Tout ce dont on a besoin pour une guerre est une opération sous fausse bannière, c’est la manière avec laquelle les impérialistes ont toujours fonctionné. Le massacre à l’arme chimique d’el Ghouta en Syrie en est la plus récente manifestation. Sous la philosophie de « Plus c’est gros, plus ça passe », les dirigeants américain n’ont pas manqué d’affabulation et de machiavélisme dans la promotion d’une "punition" internationale, tout en ayant le sang de syriens, et tant d’autres, sur leur mains.
Heureusement, Au-delà de toute l’hypocrisie Américaine, les Russes ont maitrisé le sujet de l’arme chimique du début jusqu’à la fin, en se vêtant du costume de la raison, et de la loi internationale. Poutine, Lavrov et autres dirigeant russes se sont aperçues que pour sauver la Syrie, il fallait sauver les U.S.A… du gouvernement Américain. C’est pour cette maitrise russe que la Syrie alors accepta l’offre russe de se léguer de tout son arsenal chimique. Un arsenal peu stratégique si l’on croyait un échange entre le journaliste Robert Fisk, et un général syrien qui aurait dit qu’il était déraisonnable d’utiliser des armes chimiques quand on a des MIG29. Toutefois, la raison semble peu utile pour contrer les mensonges institutionnels des impérialistes.
Mais ce n’est pas le discours fallacieux de Kerry ou d’Obama, ni l’immondice médiatique qu’est la machine de propagande Impérialiste qui interpelle tellement de polémique au sein des bien-pensants. Car il est clair qu’Obama, qu’il soit qualifié comme "nègre de service" ou "Sayanim" ( si on utilise la terminologie de Malcolm X ou de Jacob Cohen), a agi en tant que bon employé de l’empire, en enchainant menace après menace envers la Syrie, et s’enfonçant jusqu’au point de non-retour médiatique, lui qui était forcé, avec Chuck Hagel et autres, à se prosterner devant le tout puissant lobby sioniste. Le plus polémique serait que le président Américain, derrière toute cette mascarade malhonnête concernant la Syrie, aurait fait part au monde de l’emprise qu’exerce l’entité sioniste sur son gouvernement.
Le pointage du doigt de l’entité sioniste n’est pas vraiment une conclusion controversée, vu qu’elle a une main dans toutes les guerres déclenchées par l’empire, et qu’elle serait largement responsable de la schizophrénie américaine actuelle vis-à-vis de l’offre entre l’acceptation de l’offre russe et l’essai de la vider de tout contenu, et qui explique le souhait américain à regagner en cohérence t en crédibilité, et la volonté sous-entendue d’une solution final vis-à-vis de la Syrie de la résistance, en vue de créer un Moyen Orient propre de toute menace militaire sur l’existence du régime hébreux .
Néanmoins, dire que c’est l’ombre d’une contre-attaque sur l’entité sioniste qui fait que l’Amérique accepta initialement l’offre russe semble invraisemblable, mais qu’il s’agirait plus probablement des pressions exercés de l’élite militaire américaine qui en a marre. Car l’oligarchie mondiale qui pousse, à coup de bâton, Obama et consorts à cette déclaration de guerre n’est nullement affecté par une quelconque représaille des forces pro syriennes dans la région, vu qu’elle vit de l’autre côté de la planète .Il faudrait pour comprendre cela se dissocier des écrits tièdes de Noam Chomsky, et se pencher plutôt sur la littérature particulièrement riche et révélatrice d’Israel Shahak, Israel Shamir ou James Petras.
Cela nous permet de voir une lumière au bout du tunnel qui est le bras de fer entre l’élite militaire américaine, qui est nécessairement patriotique et très prudente , et les va-t-en guerre hystérique et pro sioniste de l’AIPAC et ses sujets, avec, au milieu, des bureaucrates américains totalement soumis et dépouillé de tout pouvoir tangible.
Ce qui trouble essentiellement, c’est que ce climat mondial de marathon diplomatique et de tractations cachés est très similaire de celui de l’avant- deuxième guerre mondiale, de l’avant- deuxième et troisième guerre du Golfe. A la moindre étincelle, une autre guerre ultime surviendra, et Neville Chamberlain surgira de sa sépulture, en clamant la vérité une autre fois : « c’est l’Amérique et le monde israélite international qui nous ont précipité dans la guerre ».TunisieSecret
Mohamed El Hadi Fahem, École Polytechnique
d'Architecture et d'Urbanisme d'Alger.
Heureusement, Au-delà de toute l’hypocrisie Américaine, les Russes ont maitrisé le sujet de l’arme chimique du début jusqu’à la fin, en se vêtant du costume de la raison, et de la loi internationale. Poutine, Lavrov et autres dirigeant russes se sont aperçues que pour sauver la Syrie, il fallait sauver les U.S.A… du gouvernement Américain. C’est pour cette maitrise russe que la Syrie alors accepta l’offre russe de se léguer de tout son arsenal chimique. Un arsenal peu stratégique si l’on croyait un échange entre le journaliste Robert Fisk, et un général syrien qui aurait dit qu’il était déraisonnable d’utiliser des armes chimiques quand on a des MIG29. Toutefois, la raison semble peu utile pour contrer les mensonges institutionnels des impérialistes.
Mais ce n’est pas le discours fallacieux de Kerry ou d’Obama, ni l’immondice médiatique qu’est la machine de propagande Impérialiste qui interpelle tellement de polémique au sein des bien-pensants. Car il est clair qu’Obama, qu’il soit qualifié comme "nègre de service" ou "Sayanim" ( si on utilise la terminologie de Malcolm X ou de Jacob Cohen), a agi en tant que bon employé de l’empire, en enchainant menace après menace envers la Syrie, et s’enfonçant jusqu’au point de non-retour médiatique, lui qui était forcé, avec Chuck Hagel et autres, à se prosterner devant le tout puissant lobby sioniste. Le plus polémique serait que le président Américain, derrière toute cette mascarade malhonnête concernant la Syrie, aurait fait part au monde de l’emprise qu’exerce l’entité sioniste sur son gouvernement.
Le pointage du doigt de l’entité sioniste n’est pas vraiment une conclusion controversée, vu qu’elle a une main dans toutes les guerres déclenchées par l’empire, et qu’elle serait largement responsable de la schizophrénie américaine actuelle vis-à-vis de l’offre entre l’acceptation de l’offre russe et l’essai de la vider de tout contenu, et qui explique le souhait américain à regagner en cohérence t en crédibilité, et la volonté sous-entendue d’une solution final vis-à-vis de la Syrie de la résistance, en vue de créer un Moyen Orient propre de toute menace militaire sur l’existence du régime hébreux .
Néanmoins, dire que c’est l’ombre d’une contre-attaque sur l’entité sioniste qui fait que l’Amérique accepta initialement l’offre russe semble invraisemblable, mais qu’il s’agirait plus probablement des pressions exercés de l’élite militaire américaine qui en a marre. Car l’oligarchie mondiale qui pousse, à coup de bâton, Obama et consorts à cette déclaration de guerre n’est nullement affecté par une quelconque représaille des forces pro syriennes dans la région, vu qu’elle vit de l’autre côté de la planète .Il faudrait pour comprendre cela se dissocier des écrits tièdes de Noam Chomsky, et se pencher plutôt sur la littérature particulièrement riche et révélatrice d’Israel Shahak, Israel Shamir ou James Petras.
Cela nous permet de voir une lumière au bout du tunnel qui est le bras de fer entre l’élite militaire américaine, qui est nécessairement patriotique et très prudente , et les va-t-en guerre hystérique et pro sioniste de l’AIPAC et ses sujets, avec, au milieu, des bureaucrates américains totalement soumis et dépouillé de tout pouvoir tangible.
Ce qui trouble essentiellement, c’est que ce climat mondial de marathon diplomatique et de tractations cachés est très similaire de celui de l’avant- deuxième guerre mondiale, de l’avant- deuxième et troisième guerre du Golfe. A la moindre étincelle, une autre guerre ultime surviendra, et Neville Chamberlain surgira de sa sépulture, en clamant la vérité une autre fois : « c’est l’Amérique et le monde israélite international qui nous ont précipité dans la guerre ».TunisieSecret
Mohamed El Hadi Fahem, École Polytechnique
d'Architecture et d'Urbanisme d'Alger.