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Dans Le Figaro, Mezri Haddad répond à l’interview de Bernard-Henri Lévy


6 Septembre 2014

C’est une réplique cinglante du philosophe tunisien et arabe, Mezri Haddad, à l’interview que Bernard-Henry Lévy vient d’accorder au Figaro. Mais, en raison de l’espace réduit de l’édition du week-end du Figaro qui est très convoitée, la réponse de Mezri Haddad n’a pas été publiée in-extenso. La voici dans son intégralité avec en caractères gras ce qui ne figure pas dans l'édition du Figaro. TS-Lilia Ben Rejeb.


Dans Le Figaro, Mezri Haddad répond à l’interview de Bernard-Henri Lévy
Contrairement au politique dont la « fonction » est de se tromper toujours, le métier de philosophe serait-il d’avoir raison, même lorsqu’il se trompe, pour paraphraser l’irrévérent Sartre après la publication de L’Archipel du Goulag par Soljenitsyne ? Non, bien évidemment, l’essence de la philosophie, la vocation même du philosophe est dans cette quête perpétuelle de la vérité, intrinsèquement liée à la conquête de la connaissance.

D’où le rôle bénéfique que peut jouer le philosophe auprès du prince, nonobstant la critique tardive de Diderot qui, après avoir bien profité de la générosité des princes, tout comme Voltaire d’ailleurs, a décrété qu’un philosophe peut perdre son âme à trop fréquenter les antichambres des princes. A défaut d’être roi, comme le stipulait l’utopie platonicienne, le philosophe peut et doit en être l’éclaireur. La relation entre le politique et le philosophe se ramène finalement au binôme Savoir-Pouvoir, que la sagesse romaine pratiquait sous la forme de l’auctoritas et de la potestas, et que la sagacité musulmane perpétuait sur le modèle du Hukm et de la Sulta
 
C’est pour dire à Bernard Henri-Lévy que je ne suis pas de ceux, idiots ou envieux, qui lui reprocheraient ses ingérences en politique, une ineptie découlant de l’ignorance totale et de la philosophie et de l’essence du politique. Bien au contraire, je lui sais gré d’avoir contribué comme d’autres, à la restauration et à l’importance irréductible du philosophe dans la cité. Aristotélicien et averroïste, je dirai même que la philosophie n’a pas de sens en dehors de la politique et que le déclin de la philosophie s’est déclenché dès lors où on a voulu la cantonner dans les méandres de la métaphysique. De Socrate à Sartre, en passant par Machiavel, Spinoza, Averroès, Ibn Khaldûn, Voltaire, Rousseau…, philosophie et politique ont toujours été consubstantiellement et intimement liées.

Je lui reprocherai plutôt ses égarements, ses errements et, plus grave encore, son ignorance de la pensée philosophique et théologique islamique. De même que c’est à partir d’une fausse prémisse qu’on arrive à une fausse conclusion, c’est partant d’une connaissance imparfaite de l’islam et du monde musulman que l’on arrive à épouser l’islamisme « modéré » et à soutenir les hordes fanatisées du « printemps » dit arabe. Facteur aggravant, BHL persiste et signe. Et c’est là qu’il trahi, me semble t-il, sa vocation de philosophe, en suivant ce que la doxa désire et non guère ce que l’épistémè exige. Ce faisant, il n’est plus philosophe mais politique. Nous savons bien avant Max Weber qu’il est très difficile d’être à la fois homme de science et homme de pouvoir sans sacrifier l’une des deux vocations.

A la question du journaliste du Figaro, « Donc, pas de regrets » au sujet de la Libye, BHL répond à la sartrienne, « Aucun. D’ailleurs prenez le cas inverse. Celui où on n’est pas intervenu. C’est-à-dire celui de la Syrie. Quel est le résultat ? Vous avez aussi l’islamisme radical…» (Le Figaro du 4 septembre 2014). La rhétorique est un art que le philosophe doit maitriser, mais pas la sophistique, ne serait-ce que par fidélité à Socrate ! Ce n’est pas parce que l’Etat syrien –et je ne dis pas le régime- n’est pas tombé que l’islamisme s’est métastasé, mais parce que la « révolution » syrienne a été dès le départ une sédition des Frères musulmans avec la complicité de l’Internationale islamiste basée à Doha, y compris celle du Hamas. Le cas de la Libye est quasiment similaire et, malgré ma conviction que Kadhafi était capable du pire, je reste persuadé que le slogan « Il faut éviter un bain de sang à Benghazi » n’était qu’un mythe, une énorme manipulation des islamistes libyens dont BHL a été le bien candide vecteur.

C’est pour le moins troublant et affligeant que BHL, Tariq Ramadan et l’obscurantiste Qaradaoui, aient été sur la même longueur d’onde, pour ne pas dire dans le même front contre Kadhafi, alliance contre nature qui avait justifié à l’époque ma phrase dans Le Parisien, « Allah est grand et BHL est son prophète » ! Non, cher collègue philosophe, la Libye d’aujourd’hui, ou ce qui en reste, se porte nettement plus mal que la Jamahiriya sous la dictature de Kadhafi. Et cela vaut pour l’Irak sous Saddam Hussein, de la Syrie sous Al-Assad père et fils et, à plus forte raison, de la Tunisie sous Ben Ali.

Il ne s’agit là ni de nostalgie d’un régime (tunisien) que j’ai combattu plus de dix ans avant de comprendre que le réformisme et le gradualisme sont préférables aux maximalismes révolutionnaires, ni d’un penchant pour les dictateurs que j’ai toujours honnis. Il s’agit plutôt d’une attitude philosophique, politique et même éthique fondée sur l’intelligibilité de l’islam, sur la connaissance de l’islamisme, sur la psychologie des peuples et sur la réminiscence de l’Histoire.

BHL connait mal l’islam, encore moins sa subversion : l’islamisme. Il dit que « Le djihadisme est un fascisme, non par métaphore mais par définition ». Non Monsieur, c’est l’islamisme lui-même qui est par définition, par essence, par axiologie et par étiologie une idéologie néo-fasciste. C’est l’islamisme des Frères musulmans (1928) qui est la cellule mère du djihadisme, du khomeynisme, du talibanisme, d’Al-Qaïda, du Hamas, de Boko haram, d’Ansars al-charia, de l’AKP, d’Ennahda, du FIS… Si ces métastases terminologiques, ces excroissances et ramifications peuvent brouiller l’analyse et troubler la rationalité occidentale, elles n’empêchent pas le philosophe musulman de voir ce qui les unie toutes et ce qui constitue leur fondement commun, à savoir l’indissociabilité du temporel et du spirituel, du sacré et du profane, du religieux et du politique. La différence entre un Erdogan ou un Ghannouchi et un Ben Laden ou Abou Bakr al-Baghdadi, calife auto-proclamé de l’EIIL, n’est donc pas une différence de nature mais de stratégie ou plus exactement de tactique. En cela, la perspective machiavélienne centrée sur le réajustement des moyens par rapport aux fins, devrait davantage nous éclairer : dans la doctrine islamiste, l’islam est un moyen religieux au service d’une fin politique, le pouvoir, tout le pouvoir, rien que le pouvoir.

Nécrose de la civilisation islamique, altération de la religion musulmane, l’islamisme est une idéologie néo-fasciste, théocratique et totalitaire. Il n’est pas l’incarnation de l’islam mais son incarcération. C’est une « religion séculière », pour emprunter cette expression à Raymond Aron par laquelle il définissait le nazisme et le communisme. C’est là que BHL a parfaitement raison lorsqu’il qualifie le «fascislamisme » (cela fait 25 ans que je parle d’islamo-fascisme) de dernière forme de totalitarisme moderne à combattre, parce qu’il constitue un péril, pas seulement pour le monde musulman mais aussi pour le monde occidental. S’adressant récemment au corps diplomatique en Arabie Saoudite, le roi Abdallah –qui sait de quoi il parle !- a déclaré que « S’ils ne réagissent pas, l’Europe et les USA vont avoir les djihadistes chez eux dans un mois » !
  
Et ce combat est celui de la philosophie contre le sophisme, de l’autonomie contre l’hétéronomie, de l’altérité contre l’identité, du savoir contre l’ignorance, de l’herméneutique contre l’intégralisme exégétique, de la vérité contre le mensonge, de la raison contre la passion, de la pédagogie contre la démagogie, des Lumières contre l’obscurantisme, de la sécularisation contre le cléricalisme, de la liberté contre le totalitarisme. Et c’est à ce combat décisif que BHL doit revenir, car il s’en est bien éloigné, tout égaré qu’il fut dans le désert libyen…et ses mirages.

Mezri HADDAD, philosophe et ancien ambassadeur à l’UNESCO.

Interview de BHL dans Le Figaro du 4 septembre 2014 :
http://www.lefigaro.fr/vox/monde/2014/09/03/31002-20140903ARTFIG00379-bhl-le-djihadisme-est-un-fascisme-non-par-metaphore-mais-par-definition.php

Réplique de Mezri Haddad dans Le Figaro du 5 septembre 2014 : http://www.lefigaro.fr/vox/monde/2014/09/05/31002-20140905ARTFIG00185-non-bernard-henri-levy-ce-n-est-pas-le-djihadisme-qui-est-un-fascisme-mais-l-islamisme.php

 
 


           


1.Posté par JOHN WAYNE le 06/09/2014 20:24
LE 11 SEPTEMBRE 2014, LES KAMIKAZES TUNISIENS « PETERONT LE FEU » ! (1)
Triste constat que l’espion de Ben Ali a la retraite et retranché dans sa vétuste villa coloniale du Bardo, peut effectuer en ces durs temps de recolonisation et de destruction du monde Arabe.
Un constat sur l’éducation gratuite et ses effets dans le monde Arabe et en particulier en Tunisie.
Si je devais résumer l’éducation de Bourguiba en un seul mot aujourd’hui, ce serait le mot « destruction » qui me viendrait à l’esprit instantanément.
L’éducation fut sans aucun doute une arme à double tranchant pour la Tunisie. Elle a sorti des ténèbres des êtres qui sur des générations entières ont utilisé leurs diplômes pour maintenir la Tunisie dans le sous-développement le plus tenace.
Les êtres les plus nuisibles à la Tunisie aujourd’hui sont ceux qui ont bénéficié de l’éducation gratuite de nos universités avant d’intégrer d’autres universités dans le monde en boursiers de l’état Tunisien.
Ce sont aujourd’hui ces mêmes diplômés qui trahissent la Nation Bourguibienne aux étrangers et qui même préparent ouvertement sa destruction ou sa transformation en un Califat odieux.
Comme ce diplômé de Harvard qui aujourd’hui sournoisement insiste sur un lien qui existerait entre l’Islam et la démocratie de sa tanière de Washington, mais qui en réalité rêve d’une Tunisie ayant rejoint le Califat de Daech.
Mais l’impact de l’éducation sur la destruction du monde a pour meilleur exemple social le cas de l’Arabie Saoudite ou de nombreux jeunes passent par les universités islamiques de Jeddah ou d’ailleurs sévissent des prédicateurs liés aux frères musulmans d’Egypte, avant de s’envoler vers des universités Américaines ou ils perfectionnent leurs connaissance en sciences fondamentales dont les sciences de la chimie et de la physique.
Le meilleur exemple de lauréat néfaste et nuisible à l’humanité fut bien sur Oussama Bin Laden, diplômé de génie Civil, agent de la CIA, et fondateur du mouvement salafiste Al Qaeda.
Oussama Bin Laden est mort, abattu par les mêmes agents avec lesquels jadis il signa un contrat bien rémunéré comme une actrice signerait avec un studio d’Hollywood vers la célébrité. Mais cet énergumène dont le corps trempe dans le formol d’un des laboratoires de l’hôpital Militaire Walter Reed de Washington, a fort heureusement pour les sionistes de ce bas monde, procréé de nombreux descendants et d’émules.
Et comme cet homme grand de taille qui peu avant d’être criblé de balles par les forces spéciales Américaines, alternait entre prière orientée vers la Mecque et film pornographiques, ces descendants ont dans leur poche des diplômes aussi imposants que ceux des Tunisiens qui ont détruit leur pays.
L’un de ces émules a pour nom Ibrahim Hassan al-Asiri et il aura peut-être comme Mohamed Bouazizi de la ville de Sidi Bouzid, un impact futur important dans votre destin de peuple de gueux et de traitres.
Cela fait un bon bout de temps que je suis la trajectoire sanguinolente de cet énergumène et je dois dire que cela me change du temps où j’espionnais sur le web les méfaits et les plans des internautes de Zarzis. Des internautes dont l’arrestation fut dénoncée par les droit de l’thomistes Tunisiens et Européens et dont la libération par un Ben Ali trop clément, fut suivie par leur départ pour le Jihad Somalien ou ils trouvèrent une mort sans gloire.
Comme le dirait si brillamment cette prostituée de luxe qui rode a l’ANC financée par des ONG de la CIA et dont le Père juge Tunisien avait des tendances non pas homosexuelles mais islamistes, « Ben Ali utilisait les islamistes pour se maintenir au pouvoir ».


2.Posté par JOHN WAYNE le 06/09/2014 20:27
LE 11 SEPTEMBRE 2014, LES KAMIKAZES TUNISIENS « PETERONT LE FEU » ! (2)
Al Asiri est un machiavel du Jihad. Il est aussi innovateur et aussi original que les artistes qui ont présenté leurs tableaux de peinture à la Marsa, certains représentant des femmes à poil dont les bikinis-couscoussières dissimulaient a peine des toisons pubiennes peintes à la hâte. Des tableaux à la Van Gogh qui subirent en un éclair de temps l’autodafé de salafistes impuissants qui saccagèrent les lieux avant d’envoyer dare dare leur huissier notaire islamiste.
La Révolution Tunisienne comme celle Russe, a galvanisé la créativité et l’art.
Al Asiri est le roi de la bombe rectale et comme je l’écrit depuis des années sur Business News, après avoir visionné les vidéos de salafistes Algériens éventrant des femmes enceintes, je suspecte un lien étroit entre l’islamisme, l’homosexualité, et même le sado-masochisme sexuel. Les islamistes détestent les femmes. Il s’agit d’un « syndrome de Barbe Bleu » escamoté par des écrits saints et dissimulant une haine et une violence inouïes envers le sexe féminin.
La potion miracle anti-impuissance en question a pour nom le Pentaerythritol Tetranitrate ou encore PETN. Et pour les gueux n’ayant jamais entendu parler de cette substance miracle, il s’agit d’un composé chimique souvent utilisé comme détonateur fiable de la bombe atomique. Le PETN est un dérivé du TNT. Il s’agit de sa forme liquide légèrement plus stable et dont le catalyseur vers la réaction chimique d’explosion est soit un rayon laser, soit la chaleur, soit une flamme.
Le composé en question est puissant, très puissant. Environ 300 grammes, c’est-à-dire le contenu d’une bouteille de boga cidre comme celle qui accompagne mes délicieux casse-croutes au thon, peut créer une brèche d’environ 5 mètres de diamètre dans la carlingue d’un Boeing 747.
Al Asiri est un gueux basané et au visage filiforme et pâle, évoquant celui d’un serpent comme la majorité des gueux Saoudiens et de leurs souverains Wahhabites. Il n’a pas inventé le PETN, loin de là, mais il a inventé une technique perverse et bien évocatrice de l’islamisme et de son vice : le transport rectal de ce composé explosif très puissant !
Et le premier cobaye dans cette expérience du Jihad rectal aura été le frère d’Al Asiri. Celui-ci du nom d’Abdallah sera mort en vain d’une bombe rectale auto-implantée dans un attentat visant un haut chef de la sécurité Saoudienne, Mohammed Bin Nayef, le 27 Aout 2009. Al Nayef survivra à cet attentat rectal grotesque.
La Tunisie est un pays démantelé et abandonné. Ses services secrets et leurs agents comme moi-même ont été trahi par le peuple mais aussi par des gueuses comme Sihème B. S. qui en compagnie de juges efféminés ont procédé à des purges d’un Ministère de l’Intérieur qui pendant soixante années était synonyme de souveraineté.
La sécurité dans les aéroports Tunisiens ne correspond même pas aux normes des pays d’Amazonie.
Des gueuses vulgaires, rousses, et bavardes de la cité Enasr commutent quotidiennement entre Tunis et Beyrouth pour « affaires » tout en transportant d’innombrables fioles de parfum achetées à Monoprix, sans jamais faire l’objet de contrôle.
Les kamikazes du 11 Septembre 2014 ont planifié une attaque au PETN rectal sur la Tunisie ou ailleurs au Maghreb ou en Europe. Des fioles de PETN avec embout d’implantation rectal et mode d’emploi circulent en Tunisie depuis des lunes.
Cette attaque verra peut-être des dizaines de rectum exploser au nom d’Allah dans des aéronefs de Tunis-Air qui n’atteindront jamais leur destination.
La Tunisie doit se préparer au pire.
Les Djihadistes Tunisiens en ce 11 Septembre 2014 vont peter le feu.
Mais tel devait finir de toutes les façons une révolution plutôt excrémentielle.

F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien Elève au Collège Sadiki
Diplômé d’Histoire et de Sciences Politiques de l’Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l’Intérieur Tunisiens des gouvernements d’Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.

3.Posté par Amira Ben Youssef le 07/09/2014 08:46
Je suis une Bac +4 des années 1980 et ancienne prof de français, et pourtant, j'ai dû recourir 13 fois au dictionnaire pour comprendre cet article grandiose. Mon français s'est enrichi de 13 notions nouvelles et c'est l'essentiel pour moi.

4.Posté par Ahmed Aït Zidane le 07/09/2014 08:58
Propos justes, démonstration remarquable, gentillesse tueuse, diplomatie cynique. C'est une analyse de haute facture et une position courageuse qui ne laisse pas indifférent l'algérien que je suis. Cela fait vingt ans que BHL complote contre l'Algérie et essaye de la destabiliser.

5.Posté par F.Othman le 09/09/2014 00:16
Bonjour,

J'ai posté sur ma page Facebook et sur mon blog une réponse à la réponse de M. Haddad :

Réponse à M. le philosophe M. Haddad : De quel islam parlez-vous ?
http://tunisienouvellerepublique.blogspot.com/2014/09/le-genie-de-lislam-2.html#more

6.Posté par Djamel Dooki le 09/09/2014 18:15
Le problème des mâles orientaux, c'est qu'ils parlent tellement que l'on arrive à peine à les comprendre.
Bourguiba avait bien raison de s'appuyer sur les Tunisiennes car il s'est aperçu très tôt, qu'il ne fallait pas trop compter sur les hommes.

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