Le criminel de guerre John McCain félicitant le soldat des Frères musulmans après la "libération' de la Tunisie !
Le 15 novembre dernier, après les louanges à Dieu… et aux élections du 23 octobre 2014, « un événement qui n’a d’équivalent que l’adoption de la constitution le 26 janvier 2014 », l’ancien chef de gouvernement de la troïka a tiré une première leçon suivant laquelle « Le pays et la révolution sont toujours menacés par le retour de nouvelles formes de domination, celle du parti unique et de la culture ainsi que de la mentalité du sauveur suprême ».
Selon cet islamiste dont l’enrichissement personnel est proportionnellement égal à l’appauvrissement de la Tunisie, le pays a besoin d’une « culture du consensus, qui ne peut se faire que dans un équilibre entre les trois pouvoirs, à savoir la présidence de la République, le premier ministère et le parlement, ce qui serait difficile à réaliser dans le cas où un seul parti dominerait ces trois pouvoirs ».
Ainsi, ce serait au nom de la « démocratie » et de « l’équilibre des pouvoirs » que Hamad Jebali, sans citer Nidaa Tounes, « appelle à l’élection d’un président de la République d’un parti autre que celui qui est majoritaire au sein du parlement ». Et au servile serviteur de John McCain d’énumérer les qualités du futur président, sans citer le nom de Moncef Marzouki : « un président dont on connait le militantisme contre la dictature et la corruption, un démocrate par la pensée et par la pratique, un président qui unit tous ses compatriotes, un homme sage par principe et fort dans l’exercice du pouvoir ».
En somme tout le contraire de l’usurpateur de Carthage, dont le militantisme contre la dictature n’est qu’une légende, qui n’a fait que diviser les Tunisiens depuis qu’il est à Carthage, un mégalomane pour lequel la démocratie n’est qu’un masque, et un être faible qui s’est mis au service du Qatar pour assouvir son ambition personnelle. Mais tout cela ne peut indisposer Hamma McCain, le sixième calife de la Tunisie postrévolutionnaire !
Hamadi Jebali termine son communiqué en précisant qu’il s’agit là de son opinion, qu’il affiche « par principe, en toute franchise et par responsabilité ». Par principe, « car la révolution est un engagement à l’égard de la vérité, de la justice et de la liberté ». Par franchise, « car il n’est pas convenable que le silence se substitue au sérieux ». Par responsabilité, « car la neutralité ou l’ambigüité ne sont pas de mise dans les affaires qui engagent l’avenir du pays ».
Manifestement, le soutien d’un aussi « grand calibre politique » ne manquera pas de peser sur les élections présidentielles de façon aussi déterminante que celui de Mohamed Amine Aghrebi, alias Recoba, Imed Deghiij, Mohamed Abbou et Abderraouf Ayadi !
Karim Zmerli
Hamadi Jebali dans les bras du criminel néoconservateur John McCain.
https://www.youtube.com/watch?v=Kms7tJKr0KA
A lire dans nos archives :
http://www.tunisie-secret.com/Musulmans-ecoutez-bien-ce-que-pensent-de-vous-Rod-Parsley-et-John-McCain-video_a860.html
Selon cet islamiste dont l’enrichissement personnel est proportionnellement égal à l’appauvrissement de la Tunisie, le pays a besoin d’une « culture du consensus, qui ne peut se faire que dans un équilibre entre les trois pouvoirs, à savoir la présidence de la République, le premier ministère et le parlement, ce qui serait difficile à réaliser dans le cas où un seul parti dominerait ces trois pouvoirs ».
Ainsi, ce serait au nom de la « démocratie » et de « l’équilibre des pouvoirs » que Hamad Jebali, sans citer Nidaa Tounes, « appelle à l’élection d’un président de la République d’un parti autre que celui qui est majoritaire au sein du parlement ». Et au servile serviteur de John McCain d’énumérer les qualités du futur président, sans citer le nom de Moncef Marzouki : « un président dont on connait le militantisme contre la dictature et la corruption, un démocrate par la pensée et par la pratique, un président qui unit tous ses compatriotes, un homme sage par principe et fort dans l’exercice du pouvoir ».
En somme tout le contraire de l’usurpateur de Carthage, dont le militantisme contre la dictature n’est qu’une légende, qui n’a fait que diviser les Tunisiens depuis qu’il est à Carthage, un mégalomane pour lequel la démocratie n’est qu’un masque, et un être faible qui s’est mis au service du Qatar pour assouvir son ambition personnelle. Mais tout cela ne peut indisposer Hamma McCain, le sixième calife de la Tunisie postrévolutionnaire !
Hamadi Jebali termine son communiqué en précisant qu’il s’agit là de son opinion, qu’il affiche « par principe, en toute franchise et par responsabilité ». Par principe, « car la révolution est un engagement à l’égard de la vérité, de la justice et de la liberté ». Par franchise, « car il n’est pas convenable que le silence se substitue au sérieux ». Par responsabilité, « car la neutralité ou l’ambigüité ne sont pas de mise dans les affaires qui engagent l’avenir du pays ».
Manifestement, le soutien d’un aussi « grand calibre politique » ne manquera pas de peser sur les élections présidentielles de façon aussi déterminante que celui de Mohamed Amine Aghrebi, alias Recoba, Imed Deghiij, Mohamed Abbou et Abderraouf Ayadi !
Karim Zmerli
Hamadi Jebali dans les bras du criminel néoconservateur John McCain.
https://www.youtube.com/watch?v=Kms7tJKr0KA
A lire dans nos archives :
http://www.tunisie-secret.com/Musulmans-ecoutez-bien-ce-que-pensent-de-vous-Rod-Parsley-et-John-McCain-video_a860.html