Hassan Soltani a été égorgé selon le rite barbare daéchien appliqué aux journalistes américains James Wright Foley et Steven Sotlof, ainsi qu'à des milliers de Syriens et d'Irakiens. Une manière de dire aux Tunisiens, nous sommes là, parmis vous !
Comme ils l’avaient promis dans leur communiqué publié sur facebook le 3 décembre 2014, les terroristes qui ont appelé leur association criminelle « Okba Ibn Naafa » ont diffusé hier soir la vidéo de l’égorgement d’Hassan Soltani, un agent de la Garde Nationale de 43 ans et père de trois enfants. Selon les aveux du terroristes arrêté à Barraket Essahel (29 ans et originaire du Kef), "Okba Ibn Naafa" est dirigé par le tunisien Lokmane Abou-Sakhr (pseudonyme), dont le bras droit est le terroriste algérien Ons el-Atri. C'est ce dernier qui a pris la décision de torturer Hassan Soltani avant de le décapiter.
Dans ce communiqué que nous avons intégralement traduit et publié dans notre édition du 3 décembre 2014, les criminels avaient clairement annoncé que « les soldats d’Allah dans le gouvernorat du Kef ont rétabli une vieille tradition, abandonnée depuis des siècles dans cette Tunisie aliénée, à savoir la tradition de l’égorgement. La tête d’un soldat du diable qui s’appelle Hasan Soltani a été effectivement décapitée et nous diffuserons bientôt, si Allah le veut, un document de cette opération bénie ».
Cette vidéo commence par les menaces hystériques d’une crapule intégriste, promettant aux Tunisiens « apostats » le même sort qu’ils ont réservé au martyr Hassan Soltani. Habillé d’un tee shirt blanc, les mains liées derrière le dos, ce dernier a d’abord été étalé par terre ensuite froidement égorgé. La scène de décapitation est terrible et insoutenable. Muni d’un couteau de boucher, le psychopathe qui commet son acte au nom de l’Islam, met plusieurs secondes avant de séparer la tête du corps. Le même macabre rituel que les Tunisiens, fiers de leur « révolution », regardaient se dérouler très loin de chez eux, en Syrie et en Irak, avec Jabhat al-Nosra et Daesh.
Depuis la « révolution du jasmin », il y a eu près de 70 soldats de l’armée régulière et de la Garde Nationale qui ont été tués. Sans compter les 53 soldats et policiers tombés pendants les événements de janvier 2011, sous les balles des cellules dormantes d’Al-Qaïda en Tunisie, des terroristes du Hamas et des mercenaires-snipers de certains services de renseignements occidentaux.
C’était le dimanche 30 novembre 2014, sur la route reliant le Kef à Touiref, que la victime Hassan Soltani, 43 ans et père de trois enfants, rentrait chez elle en compagnie de son frère Jamel Soltani, lorsqu’un groupe terroriste d’une dizaine de personnes dont deux Algériens les ont arrêtés dans un faux barrage. En les fouillant, les terroristes se sont aperçus qu’Hassan Soltani, qui n’était pas en uniforme et ne portait pas d’arme, était un agent de la Garde nationale. Ils l’ont donc kidnappé en laissant partir son frère, qui a alerté les forces de police.
Et c’est à l’aube du lundi 1er décembre que son corps sans tête a été retrouvé dans la région du Kef, pas loin de djebel Ouergua. Plus tard dans la journée, la tête du martyr Hassan Soltani a été retrouvée dans un sac en plastique jeté au bord de la route.
On rappellera toujours que ces psychopathes et sociopathes que Moncef Marzouki et les mercenaires des droits de l’homme en Tunisie ont libérés dès 2011, appartenaient à l’origine à Ansar al-charia, « l’ONG » de Seifallah Ben Hassine, alias Abou Iyadh, qui a bénéficié d’une amnistie à la faveur de la « révolution du jasmin ». Lorsque Ansar al-charia a été classé organisation terroriste, ces infrahumains ont lancé leur propre « ONG » : Katibat Okba Ibn Naafa.
Ces membres ont tous prêtés allégeance à leur « calife » Abou-Bakr al-Baghdadi, tout comme Seifallah Ben Hassine. Ils appartiennent donc à la dernière née « sunnite » des services anglo-américains, à savoir Daesh, qui a été crée, financé et lourdement armé pour éradiquer la présence iranienne en Irak et précipiter la chute de la Syrie.
Dans leur communiqué du 3 décembre 2014, ces tuniso-daeshiens menaçaient : « Nous nous sommes jurés de vous viser, de vous démembrer et de vous décapiter. Ce sera la priorité de nos priorités. On vous fera regretter ce que vous avez fait contre les combattants des montagnes et nous vous réservons dans les jours qui viennent des surprises encore plus effrayantes. Quant à vous, frères en Tawhid (unicité), jusqu’à quand allez-vous vous attacher à la vie ici-bas ? La mort est une, alors autant la sacrifier au nom d’Allah. Vous devez donc éliminer les ennemis de la religion et vous avez pour cela dans les recommandations de cheikh Abou-Bakr al-Baghdadi, le meilleur testament ».
L’une de ces « surprises effrayantes » aura lieu cette semaine, au cœur de Tunis !!!
Lilia Ben Rejeb
A lire l’article de Nebil Ben Yahmed, « Exclusif: La section de Daech en Tunisie revendique la décapitation d’Hassan Soltani », publié le 3 décembre 2014 :
http://www.tunisie-secret.com/Exclusif-La-section-de-Daech-en-Tunisie-revendique-la-decapitation-d-Hassan-Soltani_a1225.html
Dans ce communiqué que nous avons intégralement traduit et publié dans notre édition du 3 décembre 2014, les criminels avaient clairement annoncé que « les soldats d’Allah dans le gouvernorat du Kef ont rétabli une vieille tradition, abandonnée depuis des siècles dans cette Tunisie aliénée, à savoir la tradition de l’égorgement. La tête d’un soldat du diable qui s’appelle Hasan Soltani a été effectivement décapitée et nous diffuserons bientôt, si Allah le veut, un document de cette opération bénie ».
Cette vidéo commence par les menaces hystériques d’une crapule intégriste, promettant aux Tunisiens « apostats » le même sort qu’ils ont réservé au martyr Hassan Soltani. Habillé d’un tee shirt blanc, les mains liées derrière le dos, ce dernier a d’abord été étalé par terre ensuite froidement égorgé. La scène de décapitation est terrible et insoutenable. Muni d’un couteau de boucher, le psychopathe qui commet son acte au nom de l’Islam, met plusieurs secondes avant de séparer la tête du corps. Le même macabre rituel que les Tunisiens, fiers de leur « révolution », regardaient se dérouler très loin de chez eux, en Syrie et en Irak, avec Jabhat al-Nosra et Daesh.
Depuis la « révolution du jasmin », il y a eu près de 70 soldats de l’armée régulière et de la Garde Nationale qui ont été tués. Sans compter les 53 soldats et policiers tombés pendants les événements de janvier 2011, sous les balles des cellules dormantes d’Al-Qaïda en Tunisie, des terroristes du Hamas et des mercenaires-snipers de certains services de renseignements occidentaux.
C’était le dimanche 30 novembre 2014, sur la route reliant le Kef à Touiref, que la victime Hassan Soltani, 43 ans et père de trois enfants, rentrait chez elle en compagnie de son frère Jamel Soltani, lorsqu’un groupe terroriste d’une dizaine de personnes dont deux Algériens les ont arrêtés dans un faux barrage. En les fouillant, les terroristes se sont aperçus qu’Hassan Soltani, qui n’était pas en uniforme et ne portait pas d’arme, était un agent de la Garde nationale. Ils l’ont donc kidnappé en laissant partir son frère, qui a alerté les forces de police.
Et c’est à l’aube du lundi 1er décembre que son corps sans tête a été retrouvé dans la région du Kef, pas loin de djebel Ouergua. Plus tard dans la journée, la tête du martyr Hassan Soltani a été retrouvée dans un sac en plastique jeté au bord de la route.
On rappellera toujours que ces psychopathes et sociopathes que Moncef Marzouki et les mercenaires des droits de l’homme en Tunisie ont libérés dès 2011, appartenaient à l’origine à Ansar al-charia, « l’ONG » de Seifallah Ben Hassine, alias Abou Iyadh, qui a bénéficié d’une amnistie à la faveur de la « révolution du jasmin ». Lorsque Ansar al-charia a été classé organisation terroriste, ces infrahumains ont lancé leur propre « ONG » : Katibat Okba Ibn Naafa.
Ces membres ont tous prêtés allégeance à leur « calife » Abou-Bakr al-Baghdadi, tout comme Seifallah Ben Hassine. Ils appartiennent donc à la dernière née « sunnite » des services anglo-américains, à savoir Daesh, qui a été crée, financé et lourdement armé pour éradiquer la présence iranienne en Irak et précipiter la chute de la Syrie.
Dans leur communiqué du 3 décembre 2014, ces tuniso-daeshiens menaçaient : « Nous nous sommes jurés de vous viser, de vous démembrer et de vous décapiter. Ce sera la priorité de nos priorités. On vous fera regretter ce que vous avez fait contre les combattants des montagnes et nous vous réservons dans les jours qui viennent des surprises encore plus effrayantes. Quant à vous, frères en Tawhid (unicité), jusqu’à quand allez-vous vous attacher à la vie ici-bas ? La mort est une, alors autant la sacrifier au nom d’Allah. Vous devez donc éliminer les ennemis de la religion et vous avez pour cela dans les recommandations de cheikh Abou-Bakr al-Baghdadi, le meilleur testament ».
L’une de ces « surprises effrayantes » aura lieu cette semaine, au cœur de Tunis !!!
Lilia Ben Rejeb
A lire l’article de Nebil Ben Yahmed, « Exclusif: La section de Daech en Tunisie revendique la décapitation d’Hassan Soltani », publié le 3 décembre 2014 :
http://www.tunisie-secret.com/Exclusif-La-section-de-Daech-en-Tunisie-revendique-la-decapitation-d-Hassan-Soltani_a1225.html