Le vendredi 8 mars 2013, à l’occasion de la journée mondiale de la femme, dans un meeting tenu à Annaba, à quelques kilomètres des frontières tunisiennes ( !), la célèbre opposante Louisa Hanoune a alerté le gouvernement algérien sur un probable soulèvement général dans le Sud algérien. Elle a appelé la classe dirigeante à faire preuve de vigilance en désamorçant « toute velléité guerrière qui menacerait l’Algérie » en apportant des réponses rapides aux revendications des jeunes du Sud du pays. Elle a appelé les femmes à « rester mobilisées pour protéger les acquis du peuple et faire face aux tentatives de déstabilisation du pays dans un contexte mondial marqué par des turbulences ».
La plus révolutionnaire de la classe politique algérienne a révélé qu’une « société privée américaine a formé plus de 200 jeunes algériens pour provoquer un printemps arabe » dans son pays. Ce que Louisa Hanoune appelle « société privée » est en réalité la pseudo ONG américaine Freedom House, une vitrine de la CIA qui a joué un rôle déterminant dans la formation et la manipulation de quelques jeunes tunisiens et tunisiennes biens connus. Après la « révolution du jasmin » Freedom House a ouvert un bureau à Tunis, officiellement chargé d’accompagner les Tunisiens dans leur « magnifique mutation démocratique ».
L’information sur les 200 jeunes algériens en stage à Tunis a circulé dans les quelques journaux tunisiens encore indépendants. Mais en réalité, le nombre des « stagiaires » dépassait les 350, les 150 autres étant des cybers-collabos tunisiens qui ont déjà participé à la déstabilisation de la Tunisie et de l’Egypte.
Ainsi, le gouvernement usurpateur de la Troïka ne se contente pas seulement d’envoyer des centaines de djihadistes mercenaires en Syrie. Il complote aussi contre l’Algérie selon un agenda américano-qatari parfaitement clair pour les observateurs avisés et les analystes.
Rappelant que conformément à cet agenda, l’Algérie devait tomber en même temps que la Tunisie. En seulement deux mois (janvier et février 2011), il y aurait eu en Algérie près d’une vingtaine d’immolation par le feu. Selon nos informations, les studios d’Al-Jazeera étaient déjà installés à Oujda, au Maroc, dès le 23 janvier 2011 pour filmer des scènes d’insurrection jouées par des figurants marocains, à faire passer comme des scènes se déroulant réellement dans des villes algériennes. Exactement comme cela s’est passé dans le cas de Benghazi et de Tripoli.
Tunisie-Secret.com
La plus révolutionnaire de la classe politique algérienne a révélé qu’une « société privée américaine a formé plus de 200 jeunes algériens pour provoquer un printemps arabe » dans son pays. Ce que Louisa Hanoune appelle « société privée » est en réalité la pseudo ONG américaine Freedom House, une vitrine de la CIA qui a joué un rôle déterminant dans la formation et la manipulation de quelques jeunes tunisiens et tunisiennes biens connus. Après la « révolution du jasmin » Freedom House a ouvert un bureau à Tunis, officiellement chargé d’accompagner les Tunisiens dans leur « magnifique mutation démocratique ».
L’information sur les 200 jeunes algériens en stage à Tunis a circulé dans les quelques journaux tunisiens encore indépendants. Mais en réalité, le nombre des « stagiaires » dépassait les 350, les 150 autres étant des cybers-collabos tunisiens qui ont déjà participé à la déstabilisation de la Tunisie et de l’Egypte.
Ainsi, le gouvernement usurpateur de la Troïka ne se contente pas seulement d’envoyer des centaines de djihadistes mercenaires en Syrie. Il complote aussi contre l’Algérie selon un agenda américano-qatari parfaitement clair pour les observateurs avisés et les analystes.
Rappelant que conformément à cet agenda, l’Algérie devait tomber en même temps que la Tunisie. En seulement deux mois (janvier et février 2011), il y aurait eu en Algérie près d’une vingtaine d’immolation par le feu. Selon nos informations, les studios d’Al-Jazeera étaient déjà installés à Oujda, au Maroc, dès le 23 janvier 2011 pour filmer des scènes d’insurrection jouées par des figurants marocains, à faire passer comme des scènes se déroulant réellement dans des villes algériennes. Exactement comme cela s’est passé dans le cas de Benghazi et de Tripoli.
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