Je ne sais plus quoi dire !
Ni quoi penser de mes jours,
Et vous m’entendez souvent,
Parler mal de leurs jours,
En reconnaissant que par moments,
Même, à mes courts instants
De réflexion calme,
Je prends des larmes à mon cœur
Sans humidifier mes yeux.
Et le long de mes jours qui passent !
Je me fais rencontrer l’image
D’un combattant pour la liberté,
Le digne Arafat,
Qui me dit qu’on a oublié
Ma Palestine meurtrie…
Et je reçois des nouvelles…
Qui se veulent de larmes,
Qu’on cherche à faire mal
A ma belle et courageuse Syrie,
En projetant de tailler ses veines
Qui font du bien à mon sang !
Et d’autres nouvelles
M’arrivent aux oreilles
D’une grande Histoire
Sacrifiée à l’autel
D’un intérêt méchant,
Et du reniement d’une lumière
Jamais éteinte de son feu,
Bagdad, Bagdad qui a dessiné,
A la lumière, sa voie,
Et quand on me dit,
Pour rajouter à ma douleur
Que ces jours ci, des caravanes,
Se mettent à avancer
D’un méchant bruit,
Sur les droits des Hommes
Pour ne plus faire de place,
Ni au respect ni au partage,
Ni même, à des bouts de chants,
De poésie ou d’amour Humain
Et je me fais mal
Quand je prends à mon visage.
Les nouvelles de la Libye,
Qui insistent à me dire
Qu’ils veulent la reprendre
A la traine des chameaux,
Et lui barrer le chemin,
D’une vie digne et libre
Et qu’ils utilisent à ses fins
De vieilles montures
Qui se font conduire,
Par des chameaux imbéciles,
Et ils veulent me faire oublier
La valeur du, Omar qui s’est choisi.
Pour défendre la fierté des Hommes
Et je reconnais enfin que j’en arrive
A aimer, risquer ma vie
Quand je vois de mes yeux
Qu’ils veulent construire chez nous,
De mauvais murs dans nos murs
Qui regardent le ciel
Et prient l’intérêt étranger,
Et je me rends compte
Qu’ils les ont bien choisis
Pour démolir nos chances
Et nous faire rétrodiner
Comme je l’ai déjà dit !
Et quand mes yeux fatigués
Ne veulent plus voir,
Et que mes larmes se refusent,
Mon cœur se met à battre
Et fait remonter, le jugement à ma tête,
Et je me dis qu’ils sont allés très loin,
Qu’ils ont exagéré leurs privilèges,
Qu’ils ont exagéré leur force
Et qu’ils ne pourront pas tenir,
Longtemps en laisse,
Des hommes intelligents et décidés,
A défendre leur foi libre !
Et je reviens à mes jours, et je dis,
Faites attention et n’oubliez jamais
Que la douce et belle Tunisie
Peut rapidement se faire
La mère courage, que les siècles ont connue,
Et qui défend ses enfants de son sang
Quand on veut les piétiner
Ou atteindre à leur foi juste,
Et c’est la terre qu’elle mettra en feu
Sous les pieds de l’agresseur,
Et se suffira seulement, de ses griffes,
Pour éloigner les méchants loups !
Salah Pacha
Ni quoi penser de mes jours,
Et vous m’entendez souvent,
Parler mal de leurs jours,
En reconnaissant que par moments,
Même, à mes courts instants
De réflexion calme,
Je prends des larmes à mon cœur
Sans humidifier mes yeux.
Et le long de mes jours qui passent !
Je me fais rencontrer l’image
D’un combattant pour la liberté,
Le digne Arafat,
Qui me dit qu’on a oublié
Ma Palestine meurtrie…
Et je reçois des nouvelles…
Qui se veulent de larmes,
Qu’on cherche à faire mal
A ma belle et courageuse Syrie,
En projetant de tailler ses veines
Qui font du bien à mon sang !
Et d’autres nouvelles
M’arrivent aux oreilles
D’une grande Histoire
Sacrifiée à l’autel
D’un intérêt méchant,
Et du reniement d’une lumière
Jamais éteinte de son feu,
Bagdad, Bagdad qui a dessiné,
A la lumière, sa voie,
Et quand on me dit,
Pour rajouter à ma douleur
Que ces jours ci, des caravanes,
Se mettent à avancer
D’un méchant bruit,
Sur les droits des Hommes
Pour ne plus faire de place,
Ni au respect ni au partage,
Ni même, à des bouts de chants,
De poésie ou d’amour Humain
Et je me fais mal
Quand je prends à mon visage.
Les nouvelles de la Libye,
Qui insistent à me dire
Qu’ils veulent la reprendre
A la traine des chameaux,
Et lui barrer le chemin,
D’une vie digne et libre
Et qu’ils utilisent à ses fins
De vieilles montures
Qui se font conduire,
Par des chameaux imbéciles,
Et ils veulent me faire oublier
La valeur du, Omar qui s’est choisi.
Pour défendre la fierté des Hommes
Et je reconnais enfin que j’en arrive
A aimer, risquer ma vie
Quand je vois de mes yeux
Qu’ils veulent construire chez nous,
De mauvais murs dans nos murs
Qui regardent le ciel
Et prient l’intérêt étranger,
Et je me rends compte
Qu’ils les ont bien choisis
Pour démolir nos chances
Et nous faire rétrodiner
Comme je l’ai déjà dit !
Et quand mes yeux fatigués
Ne veulent plus voir,
Et que mes larmes se refusent,
Mon cœur se met à battre
Et fait remonter, le jugement à ma tête,
Et je me dis qu’ils sont allés très loin,
Qu’ils ont exagéré leurs privilèges,
Qu’ils ont exagéré leur force
Et qu’ils ne pourront pas tenir,
Longtemps en laisse,
Des hommes intelligents et décidés,
A défendre leur foi libre !
Et je reviens à mes jours, et je dis,
Faites attention et n’oubliez jamais
Que la douce et belle Tunisie
Peut rapidement se faire
La mère courage, que les siècles ont connue,
Et qui défend ses enfants de son sang
Quand on veut les piétiner
Ou atteindre à leur foi juste,
Et c’est la terre qu’elle mettra en feu
Sous les pieds de l’agresseur,
Et se suffira seulement, de ses griffes,
Pour éloigner les méchants loups !
Salah Pacha