Tout de suite après le coup d’Etat du 14 janvier 2011, Manoubia Bouazizi, la mère de Tarek Bouazizi a quitté sa ville natale, Sidi Bouzid pour s’installer dans un quartier chic de La Marsa, dans la banlieue nord de Tunis. La ville des ouvriers et des déshérités n’était plus digne de son nouveau rang social, même si les Beldi de La Marsa se sont offusqués de sa présence encombrante. Malgré leur mépris légendaires à l’égard des « Nouzouh » comme ils disent, ils auraient pu adopter cette pauvre femme devenue l’icône de la « révolution » à laquelle ils avaient cru et participé.
Ne supportant plus le regard des habitants de Sidi Bouzid et le mépris des citadins de La Marsa, celle qui s’est offusquée un jour qu’Hillary Clinton, l’hirondelle du « printemps arabe », ne lui ai pas rendu une visite de courtoisie a fini par quitter la Tunisie pour le Canada, non guère pour entamer des études universitaires, ni même en tant que réfugiée politique, mais en tant que femme d’affaire.
Son projet à Montréal est un grand restaurant appelé « Le jasmin de Tunisie ». Elle aurait pu l’appeler « A la taverne de Bouazizi », puisque son illustre rejeton est devenu aussi célèbre que notre saint Prophète. L’ivrogne et voyou que fut Tarek Bouazizi, n’a-t-il pas eu droit au titre de la sainteté qui lui a été décerné par Hélé Béji dans un article du Monde, en janvier 2011 ?
Selon d'autres sources, c'est d'abord sa fille Leila qui aurait demandé le refuge politique au Canada ensuite, comme tout arabe qui se respecte, elle s'est arrangée pour recevoir son époux, puis sa mère Manoubia, puis ses trois demie-soeurs. Bientôt, c'est toute la tribu des Bouazizi qu'on verrait à Montréal, ce qui devrait inquiéter les autorités canadiennes: une "révolution du jasmin" est toujours possible dans un pays infesté par les islamistes.
On peut souhaiter à Manoubia Bouazizi tout le succès, pas seulement en matière de couscous mais en tant qu’ambassadrice de la Tunisie au Canada. Elle est vraiment à l’image de la nouvelle Tunisie qui ne respire plus le jasmin et s’accommode bien de l’odeur du sang des innocents égorgés par les islamo-terroristes et de celle des ordures qui jonchent les rues et les avenues !
Lilia Ben Rejeb
A lire dans nos archives:
Ne supportant plus le regard des habitants de Sidi Bouzid et le mépris des citadins de La Marsa, celle qui s’est offusquée un jour qu’Hillary Clinton, l’hirondelle du « printemps arabe », ne lui ai pas rendu une visite de courtoisie a fini par quitter la Tunisie pour le Canada, non guère pour entamer des études universitaires, ni même en tant que réfugiée politique, mais en tant que femme d’affaire.
Son projet à Montréal est un grand restaurant appelé « Le jasmin de Tunisie ». Elle aurait pu l’appeler « A la taverne de Bouazizi », puisque son illustre rejeton est devenu aussi célèbre que notre saint Prophète. L’ivrogne et voyou que fut Tarek Bouazizi, n’a-t-il pas eu droit au titre de la sainteté qui lui a été décerné par Hélé Béji dans un article du Monde, en janvier 2011 ?
Selon d'autres sources, c'est d'abord sa fille Leila qui aurait demandé le refuge politique au Canada ensuite, comme tout arabe qui se respecte, elle s'est arrangée pour recevoir son époux, puis sa mère Manoubia, puis ses trois demie-soeurs. Bientôt, c'est toute la tribu des Bouazizi qu'on verrait à Montréal, ce qui devrait inquiéter les autorités canadiennes: une "révolution du jasmin" est toujours possible dans un pays infesté par les islamistes.
On peut souhaiter à Manoubia Bouazizi tout le succès, pas seulement en matière de couscous mais en tant qu’ambassadrice de la Tunisie au Canada. Elle est vraiment à l’image de la nouvelle Tunisie qui ne respire plus le jasmin et s’accommode bien de l’odeur du sang des innocents égorgés par les islamo-terroristes et de celle des ordures qui jonchent les rues et les avenues !
Lilia Ben Rejeb
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Mohamed Bouazizi, l’ivrogne qui a mis le feu à la Tunisie - 17/12/2014
Aujourd’hui, quatre années jour pour jour se sont écoulées sur le 17 décembre 2010, lorsqu’un jeune homme de Sidi Bouzid s’est immolé, mettant ainsi le feu à la Tunisie, qui a servi de mèche à la poudrière arabe. Au bout de quatre semaines...Lire la suite