« Lorsqu’on a un couillon qui s'improvise 1er conseiller et expert en communication faisant fuiter dans les réseaux sociaux Mr Béji Caïd Essebsi en basckett NIKE de mauvaise qualité, suivant un match de football grâce à un décodeur piraté, comment pourrait-on avoir confiance en ces pseudo représentants du peuple qui ne cessent d'annexer les institutions de la République ! », s’interroge un homme d’affaire tunisien sur sa page facebook.
Nous avons voulu vérifier cette information et nous avons trouvé cette photo que nous avons fait analyser par notre technicien. Le décodeur en question est bel et bien un produit de piratage acheté pour une poignée de dinars au souk de Moncef Bey. Ce décodeur qui a envahi les foyers tunisiens, permet de décrypter les chaînes payantes de certaines télévisions étrangères, notamment celles dédiées au football, à la pornographie...et aux vertus coraniques!
Avec son salaire de 30 000 dinars par mois et la fortune colossale qu’il s’est amassée, depuis 2011 sur le dos des Tunisiens et au dépens de la Souveraineté du pays, en tant qu’avocat d’affaire associé à son frère Slaheddine Caïd Essebsi -des affaires très juteuses avec certaines monarchies du Golfe-, le Bey de Carthage pouvait tout de même s’offrir un abonnement !
Il parait que chez certains bourgeois arrivistes, plus on est riche et plus on est radin. Sauf que cette mesquine affaire affecte le fameux prestige de l’Etat (Haybat Addawla), dont Béji Caïd Essebsi avait fait son programme électoral et sa qualité principal.
Karim Zmerli
Nous avons voulu vérifier cette information et nous avons trouvé cette photo que nous avons fait analyser par notre technicien. Le décodeur en question est bel et bien un produit de piratage acheté pour une poignée de dinars au souk de Moncef Bey. Ce décodeur qui a envahi les foyers tunisiens, permet de décrypter les chaînes payantes de certaines télévisions étrangères, notamment celles dédiées au football, à la pornographie...et aux vertus coraniques!
Avec son salaire de 30 000 dinars par mois et la fortune colossale qu’il s’est amassée, depuis 2011 sur le dos des Tunisiens et au dépens de la Souveraineté du pays, en tant qu’avocat d’affaire associé à son frère Slaheddine Caïd Essebsi -des affaires très juteuses avec certaines monarchies du Golfe-, le Bey de Carthage pouvait tout de même s’offrir un abonnement !
Il parait que chez certains bourgeois arrivistes, plus on est riche et plus on est radin. Sauf que cette mesquine affaire affecte le fameux prestige de l’Etat (Haybat Addawla), dont Béji Caïd Essebsi avait fait son programme électoral et sa qualité principal.
Karim Zmerli