Dave Cote, président de Honeywell avec Hamadi Jebali a la Kasbah en 2012.
Existant depuis 45 ans, l’entreprise française Spérian, basée à Plaintel en Côtes-d’Armor, était compétitive et prospère. Sa production annuelle pouvait atteindre les 250 millions de masques. Spérian, qui avait à de multiples reprises changées de nom et de propriétaire, avait connu son âge d’or lors des épidémies 2009 et 2013 de grippe A. En 2009, elle avait recruté 100 personnes et augmenté de 60 % ses capacités de production. En 2010, l’année de sa vente au groupe américain Honeywell, Spérian comptait 280 salariés.
Honeywell est un géant industriel américain spécialisé dans l’aérospatiale, l’industrie automobile, les raffineries, la régulation des chauffages et la fabrication des équipements de protection et de sécurité notamment médicale. Ce groupe emploie près de 150 000 salariés dans le monde, avec un chiffre d’affaire de 37 milliards de dollars.
7 millions de dollars dans les poches de Hamadi Jebali et ses acolytes
En septembre 2010, le groupe américain Honeywell a donc racheté cette entreprise française avec la promesse de la garder à Plaintel et de ne pas effectuer des licenciements. Promesse qui n’engageait que leurs auteurs : dès 2010, cinq plans de réduction d’effectifs se sont succédé, alors que selon un communiqué de l’intersyndicale à l’époque, les profits du groupe américains avaient doublé en quelques mois. De près de 280 employés en 2010, l’entreprise est passée à 38 en 2018 !
Mais ce n’était pas assez pour les prédateurs Américains. En mai 2018, ils décident de licencier les 38 employés, de fermer l’usine de Plaintel pour la délocaliser en Tunisie, où la main d’œuvre est à bon marché. Mais selon l’enquête menée par TS, le groupe Honeywell envisageait déjà cette délocalisation en Tunisie dès 2011, soit un mois après la déstabilisation du pays à la suite du coup-d ’Etat islamo-atlantiste. Mieux encore, cette délocalisation a effectivement et discrètement démarré en avril 2012. Toujours selon notre enquête exclusive, une enveloppe de 7 millions de dollars aurait été remise à un homme de main de Hamadi Jebali, à l’époque chef du gouvernement islamiste. Cette importante somme d’argent aurait été partagée entre différents hauts responsables de la secte locale des Frères musulmans, Ennahdha, le premier servi étant comme d'habitude Rached Ghannouchi.
Honeywell est un géant industriel américain spécialisé dans l’aérospatiale, l’industrie automobile, les raffineries, la régulation des chauffages et la fabrication des équipements de protection et de sécurité notamment médicale. Ce groupe emploie près de 150 000 salariés dans le monde, avec un chiffre d’affaire de 37 milliards de dollars.
7 millions de dollars dans les poches de Hamadi Jebali et ses acolytes
En septembre 2010, le groupe américain Honeywell a donc racheté cette entreprise française avec la promesse de la garder à Plaintel et de ne pas effectuer des licenciements. Promesse qui n’engageait que leurs auteurs : dès 2010, cinq plans de réduction d’effectifs se sont succédé, alors que selon un communiqué de l’intersyndicale à l’époque, les profits du groupe américains avaient doublé en quelques mois. De près de 280 employés en 2010, l’entreprise est passée à 38 en 2018 !
Mais ce n’était pas assez pour les prédateurs Américains. En mai 2018, ils décident de licencier les 38 employés, de fermer l’usine de Plaintel pour la délocaliser en Tunisie, où la main d’œuvre est à bon marché. Mais selon l’enquête menée par TS, le groupe Honeywell envisageait déjà cette délocalisation en Tunisie dès 2011, soit un mois après la déstabilisation du pays à la suite du coup-d ’Etat islamo-atlantiste. Mieux encore, cette délocalisation a effectivement et discrètement démarré en avril 2012. Toujours selon notre enquête exclusive, une enveloppe de 7 millions de dollars aurait été remise à un homme de main de Hamadi Jebali, à l’époque chef du gouvernement islamiste. Cette importante somme d’argent aurait été partagée entre différents hauts responsables de la secte locale des Frères musulmans, Ennahdha, le premier servi étant comme d'habitude Rached Ghannouchi.
Honeywell sur le site de Plaintel en Cotes d'Armor en 2010.
Délocalisation de l’usine de masques de la France vers la Tunisie
Offrir à Dave Cote, le président d’Honeywell, un site dans le gouvernorat de Nabeul et des ouvriers à la pelle, c’était la moindre des choses vis-à-vis de nos « bienfaiteurs » américains. A l’époque, souvenez-vous, les Hillary Clinton, John McCain, Madeleine Albright, Georges Soros…se relayaient régulièrement sur Tunis pour parler de démocratie…et d’affairisme ! Il faut bien noter que Dave Cote était très proche de Barack Hussein Obama, le grand prêtre du "Printemps Arabe" (Photo ci-dessous)
Mais cette délocalisation discrète et progressive de Plaintel en France vers Nabeul a été suspendue en novembre 2012 à la suite de l’attaque de l’ambassade des Etats-Unis à Tunis, le 14 septembre 2012. Selon le site tunisien Kapitalis, en date du 12 octobre 2012, le groupe américain Honeywell, par la voix de son président Dave Cote, en visite à Tunis, étudie « les perspectives d’évolution de sa filiale tunisienne à la lumière des évènements survenus, récemment, dans le pays…qui ont semé le doute chez les entreprises américaines concernant la stabilité de la Tunisie. Toute décision d’investissement dans une telle situation doit être bien étudiée afin de bien mesurer le risque ». Lors de son entrevue avec Hamadi Jebali, Dave Cote a fait monter les enchères exigeant de son obligé islamiste plus d’avantages, ce qui a fait dire à nos confrères de Kapitalis que « Les avertissements de M. Cote devraient être entendus. Ils peuvent être résumés ainsi : si l’implantation de Honeywell en Tunisie va générer des surcoûts dus à la situation générale dans le pays, les autorités tunisiennes devraient les payer ».
Sur 300 millions de masques, pas un seul n’ira aux Tunisiens
Aujourd’hui, le groupe américain Honeywell emploie toujours près de 200 ouvriers et techniciens tunisiens et sa capacité de fabrication de masques respiratoires atteint annuellement les 300 millions. Mais pas un seul masque de cette unité de production ne peut bénéficier aux Tunisiens menacés de mort, ce qui a suscité cette réaction inepte et démagogique du « ministre » du Commerce, un certain Mohamed Msellini : « Il y a une usine tunisienne qui a refusé de nous fabriquer des masques en raison de ses engagements avec l’étranger ».
A nous de nous poser ces deux questions. Ce ministre islamiste ignore-t-il que l’usine en question n’est pas tunisienne mais américaine et que sa production n’est pas destinée au marché local mais exclusivement à l’étranger, selon les termes du contrat signé entre Honeywell et le gouvernement Jebali. Pourquoi ce « ministre » du Commerce n’a-t-il pas cité le nom du groupe américain, laissant planer la suspicion sur un éventuel industriel tunisien qui ne serait pas suffisamment patriote ?
Dans tous les cas et en attendant l’hécatombe imminente sur la Tunisie, Dave Cote pourrait dire aux Tunisiens en général et aux islamistes en particulier : je ne vous dois rien, nous avons déjà donné et arrosé tout le monde, qu’Allah vous protège !!!
Nebil Ben Yahmed
Offrir à Dave Cote, le président d’Honeywell, un site dans le gouvernorat de Nabeul et des ouvriers à la pelle, c’était la moindre des choses vis-à-vis de nos « bienfaiteurs » américains. A l’époque, souvenez-vous, les Hillary Clinton, John McCain, Madeleine Albright, Georges Soros…se relayaient régulièrement sur Tunis pour parler de démocratie…et d’affairisme ! Il faut bien noter que Dave Cote était très proche de Barack Hussein Obama, le grand prêtre du "Printemps Arabe" (Photo ci-dessous)
Mais cette délocalisation discrète et progressive de Plaintel en France vers Nabeul a été suspendue en novembre 2012 à la suite de l’attaque de l’ambassade des Etats-Unis à Tunis, le 14 septembre 2012. Selon le site tunisien Kapitalis, en date du 12 octobre 2012, le groupe américain Honeywell, par la voix de son président Dave Cote, en visite à Tunis, étudie « les perspectives d’évolution de sa filiale tunisienne à la lumière des évènements survenus, récemment, dans le pays…qui ont semé le doute chez les entreprises américaines concernant la stabilité de la Tunisie. Toute décision d’investissement dans une telle situation doit être bien étudiée afin de bien mesurer le risque ». Lors de son entrevue avec Hamadi Jebali, Dave Cote a fait monter les enchères exigeant de son obligé islamiste plus d’avantages, ce qui a fait dire à nos confrères de Kapitalis que « Les avertissements de M. Cote devraient être entendus. Ils peuvent être résumés ainsi : si l’implantation de Honeywell en Tunisie va générer des surcoûts dus à la situation générale dans le pays, les autorités tunisiennes devraient les payer ».
Sur 300 millions de masques, pas un seul n’ira aux Tunisiens
Aujourd’hui, le groupe américain Honeywell emploie toujours près de 200 ouvriers et techniciens tunisiens et sa capacité de fabrication de masques respiratoires atteint annuellement les 300 millions. Mais pas un seul masque de cette unité de production ne peut bénéficier aux Tunisiens menacés de mort, ce qui a suscité cette réaction inepte et démagogique du « ministre » du Commerce, un certain Mohamed Msellini : « Il y a une usine tunisienne qui a refusé de nous fabriquer des masques en raison de ses engagements avec l’étranger ».
A nous de nous poser ces deux questions. Ce ministre islamiste ignore-t-il que l’usine en question n’est pas tunisienne mais américaine et que sa production n’est pas destinée au marché local mais exclusivement à l’étranger, selon les termes du contrat signé entre Honeywell et le gouvernement Jebali. Pourquoi ce « ministre » du Commerce n’a-t-il pas cité le nom du groupe américain, laissant planer la suspicion sur un éventuel industriel tunisien qui ne serait pas suffisamment patriote ?
Dans tous les cas et en attendant l’hécatombe imminente sur la Tunisie, Dave Cote pourrait dire aux Tunisiens en général et aux islamistes en particulier : je ne vous dois rien, nous avons déjà donné et arrosé tout le monde, qu’Allah vous protège !!!
Nebil Ben Yahmed