Je suis un orphelin de Bourguiba tenace et pragmatique et un flic de Ben Ali sournois dont le Patriotisme tient du fanatisme. Remarquez peuple de gueux et de traîtres que j’écris, sans m’essouffler sur le web depuis le 14 Janvier 2011, la haine que vous suscitez en moi.
Je ne vous ai jamais respecté ni avant l’indépendance ni après car je sentais que contrairement aux Algériens, vous aviez tendance à retourner la veste, à baisser la culotte, et à embrasser les plus riches et les plus puissants, surtout les blancs. Pas un baiser romantique comme ceux des Parapluies de Cherbourg, mais le baiser des traîtres et des opportunistes qui vendraient leurs âmes mais surtout leur Patrie pour des Ecus. Et Ecus est bien le cas de le dire, car tout ce qui est blanc et colonial vous plonge dans l’émoi.
Votre romantisme se limite à faire des courses aux magasins du Lac de Tunis en conduisant vos limousines de luxe et en portant vos lunettes de soleil d’un regard hautain tout en exhibant des dinars. Des dinars fraîchement convertis de devises ayant été versées par des ONG en vos comptes en banque qui jadis étaient à découvert et dont le but est la déstabilisation de la Nation Bourguibienne et Benalienne au nom des droits de l’homme. Droits de l’homme avec vos tronches de peuple dégénéré ?
Vos cheveux défrisés par de longues séances de fer à repasser ondulent au vent, tandis que vous appuyez sur le champignon de vos limousines achetées à crédit d’un banquier Sfaxien véreux vous ayant fait signer un « leasing ». Votre passe-temps préféré se limite à vendre votre Patrie aux étrangers face auxquels vous vous prosternez et à malmener les pauvres qui trainent sur vos chemins malodorants.
Je suis sournois et futé et mon métier de flic était un véritable « hobby » pour moi comme dirait un Britannique. Lorsque j’interrogeais des islamistes que ce soit dans une chambre au Ministère de l’Intérieur ou dans l’un de nos Consulat de l’étranger, je feignais toujours d’être de leur côté. Alors, je parlais leur dialecte de l’Islam afin que leurs langues fourchues se délient et que ces gueux Tunisiens devenus agents de la CIA et des pays du Golfe, se mettent à table.
Il m’est arrivé dans le temps de me rendre dans le cadre de mon travail de flic à la ville de El Hancha et ce faisant, je devais nécessairement passer par la ville de Sfax. El Hancha était une ville insolite, dont les habitants hostiles et aux têtes difformes avaient développé une industrie de type lourd comme celles des aciéries de Komsomolsk de l’ancienne URSS nécessaires à la fabrication des blindés de type IS-2. En effet, ces habitants souvent hirsutes de la tête aux aisselles étaient devenus à travers les siècles spécialisés dans le vol des ânes. De quoi en faire un film comme celui Italien sur le voleur de bicyclettes et que jadis je visionnais dans un des cinémas de la nouvelle Tunisie Bourguibienne aujourd’hui anéantie par votre sous-développement.
John Wayne
Je ne vous ai jamais respecté ni avant l’indépendance ni après car je sentais que contrairement aux Algériens, vous aviez tendance à retourner la veste, à baisser la culotte, et à embrasser les plus riches et les plus puissants, surtout les blancs. Pas un baiser romantique comme ceux des Parapluies de Cherbourg, mais le baiser des traîtres et des opportunistes qui vendraient leurs âmes mais surtout leur Patrie pour des Ecus. Et Ecus est bien le cas de le dire, car tout ce qui est blanc et colonial vous plonge dans l’émoi.
Votre romantisme se limite à faire des courses aux magasins du Lac de Tunis en conduisant vos limousines de luxe et en portant vos lunettes de soleil d’un regard hautain tout en exhibant des dinars. Des dinars fraîchement convertis de devises ayant été versées par des ONG en vos comptes en banque qui jadis étaient à découvert et dont le but est la déstabilisation de la Nation Bourguibienne et Benalienne au nom des droits de l’homme. Droits de l’homme avec vos tronches de peuple dégénéré ?
Vos cheveux défrisés par de longues séances de fer à repasser ondulent au vent, tandis que vous appuyez sur le champignon de vos limousines achetées à crédit d’un banquier Sfaxien véreux vous ayant fait signer un « leasing ». Votre passe-temps préféré se limite à vendre votre Patrie aux étrangers face auxquels vous vous prosternez et à malmener les pauvres qui trainent sur vos chemins malodorants.
Je suis sournois et futé et mon métier de flic était un véritable « hobby » pour moi comme dirait un Britannique. Lorsque j’interrogeais des islamistes que ce soit dans une chambre au Ministère de l’Intérieur ou dans l’un de nos Consulat de l’étranger, je feignais toujours d’être de leur côté. Alors, je parlais leur dialecte de l’Islam afin que leurs langues fourchues se délient et que ces gueux Tunisiens devenus agents de la CIA et des pays du Golfe, se mettent à table.
Il m’est arrivé dans le temps de me rendre dans le cadre de mon travail de flic à la ville de El Hancha et ce faisant, je devais nécessairement passer par la ville de Sfax. El Hancha était une ville insolite, dont les habitants hostiles et aux têtes difformes avaient développé une industrie de type lourd comme celles des aciéries de Komsomolsk de l’ancienne URSS nécessaires à la fabrication des blindés de type IS-2. En effet, ces habitants souvent hirsutes de la tête aux aisselles étaient devenus à travers les siècles spécialisés dans le vol des ânes. De quoi en faire un film comme celui Italien sur le voleur de bicyclettes et que jadis je visionnais dans un des cinémas de la nouvelle Tunisie Bourguibienne aujourd’hui anéantie par votre sous-développement.
John Wayne