BHL escorté par des mercenaires islamistes de Benghazi au moment de la croisade impérialiste contre la Libye.
Ce jeune journaliste est algérien, qui a fait l’International University for Science and Technology, et qui est le secrétaire général et porte-parole de l’Action de la Jeunesse Arabe. Il a interpellé à l’aéroport d’Orly Bernard Henri-Lévy, qui arrivait probablement non point de Libye, où il n’a plus jamais remis les pieds depuis la destruction de ce pays, mais du Maroc, le royaume très chérifien des droits de l’homme…et de la cocaïne, qui a été épargné par la déferlante du « printemps » dit arabe, grâce à la sagesse kabbalistique de Monsieur André Azoulay, conseiller principal des altesses royales depuis l’indépendance du Maroc. Le philosophe BHL-Botul y possède un riadh digne du calife Al-Mansour !
Le philosophe au torse nu ne s’attendait pas à une telle interview aux forceps. Sinon, il aurait pris le soin de faire son brushing, de lire ses fiches et de réciter ses réponses. C’est le rituel des interviews qu’ils donnent aux copains et au coquins de la presse écrite et audio-visuelle française.
La dernière interview spectacle et promotionnelle n’a pas été heureuse pour le journaliste qui l’avait réalisée et qui est décédé le lendemain. Benoît Duquesne, journaliste talentueux et apprécié, lui avait consacré son dernier « Complément d’enquête », qui a fait de BHL un valeureux combattant de la liberté et un libérateur de la Libye.
Tel n’est pas l’avis dAref Mechakera et de tous les journalistes arabes ou français qui ont le sens de la dignité et le devoir de vérité. Mais notre journaliste algérien accorde au rôle de BHL une importance disproportionnée. Ce n’est pas l’écrivassier de Saint-Germain qui a détruit la Libye et meurtri son peuple, mais Nicolas Sarkozy, Barack Hussein Obama, les deux Hamad du Qatar et le frère musulman de Turquie, Erdogan. BHL n’a fait qu’assurer le service après-vente : marketing, communication et médias, pour abuser l’opinion publique française.
« Si vous voulez qu’on en parle sérieusement, venez me voir à mon bureau », a répondu BHL au journaliste persécuteur. « Non, pas dans votre bureau mais maintenant, que pensez-vous aujourd’hui de ce qui se passe en Libye ? », a répliqué Aref Mechakera.
BHL n’est pas un homme qui pense mais qui arrière-pense. Il s’en fout totalement de l’enfer qu’est devenu ce pauvre pays, des quatre millions de Libyens qui ont pris le chemin de l’exil et des autres qui y sont restés pour subir la guerre civile et l’islamo-fascisme. Comme il s’en fout de l’opinion et de ce que pourraient penser de lui ses compatriotes….français ! Il a la conscience tranquille et la satisfaction du service accompli, pas au profit d’Israël, du Qatar et de certains pays occidentaux, mais des idéaux des droits de l’homme et de la liberté dans le monde.
Quant à Aref Mechakera, il a terminé son « interview » par un message adressé à cette "nation stupide et bourrique" : la nation arabe ! Non point parce qu’elle a cru à la sincérité de BHL, ce dernier n’ayant été suivi que par une poignée de mercenaires libyens et un ramassis de renégats syriens ; mais parce qu’elle a été envouté par le « printemps arabe ».
Lilia Ben Rejeb
Lien vidéo de l’interview forcée : https://www.youtube.com/watch?v=jlYUn9C2GZg
Le philosophe au torse nu ne s’attendait pas à une telle interview aux forceps. Sinon, il aurait pris le soin de faire son brushing, de lire ses fiches et de réciter ses réponses. C’est le rituel des interviews qu’ils donnent aux copains et au coquins de la presse écrite et audio-visuelle française.
La dernière interview spectacle et promotionnelle n’a pas été heureuse pour le journaliste qui l’avait réalisée et qui est décédé le lendemain. Benoît Duquesne, journaliste talentueux et apprécié, lui avait consacré son dernier « Complément d’enquête », qui a fait de BHL un valeureux combattant de la liberté et un libérateur de la Libye.
Tel n’est pas l’avis dAref Mechakera et de tous les journalistes arabes ou français qui ont le sens de la dignité et le devoir de vérité. Mais notre journaliste algérien accorde au rôle de BHL une importance disproportionnée. Ce n’est pas l’écrivassier de Saint-Germain qui a détruit la Libye et meurtri son peuple, mais Nicolas Sarkozy, Barack Hussein Obama, les deux Hamad du Qatar et le frère musulman de Turquie, Erdogan. BHL n’a fait qu’assurer le service après-vente : marketing, communication et médias, pour abuser l’opinion publique française.
« Si vous voulez qu’on en parle sérieusement, venez me voir à mon bureau », a répondu BHL au journaliste persécuteur. « Non, pas dans votre bureau mais maintenant, que pensez-vous aujourd’hui de ce qui se passe en Libye ? », a répliqué Aref Mechakera.
BHL n’est pas un homme qui pense mais qui arrière-pense. Il s’en fout totalement de l’enfer qu’est devenu ce pauvre pays, des quatre millions de Libyens qui ont pris le chemin de l’exil et des autres qui y sont restés pour subir la guerre civile et l’islamo-fascisme. Comme il s’en fout de l’opinion et de ce que pourraient penser de lui ses compatriotes….français ! Il a la conscience tranquille et la satisfaction du service accompli, pas au profit d’Israël, du Qatar et de certains pays occidentaux, mais des idéaux des droits de l’homme et de la liberté dans le monde.
Quant à Aref Mechakera, il a terminé son « interview » par un message adressé à cette "nation stupide et bourrique" : la nation arabe ! Non point parce qu’elle a cru à la sincérité de BHL, ce dernier n’ayant été suivi que par une poignée de mercenaires libyens et un ramassis de renégats syriens ; mais parce qu’elle a été envouté par le « printemps arabe ».
Lilia Ben Rejeb
Lien vidéo de l’interview forcée : https://www.youtube.com/watch?v=jlYUn9C2GZg