Il s’agit effectivement d’une décision historique que certains donneurs de leçons européens, qui critiquent le nouveau Président américain, devraient appliquer à l’égard des nouvelles mafias islamistes tunisiennes, ou libyennes ou encore syriennes, devenues milliardaires depuis le « printemps » dit arabe !
C’est le 6 février dernier que le Président américain a décidé par décret de confisquer l’équivalent de 553 milliards de dollars déposés dans des banques américaines par 22 dirigeants irakiens corrompus. Donald Trump a estimé que cet argent revient de droit au peuple américain « en réparation du sang versé par les soldats américains en Irak ».
Préférant se concentrer sur le décret anti-immigration du Président américain, les médias mainstream ont passé sous silence cette décision audacieuse qui, pour être parfaitement équitable devrait inclure Ahmed Chalabi (décédé en novembre 2015) et englober les familles Bush, Clinton, ainsi que Dick Cheney, Paul Wolfowitz, Donald Rumsfeld, John McCain et Richard Perle, les complices des 22 corrompus irakiens dont voici les noms :
Nouri al-Maliki, 66 milliards de dollars
Adnan al-Assadi, 25 milliards de dollars
Saleh al-Mutlaq, 28 milliards de dollars
Baqir Jabr al-Zubeidi, 30 milliards de dollars
Bahaa al-Araji, 37 milliards de dollars
Mohamed Derraji, 19 milliards de dollars
Hoshyar Zebari, 21 milliards de dollars
Massoud Barzani, 59 milliards de dollars
Salim al-Jabouri, 15 milliards de dollars
Saadoun Dlimi, 18 milliards de dollars
Farouk al-Araji, 16 milliards de dollars
Adel Abdel-Mahdi, 31 milliards de dollars
Oussama al-Noujaifi, 28 milliards de dollars
Haidar al-Abadi, 17 milliards de dollars
Mohamed al-Karbouli, 20 milliards de dollars
Ahmed Nouri al-Maliki, 14 milliards de dollars
Tariq Najm, 7 milliards de dollars
Ali al-Allaq, 19 milliards de dollars
Ali al-Yasari, 12 milliard de dollars
Hassan al-Ambari, 7 milliard de dollars
Rafaa al-Issawi, 29 milliards de dollars
Simple rappel pour rafraîchir certaines mémoires, en 2003, après l’invasion et l’occupation de l’Irak par les forces impérialistes anglo-américaines, on n’a pas trouvé le moindre compte bancaire à l’étranger au nom de Saddam Hussein, ou de Tarek Aziz, ou de Taha Yassine Ramadan, ou de Ezzat Ibrahim al-Douri, ou de Ali Hassan al-Majid, ou de n’importe quel autre ministre irakiens sous le régime de Saddam Hussein.
Karim Zmerli
C’est le 6 février dernier que le Président américain a décidé par décret de confisquer l’équivalent de 553 milliards de dollars déposés dans des banques américaines par 22 dirigeants irakiens corrompus. Donald Trump a estimé que cet argent revient de droit au peuple américain « en réparation du sang versé par les soldats américains en Irak ».
Préférant se concentrer sur le décret anti-immigration du Président américain, les médias mainstream ont passé sous silence cette décision audacieuse qui, pour être parfaitement équitable devrait inclure Ahmed Chalabi (décédé en novembre 2015) et englober les familles Bush, Clinton, ainsi que Dick Cheney, Paul Wolfowitz, Donald Rumsfeld, John McCain et Richard Perle, les complices des 22 corrompus irakiens dont voici les noms :
Nouri al-Maliki, 66 milliards de dollars
Adnan al-Assadi, 25 milliards de dollars
Saleh al-Mutlaq, 28 milliards de dollars
Baqir Jabr al-Zubeidi, 30 milliards de dollars
Bahaa al-Araji, 37 milliards de dollars
Mohamed Derraji, 19 milliards de dollars
Hoshyar Zebari, 21 milliards de dollars
Massoud Barzani, 59 milliards de dollars
Salim al-Jabouri, 15 milliards de dollars
Saadoun Dlimi, 18 milliards de dollars
Farouk al-Araji, 16 milliards de dollars
Adel Abdel-Mahdi, 31 milliards de dollars
Oussama al-Noujaifi, 28 milliards de dollars
Haidar al-Abadi, 17 milliards de dollars
Mohamed al-Karbouli, 20 milliards de dollars
Ahmed Nouri al-Maliki, 14 milliards de dollars
Tariq Najm, 7 milliards de dollars
Ali al-Allaq, 19 milliards de dollars
Ali al-Yasari, 12 milliard de dollars
Hassan al-Ambari, 7 milliard de dollars
Rafaa al-Issawi, 29 milliards de dollars
Simple rappel pour rafraîchir certaines mémoires, en 2003, après l’invasion et l’occupation de l’Irak par les forces impérialistes anglo-américaines, on n’a pas trouvé le moindre compte bancaire à l’étranger au nom de Saddam Hussein, ou de Tarek Aziz, ou de Taha Yassine Ramadan, ou de Ezzat Ibrahim al-Douri, ou de Ali Hassan al-Majid, ou de n’importe quel autre ministre irakiens sous le régime de Saddam Hussein.
Karim Zmerli
Bahaa al-Araji
Farouk al-Araji
Jalel Talabani
Rafaa al-Issawi