A gauche, Saïd Aïdi, ministre de la Santé. A droite, Aref Azizi, le médecin intégriste qui fait la pluie et le beau temps à l’hôpital de Sidi Bouzid.
Le mercredi 23 décembre 2015, le ministre de la Santé, Saïd Aïdi a effectué une visite de travail à l’hôpital régional de Sidi Bouzid à la suite des soupçons de corruption qui y pèsent depuis 2011 et où seraient impliqués notamment le directeur de cet hôpital ainsi que ce médecin voyou qui se fait passer aujourd’hui pour une victime.
N’ayant pas la conscience tranquille, ce médecin intégriste a volontairement provoqué son ministre en lui manquant de respect et en lui signifiant qu’il n’est pas le bienvenu à Sidi Bouzid. Selon Saïd Aïdi, le médecin en question n’a pas été suspendu de ses fonctions en raison de critiques légitimes à l’égard de la santé publique mais pour son insolence, son mépris à l’encontre des institutions de l’Etat, voire même ses injures à l’égard de son ministre de tutelle. La scène s’est déroulée devant le gouverneur de la région, du directeur régional de la santé ainsi que de la députée de cette région, Hayet Omri.
Dans une tentative désespérée de mettre de son côté l’opinion publique, le médecin voyou s’est présenté dans une émission de Nessma TV, le vendredi 25 décembre 2015, en blouson cuir noir ( !) pour s’auto-glorifier des services qu’il rend aux citoyens de Sidi Bouzid et se plaindre de son ministre dont il a nié les accusations. « J’ai seulement critiqué des conditions déplorables de travail au sein de l’hôpital » a-t-il indiqué dans un discours bien trop politique pour être suffisamment crédible.
En synchronie avec ce qui ressemble à une kabbale contre le ministre de la Santé, l’association «Médecins contre la dictature» a dénoncé la suspension d’Aref Azizi, en estimant que cette mesure est en contradiction avec l’article 31 de la constitution. Autant de manœuvres et d’intimidations pour éviter à leur confrère en médecine et en islamisme les sanctions éventuelles du conseil de discipline, comme cela fut le cas du docteur islamiste, Néjib Karoui.
Les réseaux sociaux et certains médias qui s’emballent toujours dans la défense des causes douteuses n’ont pas pris la peine d’aller vérifier le parcours d’Aref Azizi. De sources policières, ce dernier est un ancien détenu de droit commun qui a été recruté par le ministère de la Santé alors dirigé par l’islamiste Abdellatif Mekki, après avoir bénéficié de l’amnistie générale, comme beaucoup d’autres criminels dont les terroristes de Soliman. Fidèle au pacte des Frères musulmans plus qu’au serment d’Hippocrate, Aref Azizi s’est volontairement absenté de l’hôpital le jour de l’attaque terroriste lors de laquelle Socrate Cherni a trouvé la mort ! Selon ses collègues, il a toujours refusé de secourir ce qu'il appelle sur son compte facebook les "mécréants".
Certains penseraient qu’il ne s’agit là que de purs mensonges propagés par « la police de Ben Ali ». Qu’ils reviennent alors aux anciennes publications d’Aref Azizi sur son compte facebook. Ce faisant, ils vont tomber sur sa littérature terroriste, sur sa haine pathologique à l'égard de Béji Caïd Essebsi, et sur cette salve hautement humaniste du médecin généraliste de Sidi Bouzid qui date du 4 septembre 2011 : « Nous allons manger le foi de ceux qui nous ont humilié depuis des années. J’appelle à la violence. J’appelle aux meurtres. Il faut égorger les ennemis de la Oumma, de son identité et de ses sacrés. Il faut les bruler…Du sang, du sang et des flammes… » !!! Voir le texte original en arabe sur le lien ci-dessous.
En fait, le médecin en question n’est pas seulement membre de la confrérie tunisienne des Frères musulmans (Ennahda), mais un islamiste type Daech, qui appelle à l’égorgement et au meurtre des ennemis d’Allah ! Sa place n’est donc pas à l’hôpital de Sidi Bouzid, ni dans un asile psychiatrique, mais en prison.
Nebil Ben Yahmed
https://www.facebook.com/notes/188321534574782/?pnref=story
N’ayant pas la conscience tranquille, ce médecin intégriste a volontairement provoqué son ministre en lui manquant de respect et en lui signifiant qu’il n’est pas le bienvenu à Sidi Bouzid. Selon Saïd Aïdi, le médecin en question n’a pas été suspendu de ses fonctions en raison de critiques légitimes à l’égard de la santé publique mais pour son insolence, son mépris à l’encontre des institutions de l’Etat, voire même ses injures à l’égard de son ministre de tutelle. La scène s’est déroulée devant le gouverneur de la région, du directeur régional de la santé ainsi que de la députée de cette région, Hayet Omri.
Dans une tentative désespérée de mettre de son côté l’opinion publique, le médecin voyou s’est présenté dans une émission de Nessma TV, le vendredi 25 décembre 2015, en blouson cuir noir ( !) pour s’auto-glorifier des services qu’il rend aux citoyens de Sidi Bouzid et se plaindre de son ministre dont il a nié les accusations. « J’ai seulement critiqué des conditions déplorables de travail au sein de l’hôpital » a-t-il indiqué dans un discours bien trop politique pour être suffisamment crédible.
En synchronie avec ce qui ressemble à une kabbale contre le ministre de la Santé, l’association «Médecins contre la dictature» a dénoncé la suspension d’Aref Azizi, en estimant que cette mesure est en contradiction avec l’article 31 de la constitution. Autant de manœuvres et d’intimidations pour éviter à leur confrère en médecine et en islamisme les sanctions éventuelles du conseil de discipline, comme cela fut le cas du docteur islamiste, Néjib Karoui.
Les réseaux sociaux et certains médias qui s’emballent toujours dans la défense des causes douteuses n’ont pas pris la peine d’aller vérifier le parcours d’Aref Azizi. De sources policières, ce dernier est un ancien détenu de droit commun qui a été recruté par le ministère de la Santé alors dirigé par l’islamiste Abdellatif Mekki, après avoir bénéficié de l’amnistie générale, comme beaucoup d’autres criminels dont les terroristes de Soliman. Fidèle au pacte des Frères musulmans plus qu’au serment d’Hippocrate, Aref Azizi s’est volontairement absenté de l’hôpital le jour de l’attaque terroriste lors de laquelle Socrate Cherni a trouvé la mort ! Selon ses collègues, il a toujours refusé de secourir ce qu'il appelle sur son compte facebook les "mécréants".
Certains penseraient qu’il ne s’agit là que de purs mensonges propagés par « la police de Ben Ali ». Qu’ils reviennent alors aux anciennes publications d’Aref Azizi sur son compte facebook. Ce faisant, ils vont tomber sur sa littérature terroriste, sur sa haine pathologique à l'égard de Béji Caïd Essebsi, et sur cette salve hautement humaniste du médecin généraliste de Sidi Bouzid qui date du 4 septembre 2011 : « Nous allons manger le foi de ceux qui nous ont humilié depuis des années. J’appelle à la violence. J’appelle aux meurtres. Il faut égorger les ennemis de la Oumma, de son identité et de ses sacrés. Il faut les bruler…Du sang, du sang et des flammes… » !!! Voir le texte original en arabe sur le lien ci-dessous.
En fait, le médecin en question n’est pas seulement membre de la confrérie tunisienne des Frères musulmans (Ennahda), mais un islamiste type Daech, qui appelle à l’égorgement et au meurtre des ennemis d’Allah ! Sa place n’est donc pas à l’hôpital de Sidi Bouzid, ni dans un asile psychiatrique, mais en prison.
Nebil Ben Yahmed
https://www.facebook.com/notes/188321534574782/?pnref=story
Précision de Tunisie-Secret, le 28 décembre 2015:
A la suite de notre article publié le 26 décembre qui a inversé la tendance favorable à ce médecin de Sidi Bouzid, en enquêtant tout simplement -ce que nos confrères auraient dû faire avant de défendre ce pauvre médecin "persécuté par son ministre"- et en dévoilant le vrai visage de cet intégriste, ce dernier a supprimé de sa page facebook la preuve qui l'accable, à savoir un article daté du 4 septembre 2011 dont nous avons traduit le dernier passage. Il a ainsi cru pouvoir effacer la trace de sa violence daéchienne mais l'équipe de TS a tout prévu. Nous avons préserver cet article dont voici la copie intégrale.
A la suite de notre article publié le 26 décembre qui a inversé la tendance favorable à ce médecin de Sidi Bouzid, en enquêtant tout simplement -ce que nos confrères auraient dû faire avant de défendre ce pauvre médecin "persécuté par son ministre"- et en dévoilant le vrai visage de cet intégriste, ce dernier a supprimé de sa page facebook la preuve qui l'accable, à savoir un article daté du 4 septembre 2011 dont nous avons traduit le dernier passage. Il a ainsi cru pouvoir effacer la trace de sa violence daéchienne mais l'équipe de TS a tout prévu. Nous avons préserver cet article dont voici la copie intégrale.