Avec la chronologie pour preuve, nous avons été les premiers à annoncer le départ de « Circus Ammar », alias « le général qui a dit non à Ben Ali », selon la manipulation du cyber-collabo Yassine Ayari. Dès le 16 juin 2013, dans notre article « Ghannouchi active Abbou pour décapiter Rachid Ammar », nous avons écrit que, « Ennahda prépare la relève de Rachid Ammar. C’est un autre colonel plein, qui a été aussi attaché militaire à l’étranger…, qui en serait le successeur. Il est actuellement affecté à l’Inspection générale ».
Les Tunisiens connaissent maintenant le nom du nouveau chef d’état-major, de l’armée de terre uniquement ! Il s’agit de Mohamed-Salah Hamdi, qui était effectivement affecté à l’Inspection générale. C’est Taïeb Lajimi, chef d’état-major de l’armée de l’air et homme de confiance de Rachid Ammar, qui l’aurait suggéré. Il faut savoir que parmi les rares officiers qui n’étaient pas sous l’influence du général-félon, « Circus Ammar », il y a notamment le général Ahmed Chabir et l'officier supérieur Marouene Bouguerra. Le nouveau chef d’état-major de l’armée de terre est réputé pour sa loyauté et sa neutralité idéologique.
« Circus Ammar » a été bel et bien dégagé par Rached Ghannouchi, avec l’assentiment de Moncef Marzouki. Même si nos confrères d’africain-Intelligence ne citent pas le nom du chef des Frères musulmans en Tunisie, nous confirmons l’authenticité de notre information. En effet, Africain-Intelligence No 1070, du 4 juillet dernier a écrit : « La fin de mandat de Rachid Ammar, un simple départ à la retraite ? Pure fiction ! Selon nos sources à Tunis, le chef d'état-major de l'armée n'a jamais demandé à quitter son poste, contrairement à ce qu'il a affirmé à la télévision. Au contraire, il avait sollicité dès le mois de mars le président Moncef Marzouki afin d'être prolongé dans ses fonctions (tout comme il l'avait fait avec Zine El Abidine Ben Ali lorsqu'il avait atteint l'âge de la retraite en 2007). Mais Marzouki, sur les conseils de son conseiller politique Aziz Krichen et de son directeur de cabinet Adnène Mansar, a appliqué strictement les textes, qui imposent un départ à la retraite à 60 ans. Dans un premier temps, pourtant, Carthage avait demandé au général de lui adresser par écrit une demande de maintien en fonctions. Ce n'est qu'après qu'il se soit exécuté, en avril, que le refus lui a été signifié. Humiliant ! Pour légaliste qu'elle soit, la position du président ouvre une période de flottement à la tête de l'armée, tant le choix d'un successeur au "héros de la révolution" promet d'être ardu ».
Tout ce que dit Africain-Intelligence est parfaitement exact, mais nos confrères Français, dont les informations sont toujours avérées parce qu'elles puisent à la bonne source, ne savent pas qu’Adnène Mansar est un islamiste recyclé ! Rached Ghannouchi voulait absolument écarter Rachid Ammar malgré la platitude et la servitude de ce dernier. Le chef de la secte islamiste, qu’un scénario à l’algérienne empêchait de dormir, a toujours pensé et dit que « le soutien de l’armée n’est pas assuré ». L’éviction de son frère en secte, Mohamed Morsi, confirme sa crainte ! Une crainte fondée par rapport à l’armée en tant qu’institution républicaine et patriotique, mais pas par rapport au général Rachid Ammar. Pourquoi ?
Tout simplement parce que « Circus Ammar » n’a ni la personnalité, ni le courage, ni la culture, ni le patriotisme de faire en Tunisie ce que le général Abdelfattah Al-Sassi a fait en Egypte : sauver son pays du néocolonialisme occidental et du fascisme islamiste. Il n’a pas la trempe des grands généraux que la Tunisie a eus : le général Youssef Baraket (général corps armées en 1987), le général Abdelhamid Fehri (chef d’état-major de l’armée de l’air), le général Saïd El-Katib (chef d’état-major de l’armée de terre), et même s’ils sont moins trempés et aguerris, le général Ahmed Noomane, le général Habib Ammar, le général Abdelhamid Escheikh, le général Ahmed Chabir …Une génération de grands officiers qui ont été tous écartés ou marginalisés par Ben Ali les cinq premières années de son règne. Si Rachid Ammar était de cette trempe, jamais Ben Ali n’aurait fait de lui le chef d’état-major de l’armée de terre. C’est parce qu’il n’a aucune personnalité et aucun charisme, que le général Ben Ali lui a fait confiance. Et c’est pour les mêmes raisons que Léon Panetta a misé sur lui dès 2009 ! Léon Panetta était le patron de la CIA jusqu’en juin 2011, date de sa nomination à la tête du Pentagone, en remplacement de Robert Gates.
Dans une situation où la Tunisie va, selon ses propres dires, vers une somalisation, un général digne de ce nom ne dit pas à la télévision, devant des millions de Tunisiens qui s’inquiètent, « j’ai décidé d’arrêter le travail. Je vais m’occuper de ma famille » (textuellement). Sans craindre le ridicule, cette caricature de général, comme toutes les caricatures de politichiens nés de la révolution du jasmin, a ajouté : « Celui qui démissionne est quelqu’un qui évite les difficultés. Or, ce n’est pas mon cas depuis que je suis aux commandes » ! Sans craindre la honte, il a conclu : « Si la révolution n’avait pas réussie, je serai parmi les morts. La révolution n’a pas réussie( !). Mon succès à moi, c’est lorsque le régime a changé » (textuellement).
En effet, général-félon, tu n’as pas craint les difficultés lorsque Léon Panetta t’a ordonné de tirer sur la foule pour embarrasser Ben Ali. Tu n’as pas craint les difficultés lorsque tes maîtres Américains t’ont ordonné de pousser Ben Ali vers la porte de sortie. Tu n’as pas craint les difficultés lorsqu’ils t’ont ordonné de laisser filer les snipers étrangers recrutés par le Qatar qui ont tiré sur nos enfants. Tu n’as pas craint les difficultés lorsque les Américains et les Français t’ont ordonné de transformer le Sud tunisien en base arrière pour envahir la Libye et détruire ce pays frère. Tu n’as pas craint les difficultés lorsque tu as accordé aux Américains ce que le général Ben Ali leur a toujours refusé : une base militaire à Rémada. Tu n'as pas craint les difficultés lorsque tu as laissé les criminels Rached Ghannouchi et Moncef Marzouki envoyer leurs vermines djihadistes en Syrie. Tu n’as pas craint les difficultés lorsque les crapules du Qatar t’ont convoqué à Doha, et lorsque tu as été grignoter des pistaches dans leur ambassade à Tunis, le jour de leur fête nationale…et de notre défaite nationale. Et tu as osé dire que « le 15 janvier 2011, on m’a demandé de prendre le pouvoir et j’ai refusé » ! Qui te l’a demandé, pauvre type ? Le chef d’antenne de l’ambassade US en Tunisie, ou celui de l’ambassade de France ? Tu savais très bien que ton misérable rôle devait s’arrêter à la « chute du régime », comme tu l’as si bien dit. Que par conséquent, les américains avaient besoin du mythe de la « révolution du jasmin » pour aller détruire d’autres pays arabes. L’armée qui prend le pouvoir, ce n’était pas du tout dans le scénario du film révolutionnaire anglo-américain.
Général-félon, tu n’es qu’une copie terne du général Ben Ali…moins son patriotisme. Comme lui, tu es un inculte. Comme lui, tu crois aux Saints et aux marabouts pour protéger la Tunisie. Comme lui, tu es soumis à ta femme. Depuis ta désertion, certains idiots et crétins parlent de toi comme d’un futur président sauveur. C'est le cas d'un certain Hédy Belhassine, qui a scribouillé ce panégyrique: "Ammar est intelligent, fin stratège et bon tacticien. Dans cet épisode Gaullien il prend une avance politique décisive. Il était Chef d’Etat Major muet, il est désormais un des zaïm volubile de la nation, il sera Chef de l’Etat élu, peut-être ! Car comment interpréter ce coup médiatique autrement que par l’ambition d’affronter le suffrage universel ? L’homme n’est pas du genre à capituler en rase campagne" (Médiapart du 4 juillet 2013).
Cet idiot utile ou avocassier intéressé voit en toi un sauveur, puisque tu avais dit toi-même, lors de ton passage pitoyable sur Attounisiya TV que « Celui qui veut faire de la politique doit retirer l’uniforme ». Et nous, on te dit que celui qui a baissé son caleçon aux Américains et aux Qataris n’a plus rien à retirer ! Tout ce qui te reste à faire, c’est de te retirer toi-même et définitivement de la scène politique, de te faire oublier et de profiter des « primes » versées par les Qataris en rançon de la Tunisie que tu as vendu et de la Libye dont tu as grandement facilité l'invasion.Tunisie-Secret.com
Karim Zmerli
Les Tunisiens connaissent maintenant le nom du nouveau chef d’état-major, de l’armée de terre uniquement ! Il s’agit de Mohamed-Salah Hamdi, qui était effectivement affecté à l’Inspection générale. C’est Taïeb Lajimi, chef d’état-major de l’armée de l’air et homme de confiance de Rachid Ammar, qui l’aurait suggéré. Il faut savoir que parmi les rares officiers qui n’étaient pas sous l’influence du général-félon, « Circus Ammar », il y a notamment le général Ahmed Chabir et l'officier supérieur Marouene Bouguerra. Le nouveau chef d’état-major de l’armée de terre est réputé pour sa loyauté et sa neutralité idéologique.
« Circus Ammar » a été bel et bien dégagé par Rached Ghannouchi, avec l’assentiment de Moncef Marzouki. Même si nos confrères d’africain-Intelligence ne citent pas le nom du chef des Frères musulmans en Tunisie, nous confirmons l’authenticité de notre information. En effet, Africain-Intelligence No 1070, du 4 juillet dernier a écrit : « La fin de mandat de Rachid Ammar, un simple départ à la retraite ? Pure fiction ! Selon nos sources à Tunis, le chef d'état-major de l'armée n'a jamais demandé à quitter son poste, contrairement à ce qu'il a affirmé à la télévision. Au contraire, il avait sollicité dès le mois de mars le président Moncef Marzouki afin d'être prolongé dans ses fonctions (tout comme il l'avait fait avec Zine El Abidine Ben Ali lorsqu'il avait atteint l'âge de la retraite en 2007). Mais Marzouki, sur les conseils de son conseiller politique Aziz Krichen et de son directeur de cabinet Adnène Mansar, a appliqué strictement les textes, qui imposent un départ à la retraite à 60 ans. Dans un premier temps, pourtant, Carthage avait demandé au général de lui adresser par écrit une demande de maintien en fonctions. Ce n'est qu'après qu'il se soit exécuté, en avril, que le refus lui a été signifié. Humiliant ! Pour légaliste qu'elle soit, la position du président ouvre une période de flottement à la tête de l'armée, tant le choix d'un successeur au "héros de la révolution" promet d'être ardu ».
Tout ce que dit Africain-Intelligence est parfaitement exact, mais nos confrères Français, dont les informations sont toujours avérées parce qu'elles puisent à la bonne source, ne savent pas qu’Adnène Mansar est un islamiste recyclé ! Rached Ghannouchi voulait absolument écarter Rachid Ammar malgré la platitude et la servitude de ce dernier. Le chef de la secte islamiste, qu’un scénario à l’algérienne empêchait de dormir, a toujours pensé et dit que « le soutien de l’armée n’est pas assuré ». L’éviction de son frère en secte, Mohamed Morsi, confirme sa crainte ! Une crainte fondée par rapport à l’armée en tant qu’institution républicaine et patriotique, mais pas par rapport au général Rachid Ammar. Pourquoi ?
Tout simplement parce que « Circus Ammar » n’a ni la personnalité, ni le courage, ni la culture, ni le patriotisme de faire en Tunisie ce que le général Abdelfattah Al-Sassi a fait en Egypte : sauver son pays du néocolonialisme occidental et du fascisme islamiste. Il n’a pas la trempe des grands généraux que la Tunisie a eus : le général Youssef Baraket (général corps armées en 1987), le général Abdelhamid Fehri (chef d’état-major de l’armée de l’air), le général Saïd El-Katib (chef d’état-major de l’armée de terre), et même s’ils sont moins trempés et aguerris, le général Ahmed Noomane, le général Habib Ammar, le général Abdelhamid Escheikh, le général Ahmed Chabir …Une génération de grands officiers qui ont été tous écartés ou marginalisés par Ben Ali les cinq premières années de son règne. Si Rachid Ammar était de cette trempe, jamais Ben Ali n’aurait fait de lui le chef d’état-major de l’armée de terre. C’est parce qu’il n’a aucune personnalité et aucun charisme, que le général Ben Ali lui a fait confiance. Et c’est pour les mêmes raisons que Léon Panetta a misé sur lui dès 2009 ! Léon Panetta était le patron de la CIA jusqu’en juin 2011, date de sa nomination à la tête du Pentagone, en remplacement de Robert Gates.
Dans une situation où la Tunisie va, selon ses propres dires, vers une somalisation, un général digne de ce nom ne dit pas à la télévision, devant des millions de Tunisiens qui s’inquiètent, « j’ai décidé d’arrêter le travail. Je vais m’occuper de ma famille » (textuellement). Sans craindre le ridicule, cette caricature de général, comme toutes les caricatures de politichiens nés de la révolution du jasmin, a ajouté : « Celui qui démissionne est quelqu’un qui évite les difficultés. Or, ce n’est pas mon cas depuis que je suis aux commandes » ! Sans craindre la honte, il a conclu : « Si la révolution n’avait pas réussie, je serai parmi les morts. La révolution n’a pas réussie( !). Mon succès à moi, c’est lorsque le régime a changé » (textuellement).
En effet, général-félon, tu n’as pas craint les difficultés lorsque Léon Panetta t’a ordonné de tirer sur la foule pour embarrasser Ben Ali. Tu n’as pas craint les difficultés lorsque tes maîtres Américains t’ont ordonné de pousser Ben Ali vers la porte de sortie. Tu n’as pas craint les difficultés lorsqu’ils t’ont ordonné de laisser filer les snipers étrangers recrutés par le Qatar qui ont tiré sur nos enfants. Tu n’as pas craint les difficultés lorsque les Américains et les Français t’ont ordonné de transformer le Sud tunisien en base arrière pour envahir la Libye et détruire ce pays frère. Tu n’as pas craint les difficultés lorsque tu as accordé aux Américains ce que le général Ben Ali leur a toujours refusé : une base militaire à Rémada. Tu n'as pas craint les difficultés lorsque tu as laissé les criminels Rached Ghannouchi et Moncef Marzouki envoyer leurs vermines djihadistes en Syrie. Tu n’as pas craint les difficultés lorsque les crapules du Qatar t’ont convoqué à Doha, et lorsque tu as été grignoter des pistaches dans leur ambassade à Tunis, le jour de leur fête nationale…et de notre défaite nationale. Et tu as osé dire que « le 15 janvier 2011, on m’a demandé de prendre le pouvoir et j’ai refusé » ! Qui te l’a demandé, pauvre type ? Le chef d’antenne de l’ambassade US en Tunisie, ou celui de l’ambassade de France ? Tu savais très bien que ton misérable rôle devait s’arrêter à la « chute du régime », comme tu l’as si bien dit. Que par conséquent, les américains avaient besoin du mythe de la « révolution du jasmin » pour aller détruire d’autres pays arabes. L’armée qui prend le pouvoir, ce n’était pas du tout dans le scénario du film révolutionnaire anglo-américain.
Général-félon, tu n’es qu’une copie terne du général Ben Ali…moins son patriotisme. Comme lui, tu es un inculte. Comme lui, tu crois aux Saints et aux marabouts pour protéger la Tunisie. Comme lui, tu es soumis à ta femme. Depuis ta désertion, certains idiots et crétins parlent de toi comme d’un futur président sauveur. C'est le cas d'un certain Hédy Belhassine, qui a scribouillé ce panégyrique: "Ammar est intelligent, fin stratège et bon tacticien. Dans cet épisode Gaullien il prend une avance politique décisive. Il était Chef d’Etat Major muet, il est désormais un des zaïm volubile de la nation, il sera Chef de l’Etat élu, peut-être ! Car comment interpréter ce coup médiatique autrement que par l’ambition d’affronter le suffrage universel ? L’homme n’est pas du genre à capituler en rase campagne" (Médiapart du 4 juillet 2013).
Cet idiot utile ou avocassier intéressé voit en toi un sauveur, puisque tu avais dit toi-même, lors de ton passage pitoyable sur Attounisiya TV que « Celui qui veut faire de la politique doit retirer l’uniforme ». Et nous, on te dit que celui qui a baissé son caleçon aux Américains et aux Qataris n’a plus rien à retirer ! Tout ce qui te reste à faire, c’est de te retirer toi-même et définitivement de la scène politique, de te faire oublier et de profiter des « primes » versées par les Qataris en rançon de la Tunisie que tu as vendu et de la Libye dont tu as grandement facilité l'invasion.Tunisie-Secret.com
Karim Zmerli