L'équipe électorale de Moncef Marzouki qui lui fera gagner une bonne place dans la poubelle de l'histoire: Imed Daïmi, qui est passé de l'islamisme au cepérisme, Tarek Kahlaoui, qui est passé du Matérisme au Marzoukisme, Yassine Ayari, qui est passé du cyber-collaborationnisme au salafisme, Recoba, qui est passé du rcédisme au djihadisme, et Imed Deghij, qui est passé du Trabelsisme au Tartourisme.
Après le désaveu historique que son microscopique parti (CPR) a reçu aux élections législatives, Moncef Marzouki panique et tente de ratisser large pour gagner les élections présidentielles. Ratisser large, c’est-à-dire récupérer les voix des miliciens des « Ligues de protection de la révolution » (LPR), celles des 23000 criminels qu’il a amnistié en trois ans, ainsi que celles des déçus d’Ennahdha, qui trouvent que Moncef Marzouki est plus fidèle à leur projet totalitaire et théocratique que Rached Ghannouchi !
On rappelle ici que les LPR sont une organisation hors la loi puisqu’elles ont été dissoutes en mai 2014 en raison de leur extrémisme et de leur violence, notamment du lynchage et du meurtre du militant de Nidaa Tounes, Lotfi Nagdh, à Tataouine, en mai 2012, ainsi que de l’attaque contre le siège de l’UGTT, le 4 décembre 2013. Ils ont également participé au pillage de l’ambassade américaine à Tunis. Dès décembre 2012, alors que d’autres partis politiques voyaient d’un bon œil les LPR, Mohsen Marzouk avait déclaré sur France24 que « Les Ligues de protection de la révolution (LPR) sont des bandes organisées terroristes et violentes».
Si, après le jugement de dissolution, plusieurs de ses membres ont rejoint le CPR et Ennahdha, leurs cellules mères, d’autres continuent à afficher leur appartenance aux LPR et à agir en son nom. C’est le cas d’un certain Imed Deghij et d’un autre brigand de la même région du Kram (banlieue nord de Tunis) qui se fait appeler Recoba et dont le vrai nom est Mohamed Amine Akid, un terroriste potentiel qui n’hésite pas à afficher son admiration par « cheikh Oussama Ben Laden » et sa sympathie pour Seifallah Ben Hassine, alias Abou Iyadh.
Ceux qui se font appeler « Rijél al-Thawra Bil-Kram 2 » (les hommes de la révolution au Kram), un ramassis de voyous dont le caïd est Imed Deghij, ont récemment publié ce message sur leur page officielle du même nom : « On a versé notre sang pour la liberté et afin d’éradiquer les ennemis de la liberté ….ne pensez jamais que nous vous laisserons détenir le gouvernement et la présidence. Nous n’accepterons pas d’être esclaves ...La mort vaut mieux que l’humiliation ».
C’est la traduction exacte du slogan « On gagne, ou on gagne », que leur leader Moncef Marzouki a choisi pour sa campagne présidentielle, en plagiant ce slogan sur une chanson dédiée à l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo. Pour avoir libéré 23000 criminels, appelé implicitement au djihad en Syrie, reçu des terroristes au palais de Carthage, donné Baghdadi Mahmoudi à ses tortionnaires libyens, et semé la zizanie entre les Tunisiens, Moncef Marzouki finira sans doute comme Laurent Gbagbo.
Pour le moment, et malgré les intimidations exercées sur les magistrats des barbouzes qui font office de « conseillers à la présidence », c’est Imed Deghij et les administrateurs de la page facebook « Rijél al-Thawra Bil-Kram 2 » qui vont devoir faire face à la justice tunisienne. En effet, ces terroristes en puissance font l’objet d’une enquête ordonnée par le Ministère public pour « incitation à la haine, insultes et nuisances à autrui via les réseaux sociaux ». Le caïd du Kram, Imed Deghij, qui est déjà sous le coup d’une peine de six mois de prison avec sursis, a récemment promis aux Tunisiens la violence et « un bain de sang », si jamais Béji Caïd Essebsi était élu président !
Après avoir perdu la confiance des quelques Tunisiens à qui il avait promis monts et merveilles, sinon la démission au bout de six mois, et récolté le mépris de l’élite intellectuelle et d’une partie de la société civile qui voyaient en lui un « penseur engagé pour les droits de l’homme », Moncef Marzouki n’a plus personne sur qui compter à part ce ramassis de brigands et de terroristes des LPR, les 23000 criminels amnistiés par lui, les quelques centaines de déçus d’Ennahdha dont le chef s’est avéré plus politique et plus légaliste que le fou de Carthage, ainsi que ses réseaux réactionnaires et mafieux au Qatar. Le 3 novembre dernier, le tristement célèbre imposteur d’Al-Jazeera, Fayçal el-Kacem, a publié sur sa page facebook un post soutenant la candidature du « docteur » Marzouki, qui est selon ce mercenaire qui a vendu son pays (la Syrie) et son âme au Qatar, « la meilleure garantie pour la Tunisie dans cette étape dangereuse » ! De façon plus subtile et hypocrite, un autre serviteur de Hamad et Mozza, Mohamed Krichen, a fait la même chose il y a trois semaines. Entre collègues et mercenaires d'Al-Jazeera, la solidarité est mécanique! Entre collègues, puisque Marzouki est, selon un centre de recherche libanais, salarié de cette chaîne subversive, percevant 50000 euros par mois. (voir vidéo ci-dessous).
Après plus de trois ans de présidence usurpée qui a mis la dignité tunisienne plus bas que terre et réduit la fonction présidentielle à un tout à l’égout pour aliénés, ignorants et traitres, les Tunisiens savent désormais que Moncef Marzouki est la meilleure garantie pour une guerre civile en Tunisie, ce qui est exactement l’objectif de l’émirat voyou du Qatar dont il est le mercenaire No1 en Tunisie. Dès ses premiers mois à Carthage, il cherché à semer la zizanie entre les Youssefistes et les Bourguibistes, entre l’armée et la police, entre les bourgeois et les prolétaires, entre les Tunisois et les gens du Sud, entre ces derniers et les Sahéliens, et ceux-ci contre les Sfaxiens… Diviser pour régner, on connait la devise.
Maintenant qu’il sent la défaite toute proche et la poubelle de l’histoire à côté du fauteuil présidentiel qu’il a souillé, il joue sur le vieux refrain de la peur en essayant de convaincre les Tunisiens que la victoire de Béji Caïd Essebsi aux élections présidentielles enterrerait les « acquis de la révolution » et ramènerai au pouvoir les « sbires de Ben Ali » et les « criminels du RCD ». Ce faisant, il cherche à créer la discorde entre les Tunisiens quitte à provoquer une guerre civile.
Si les hauts dirigeants d’Ennahdha semblent avoir compris qu’en soutenant Moncef Marzouki, ils risquent de tomber en même temps que lui, la poignée d’officiers de l’armée qu’il a réussi à placer et les quelques cadres du ministère de l’Intérieur qu’il a rallié à sa cause destructrice de l’unité nationale et de la souveraineté du pays, doivent savoir dès à présent qu’ils n’échapperont pas à la Justice tunisienne…. comme en janvier 2011 ! A moins d’un sursaut de dernière minute !!!
Karim Zmerli
La vidéo qui accuse Moncef Marzouki d'être à la solde d'Al-Jazeera avec un salaire de 50000 euros par mois:
https://www.youtube.com/watch?v=4JtCtKZcmrA&feature=share
La vidéo de l’émir du Qatar humiliant Moncef Marzouki et par conséquent le peuple tunisien, en présence de Mustapha Ben Jaafar et de Hamadi Jebali :
https://www.youtube.com/watch?v=lv6Uf11Wuss
Vidéo de l’émission de Samir el-Wafi, recevant le mercenaire No1 du Qatar :
https://www.facebook.com/video.php?v=749879661767822
On rappelle ici que les LPR sont une organisation hors la loi puisqu’elles ont été dissoutes en mai 2014 en raison de leur extrémisme et de leur violence, notamment du lynchage et du meurtre du militant de Nidaa Tounes, Lotfi Nagdh, à Tataouine, en mai 2012, ainsi que de l’attaque contre le siège de l’UGTT, le 4 décembre 2013. Ils ont également participé au pillage de l’ambassade américaine à Tunis. Dès décembre 2012, alors que d’autres partis politiques voyaient d’un bon œil les LPR, Mohsen Marzouk avait déclaré sur France24 que « Les Ligues de protection de la révolution (LPR) sont des bandes organisées terroristes et violentes».
Si, après le jugement de dissolution, plusieurs de ses membres ont rejoint le CPR et Ennahdha, leurs cellules mères, d’autres continuent à afficher leur appartenance aux LPR et à agir en son nom. C’est le cas d’un certain Imed Deghij et d’un autre brigand de la même région du Kram (banlieue nord de Tunis) qui se fait appeler Recoba et dont le vrai nom est Mohamed Amine Akid, un terroriste potentiel qui n’hésite pas à afficher son admiration par « cheikh Oussama Ben Laden » et sa sympathie pour Seifallah Ben Hassine, alias Abou Iyadh.
Ceux qui se font appeler « Rijél al-Thawra Bil-Kram 2 » (les hommes de la révolution au Kram), un ramassis de voyous dont le caïd est Imed Deghij, ont récemment publié ce message sur leur page officielle du même nom : « On a versé notre sang pour la liberté et afin d’éradiquer les ennemis de la liberté ….ne pensez jamais que nous vous laisserons détenir le gouvernement et la présidence. Nous n’accepterons pas d’être esclaves ...La mort vaut mieux que l’humiliation ».
C’est la traduction exacte du slogan « On gagne, ou on gagne », que leur leader Moncef Marzouki a choisi pour sa campagne présidentielle, en plagiant ce slogan sur une chanson dédiée à l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo. Pour avoir libéré 23000 criminels, appelé implicitement au djihad en Syrie, reçu des terroristes au palais de Carthage, donné Baghdadi Mahmoudi à ses tortionnaires libyens, et semé la zizanie entre les Tunisiens, Moncef Marzouki finira sans doute comme Laurent Gbagbo.
Pour le moment, et malgré les intimidations exercées sur les magistrats des barbouzes qui font office de « conseillers à la présidence », c’est Imed Deghij et les administrateurs de la page facebook « Rijél al-Thawra Bil-Kram 2 » qui vont devoir faire face à la justice tunisienne. En effet, ces terroristes en puissance font l’objet d’une enquête ordonnée par le Ministère public pour « incitation à la haine, insultes et nuisances à autrui via les réseaux sociaux ». Le caïd du Kram, Imed Deghij, qui est déjà sous le coup d’une peine de six mois de prison avec sursis, a récemment promis aux Tunisiens la violence et « un bain de sang », si jamais Béji Caïd Essebsi était élu président !
Après avoir perdu la confiance des quelques Tunisiens à qui il avait promis monts et merveilles, sinon la démission au bout de six mois, et récolté le mépris de l’élite intellectuelle et d’une partie de la société civile qui voyaient en lui un « penseur engagé pour les droits de l’homme », Moncef Marzouki n’a plus personne sur qui compter à part ce ramassis de brigands et de terroristes des LPR, les 23000 criminels amnistiés par lui, les quelques centaines de déçus d’Ennahdha dont le chef s’est avéré plus politique et plus légaliste que le fou de Carthage, ainsi que ses réseaux réactionnaires et mafieux au Qatar. Le 3 novembre dernier, le tristement célèbre imposteur d’Al-Jazeera, Fayçal el-Kacem, a publié sur sa page facebook un post soutenant la candidature du « docteur » Marzouki, qui est selon ce mercenaire qui a vendu son pays (la Syrie) et son âme au Qatar, « la meilleure garantie pour la Tunisie dans cette étape dangereuse » ! De façon plus subtile et hypocrite, un autre serviteur de Hamad et Mozza, Mohamed Krichen, a fait la même chose il y a trois semaines. Entre collègues et mercenaires d'Al-Jazeera, la solidarité est mécanique! Entre collègues, puisque Marzouki est, selon un centre de recherche libanais, salarié de cette chaîne subversive, percevant 50000 euros par mois. (voir vidéo ci-dessous).
Après plus de trois ans de présidence usurpée qui a mis la dignité tunisienne plus bas que terre et réduit la fonction présidentielle à un tout à l’égout pour aliénés, ignorants et traitres, les Tunisiens savent désormais que Moncef Marzouki est la meilleure garantie pour une guerre civile en Tunisie, ce qui est exactement l’objectif de l’émirat voyou du Qatar dont il est le mercenaire No1 en Tunisie. Dès ses premiers mois à Carthage, il cherché à semer la zizanie entre les Youssefistes et les Bourguibistes, entre l’armée et la police, entre les bourgeois et les prolétaires, entre les Tunisois et les gens du Sud, entre ces derniers et les Sahéliens, et ceux-ci contre les Sfaxiens… Diviser pour régner, on connait la devise.
Maintenant qu’il sent la défaite toute proche et la poubelle de l’histoire à côté du fauteuil présidentiel qu’il a souillé, il joue sur le vieux refrain de la peur en essayant de convaincre les Tunisiens que la victoire de Béji Caïd Essebsi aux élections présidentielles enterrerait les « acquis de la révolution » et ramènerai au pouvoir les « sbires de Ben Ali » et les « criminels du RCD ». Ce faisant, il cherche à créer la discorde entre les Tunisiens quitte à provoquer une guerre civile.
Si les hauts dirigeants d’Ennahdha semblent avoir compris qu’en soutenant Moncef Marzouki, ils risquent de tomber en même temps que lui, la poignée d’officiers de l’armée qu’il a réussi à placer et les quelques cadres du ministère de l’Intérieur qu’il a rallié à sa cause destructrice de l’unité nationale et de la souveraineté du pays, doivent savoir dès à présent qu’ils n’échapperont pas à la Justice tunisienne…. comme en janvier 2011 ! A moins d’un sursaut de dernière minute !!!
Karim Zmerli
La vidéo qui accuse Moncef Marzouki d'être à la solde d'Al-Jazeera avec un salaire de 50000 euros par mois:
https://www.youtube.com/watch?v=4JtCtKZcmrA&feature=share
La vidéo de l’émir du Qatar humiliant Moncef Marzouki et par conséquent le peuple tunisien, en présence de Mustapha Ben Jaafar et de Hamadi Jebali :
https://www.youtube.com/watch?v=lv6Uf11Wuss
Vidéo de l’émission de Samir el-Wafi, recevant le mercenaire No1 du Qatar :
https://www.facebook.com/video.php?v=749879661767822