont devenus à l’écoute des quelques voix patriotiques qui restent dans le pays. Orphelins d’Obama et d’Hillary Clinton, ils savent que les temps ont changé et que la feuille de route américaine est désormais caduque.
Lilia Ben Rejeb
Sans remettre en cause l’utilité politique et éthique de la justice transitionnelle, Ridha Mellouli a émis quelques réserves quant à l’intégrité morale de celle qui a caporalisé l’IVD, à savoir Sihem Bensedrine, la propagandiste de l’islamisme « modéré » qui s’est mise au service de cette idéologie théocratique depuis près de vingt ans.
Pas question pour Ridha Mellouli de faire comme beaucoup d’autres anciens apparatchiks du RCD : demander pardon. Intellectuel indépendant et membre de la Ligue des droits de l’homme, Ridha Mellouli n’a pas, en effet, à s’excuser des exactions commises par les gouvernements sous la présidence de Ben Ali. Primo parce qu’il n’en était pas membre. Secundo parce qu’il n’a pas défendu un régime mais un Etat-Nation. Tertio parce que les supposées victimes étaient pour la plupart des criminels et des terroristes.
Ce n’est pas la première fois que Ridha Mellouli tient ce discours. Depuis la conspiration du 14 janvier 2011, qui a détruit la Tunisie et dont on mesure aujourd’hui les conséquences sur la Libye et la Syrie, il a fait preuve d’une résistance et d’un courage d’autant plus remarquables que l’on sait jusqu’où peut aller la vengeance des islamo-terroristes !
La réaction hystérique de la racaille islamistes et de la canaille gauchiste dénote paradoxalement leur fragilité et démontrent à quel point les Tunisiens sont devenus à l’écoute des quelques voix patriotiques qui restent dans le pays. Orphelins d’Obama et d’Hillary Clinton, ils savent que les temps ont changé et que la feuille de route américaine est désormais caduque.
Lilia Ben Rejeb