Un visage qui en dit long sur ce clone féminin de Moncef Marzouki.
Cette réplique de Hafedh Caïd Essebsi a été publiée sur sa page facebook et reprise notamment par Slate Afrique et Tunisia Daily.
Le texte de Hafedh Caïd Essebsi
"Après avoir soutenue activement Moncef Marzouki, avoir été membre du bureau politique du CPR, et plus tard participée activement à sa déconfiture…, Om Zied alias Naziha Rejiba, sentant le vent changer de cap, s’est retirée en « opportuniste » qu’elle est, bien après les élections du 23 Octobre 2011, et ce, après avoir enfoncé le clou, et que le navire « troïka » ait commencé à chavirer en prenant l’eau de tous les cotés…
Mme Réjiba, change de camp et essaies de rejoindre « en catimini », celui des démocrates en donneuse de leçon, elle se permet aujourd’hui de critiquer maladroitement la présence de BCE, le leader de l’opposition, à l’occasion de la cérémonie du Quarantième jour, de l’assassinat du Martyr Mohamed Brahmi…
Je rappelle à Mme Rejiba, qui semble maladroitement user de la surenchère politique avec le sang des martyrs, en lui remémorant, puisqu’elle semble avoir aussi vite oublié que le sang du Martyr Mohamed Brahmi est le même sang que celui du Martyr Chokri Belaid ou Lotfi Naguedh de Nidaa Tounès…Ou celui des Martyrs « nos soldats » …
Je rappelle que nous n’avons pas entendu auparavant Om Zied alias Naziha Rejiba, lorsque son mari était ministre dans le gouvernement BCE. À l’époque, elle se plaisait encore d’être la femme de Monsieur le Ministre « noyée » dans les luxueux avantages de la fonction…
Aussi, je soulève que nous n’avons pas vu Mme Réjiba (Om zied) très critique envers tout ce qui s’est passé dans notre pays ces derniers temps, ni à soutenir les nombreuses agressions et menaces envers ces « compères » les journalistes, ni à défendre la parole libre et la liberté d’expression…Ou même remarquer quelque part, sa solidarité vis-à-vis des militants(es) des Droits de l’Homme qui ont été victime des divers « outrages »…Ni à l’avoir aperçue à critiquer le gouvernement en dénonçant au moins, ce qui ne marche pas…Ni à faire face à toutes les « bévues » et les « bourdes » de ses « protégés » Moncef Marzouki et les siens…
Aujourd’hui, arrêtez Mme Réjiba de semer la zizanie chez les démocrates, votre camp est ailleurs…La Tunisie a besoin de tous ses enfants pour faire face au danger du terrorisme et pour combattre l’obscurantisme, et toutes les initiatives qui vont dans ce sens, il faut les applaudir ou vous taire comme vous vous êtes bien gardé de le faire ces derniers temps…" Signé, Hafedh Caïd Essebsi.
Sans légende, Om Zied est aussi laide que Neziha Rejiba sans maquillage
Hafedh Caïd Essebsi s’étonne comment la langue de vipère s’est transformée en langue de Bois, à l’instar de sa complice de toujours, Sihem Bensedrine-Laval. Ces deux figurines de la « résistance », qui n’ont pas fait une heure de prison sous la « dictature » de Ben Ali, savent mettre les droits de l’homme de côté, lorsque le droit des affaires l’exige. Charmantes sans charme, elles ont su tirer profit du commerce des droits de l’homme sous l’ancien régime, en se mettant au service de certaines ONG occidentales, et quadrupler leurs fortunes sous la dictature islamiste, notamment en offrant leurs services aux entreprises et aux hommes d'affaire qui faisaient l'objet de vindicte populaire. Calomniez, calomniez il en restera toujours quelque chose; rançonnez, rançonnez il y aura toujours quelque chose à gratter!
Si madame Laval a commis l’erreur de soutenir sans réserve Rached Ghannouchi et ses terroristes, madame Jellali –depuis que son mari n’est plus « ministre »- a maintenu le cap de la stigmatisation, pour entretenir l’image trompeuse de l'éternelle « résistante ». La vieille vipère sait bien choisir ses cibles : les « foulouls » de l’ancien régime qu’elle voudrait voir tous en prison (sauf ceux qui payent), les figures montantes de l’opposition, et les mouvements politiques qui peuvent déboulonner du pouvoir ses amis d’Ennahda, en l’occurrence Nidaa Tounes. De quoi est faite cette personne aigrie, haineuse, cruelle et vilaine?
Version féminine de Taoufik Ben Brik, cette autodidacte voulait être écrivaine. Après avoir scribouillé quelques articles à droite et à gauche, Neziha Rejiba s’associât en 2000 à Sihem Laval, à l’époque Sihem Mestiri, dans son business « Kalima ». Il fallait bien une rédactrice en chef pour se partager les fonds du MEPI et autres ONG de « bienfaisance ». En 2001, elle est membre fondateur du CPR, la filiale « laïque » d’Ennahda, qui comptait à l’époque une dizaine de membres, tous détachés ou dépités de la secte ghannouchienne.
Après la révolution du jasmin, Neziha Rejiba distillait son venin sur tous les plateaux de télévision, y compris Al-Jazeera et Al-Arabiya, alternant vengeance, délation et lynchage des anciens responsables politiques, y compris de simples directeurs d’entreprises publiques. Parallèlement, elle était la meilleure avocassière des islamistes, « innocentes victimes » de la « dictature » de Bourguiba et de Ben Ali ! Comme le Tartour, elle a joué auprès de l'opinion tunisienne un rôle clef dans la réhabilitation des jeteurs d'acide et poseurs de bombes.
Madame Neziha a oublié que son mari, Mokhtar Jellali a fait une bonne partie de sa carrière au sein de la STEG, avant de devenir directeur de la très controversée AFH (Agence Foncière d’Habitation). Elle a oublié sur quels terrains elle a pu construire ses trois villas et sa Sénia, à une centaine de kilomètres de Tunis ! Elle a oublié que monsieur son mari, originaire de Sidi Bouzid, a été membre de l’UDU (Union démocratique unioniste), un parti qui servait de vitrine démocratique à Ben Ali, qui a été légalisé dès 1988 et qui a participé à toutes les mascarades électorales depuis 1989. Elle a oublié que monsieur son mari a été même député de 1999 à 2004. Mais il y a plus grave que ce passé au service de la dictature.
Le 13 octobre 2008, dans un accident de la route, Mokhtar Jellali a causé la mort d’un piéton, orphelin et soutien financier d’une famille de six personnes. Convoqué par le procureur de la République, il a été mis sous détention à la prison de Mornaguia. Mais, suite aux pressions de la mafia des droits de l’homme, qui a fait passer cette affaire pour du harcèlement dû aux activités « politiques » de son épouse, il a été relaxé par la Justice corrompue de Ben Ali. La famille de la victime n’a pas eu droit à un centime de dédommagement ! Plutôt curieux pour cette grande « militante » des droits de l’homme et pour son mari, recyclé au barreau de Tunis ! Ministre dans le gouvernement de Mohamed Ghannouchi et celui de Béji Caïd Essebsi, il espère reprendre du service au sein des prochains gouvernements. D’où les flèches savamment dosées de madame son épouse, tantôt contre Moncef Marzouki, son ex-idole, tantôt contre Rached Ghannouchi, son cheikh bien aimé et bien généreux, tantôt contre Béji Caïd Essebsi, rien que parce qu’il a osé la remettre à sa place.TunisieSecret
Lilia Ben Rejeb
Le texte de Hafedh Caïd Essebsi
"Après avoir soutenue activement Moncef Marzouki, avoir été membre du bureau politique du CPR, et plus tard participée activement à sa déconfiture…, Om Zied alias Naziha Rejiba, sentant le vent changer de cap, s’est retirée en « opportuniste » qu’elle est, bien après les élections du 23 Octobre 2011, et ce, après avoir enfoncé le clou, et que le navire « troïka » ait commencé à chavirer en prenant l’eau de tous les cotés…
Mme Réjiba, change de camp et essaies de rejoindre « en catimini », celui des démocrates en donneuse de leçon, elle se permet aujourd’hui de critiquer maladroitement la présence de BCE, le leader de l’opposition, à l’occasion de la cérémonie du Quarantième jour, de l’assassinat du Martyr Mohamed Brahmi…
Je rappelle à Mme Rejiba, qui semble maladroitement user de la surenchère politique avec le sang des martyrs, en lui remémorant, puisqu’elle semble avoir aussi vite oublié que le sang du Martyr Mohamed Brahmi est le même sang que celui du Martyr Chokri Belaid ou Lotfi Naguedh de Nidaa Tounès…Ou celui des Martyrs « nos soldats » …
Je rappelle que nous n’avons pas entendu auparavant Om Zied alias Naziha Rejiba, lorsque son mari était ministre dans le gouvernement BCE. À l’époque, elle se plaisait encore d’être la femme de Monsieur le Ministre « noyée » dans les luxueux avantages de la fonction…
Aussi, je soulève que nous n’avons pas vu Mme Réjiba (Om zied) très critique envers tout ce qui s’est passé dans notre pays ces derniers temps, ni à soutenir les nombreuses agressions et menaces envers ces « compères » les journalistes, ni à défendre la parole libre et la liberté d’expression…Ou même remarquer quelque part, sa solidarité vis-à-vis des militants(es) des Droits de l’Homme qui ont été victime des divers « outrages »…Ni à l’avoir aperçue à critiquer le gouvernement en dénonçant au moins, ce qui ne marche pas…Ni à faire face à toutes les « bévues » et les « bourdes » de ses « protégés » Moncef Marzouki et les siens…
Aujourd’hui, arrêtez Mme Réjiba de semer la zizanie chez les démocrates, votre camp est ailleurs…La Tunisie a besoin de tous ses enfants pour faire face au danger du terrorisme et pour combattre l’obscurantisme, et toutes les initiatives qui vont dans ce sens, il faut les applaudir ou vous taire comme vous vous êtes bien gardé de le faire ces derniers temps…" Signé, Hafedh Caïd Essebsi.
Sans légende, Om Zied est aussi laide que Neziha Rejiba sans maquillage
Hafedh Caïd Essebsi s’étonne comment la langue de vipère s’est transformée en langue de Bois, à l’instar de sa complice de toujours, Sihem Bensedrine-Laval. Ces deux figurines de la « résistance », qui n’ont pas fait une heure de prison sous la « dictature » de Ben Ali, savent mettre les droits de l’homme de côté, lorsque le droit des affaires l’exige. Charmantes sans charme, elles ont su tirer profit du commerce des droits de l’homme sous l’ancien régime, en se mettant au service de certaines ONG occidentales, et quadrupler leurs fortunes sous la dictature islamiste, notamment en offrant leurs services aux entreprises et aux hommes d'affaire qui faisaient l'objet de vindicte populaire. Calomniez, calomniez il en restera toujours quelque chose; rançonnez, rançonnez il y aura toujours quelque chose à gratter!
Si madame Laval a commis l’erreur de soutenir sans réserve Rached Ghannouchi et ses terroristes, madame Jellali –depuis que son mari n’est plus « ministre »- a maintenu le cap de la stigmatisation, pour entretenir l’image trompeuse de l'éternelle « résistante ». La vieille vipère sait bien choisir ses cibles : les « foulouls » de l’ancien régime qu’elle voudrait voir tous en prison (sauf ceux qui payent), les figures montantes de l’opposition, et les mouvements politiques qui peuvent déboulonner du pouvoir ses amis d’Ennahda, en l’occurrence Nidaa Tounes. De quoi est faite cette personne aigrie, haineuse, cruelle et vilaine?
Version féminine de Taoufik Ben Brik, cette autodidacte voulait être écrivaine. Après avoir scribouillé quelques articles à droite et à gauche, Neziha Rejiba s’associât en 2000 à Sihem Laval, à l’époque Sihem Mestiri, dans son business « Kalima ». Il fallait bien une rédactrice en chef pour se partager les fonds du MEPI et autres ONG de « bienfaisance ». En 2001, elle est membre fondateur du CPR, la filiale « laïque » d’Ennahda, qui comptait à l’époque une dizaine de membres, tous détachés ou dépités de la secte ghannouchienne.
Après la révolution du jasmin, Neziha Rejiba distillait son venin sur tous les plateaux de télévision, y compris Al-Jazeera et Al-Arabiya, alternant vengeance, délation et lynchage des anciens responsables politiques, y compris de simples directeurs d’entreprises publiques. Parallèlement, elle était la meilleure avocassière des islamistes, « innocentes victimes » de la « dictature » de Bourguiba et de Ben Ali ! Comme le Tartour, elle a joué auprès de l'opinion tunisienne un rôle clef dans la réhabilitation des jeteurs d'acide et poseurs de bombes.
Madame Neziha a oublié que son mari, Mokhtar Jellali a fait une bonne partie de sa carrière au sein de la STEG, avant de devenir directeur de la très controversée AFH (Agence Foncière d’Habitation). Elle a oublié sur quels terrains elle a pu construire ses trois villas et sa Sénia, à une centaine de kilomètres de Tunis ! Elle a oublié que monsieur son mari, originaire de Sidi Bouzid, a été membre de l’UDU (Union démocratique unioniste), un parti qui servait de vitrine démocratique à Ben Ali, qui a été légalisé dès 1988 et qui a participé à toutes les mascarades électorales depuis 1989. Elle a oublié que monsieur son mari a été même député de 1999 à 2004. Mais il y a plus grave que ce passé au service de la dictature.
Le 13 octobre 2008, dans un accident de la route, Mokhtar Jellali a causé la mort d’un piéton, orphelin et soutien financier d’une famille de six personnes. Convoqué par le procureur de la République, il a été mis sous détention à la prison de Mornaguia. Mais, suite aux pressions de la mafia des droits de l’homme, qui a fait passer cette affaire pour du harcèlement dû aux activités « politiques » de son épouse, il a été relaxé par la Justice corrompue de Ben Ali. La famille de la victime n’a pas eu droit à un centime de dédommagement ! Plutôt curieux pour cette grande « militante » des droits de l’homme et pour son mari, recyclé au barreau de Tunis ! Ministre dans le gouvernement de Mohamed Ghannouchi et celui de Béji Caïd Essebsi, il espère reprendre du service au sein des prochains gouvernements. D’où les flèches savamment dosées de madame son épouse, tantôt contre Moncef Marzouki, son ex-idole, tantôt contre Rached Ghannouchi, son cheikh bien aimé et bien généreux, tantôt contre Béji Caïd Essebsi, rien que parce qu’il a osé la remettre à sa place.TunisieSecret
Lilia Ben Rejeb