Cheikha Moza bint Nasser Al-Missned, la véritable dirigeante de l'émirat islamo-gazier.
Elle aurait du être une chamelière, ou tout simplement une femme arabe réduite à son rôle de procréatrice et d’énième épouse. C’est l’une des femmes les plus puissantes au monde, par l’argent et la corruption. Certains spécialistes du Qatar la considèrent même comme le véritable « homme fort » de cet émirat oligarchique et mafieux.
Issue d'un milieu aisé, elle est mère de sept enfants, dont l’actuel émir fantoche. Celle que ses biographes font naître au Qatar à la fin des années 1950 sans plus de précision est la fille du plus célèbre opposant à la dynastie au pouvoir, Nasser Al-Misnad, décédé en 2007. Elle s’est mariée à 18 ans dans le cadre d'un arrangement politique entre les deux principales tribus qui se disputaient le pouvoir. Ce mariage a permis au futur émir de se réconcilier avec le clan des Al-Misnad qui avait été exilé au Koweït, puis au Liban, puis en Libye, ensuite à Londres.
Une fois son époux parvenu au pouvoir, à la faveur du coup d'Etat télévisé de 1995 dont elle aurait eu l’idée, elle a su asseoir son influence au sein de l’oligarchie régnante et s'impliquer au grand jour dans la vie politique de cet émirat gazier. Les deux premières années du fameux « printemps arabe », elle a même pu jouer un rôle régional et international de premier ordre. Si son époux obéissait aux ordres de ses maîtres Américains et Britanniques pour déstabiliser la Tunisie, la Libye et la Syrie, Moza-lifting avait d’autres considérations hautement géopolitiques : sa haine et sa jalousie maladive vis-à-vis de Leila Ben Ali, Aïcha Kadhafi et Asma Al-Assad, la première Dame de Syrie. Trois belles femmes que Moza ne pouvait pas supporter.
Sa défense de la religion ne l'empêche pas de jouer de manière hypocrite sur les limites de l'islamiquement correct. Couverte d’un voile dans son pays, elle cache, à l'étranger, ses cheveux crépus sous un élégant turban assorti à des tenues qui, avec le temps, dessinent de plus en plus nettement ses formes islamiquement sexy ! Il semblerait qu’elle bénéficie d’une Fatwa spéciale de Youssef Qaradaoui pour montrer ses formes généreuses aux « impies » occidentaux. Qu’importe ce qu’on montre, l’essentiel c’est de convertir !
La seconde épouse de l’ex roitelet du Qatar dirige une fondation au budget de plus de 15 milliards de dollars, une somme colossale pour se faire des amis dans les milieux culturels, médiatiques et politiques européens, qui n’aiment pas l’argent ! On lui doit la création d'un centre pour la liberté de la presse dans le monde arabe, dont elle avait confié la direction à Robert Ménard, le défenseur de la liberté d’expression et des droits de l’homme qui tenait en laisse la presse française et qui a fini par atterrir au Front National dont il est devenu un élu local !
Femme d'affaires, Moza-lifting dirige également Qatar Luxury, un groupe qui a pris le contrôle du célèbre maroquinier français Le Tanneur. Pour sa garde robe, Moza dépense 8500 millions de dollars par an, chez les meilleurs couturiers parisiens et londoniens. De quoi nourrir 10% des êtres humains qui souffrent de famine dans le monde.
Lilia Ben Rejeb
Voir l'album photo de la Top modèle islamiste, tendance Frères musulmans:
Issue d'un milieu aisé, elle est mère de sept enfants, dont l’actuel émir fantoche. Celle que ses biographes font naître au Qatar à la fin des années 1950 sans plus de précision est la fille du plus célèbre opposant à la dynastie au pouvoir, Nasser Al-Misnad, décédé en 2007. Elle s’est mariée à 18 ans dans le cadre d'un arrangement politique entre les deux principales tribus qui se disputaient le pouvoir. Ce mariage a permis au futur émir de se réconcilier avec le clan des Al-Misnad qui avait été exilé au Koweït, puis au Liban, puis en Libye, ensuite à Londres.
Une fois son époux parvenu au pouvoir, à la faveur du coup d'Etat télévisé de 1995 dont elle aurait eu l’idée, elle a su asseoir son influence au sein de l’oligarchie régnante et s'impliquer au grand jour dans la vie politique de cet émirat gazier. Les deux premières années du fameux « printemps arabe », elle a même pu jouer un rôle régional et international de premier ordre. Si son époux obéissait aux ordres de ses maîtres Américains et Britanniques pour déstabiliser la Tunisie, la Libye et la Syrie, Moza-lifting avait d’autres considérations hautement géopolitiques : sa haine et sa jalousie maladive vis-à-vis de Leila Ben Ali, Aïcha Kadhafi et Asma Al-Assad, la première Dame de Syrie. Trois belles femmes que Moza ne pouvait pas supporter.
Sa défense de la religion ne l'empêche pas de jouer de manière hypocrite sur les limites de l'islamiquement correct. Couverte d’un voile dans son pays, elle cache, à l'étranger, ses cheveux crépus sous un élégant turban assorti à des tenues qui, avec le temps, dessinent de plus en plus nettement ses formes islamiquement sexy ! Il semblerait qu’elle bénéficie d’une Fatwa spéciale de Youssef Qaradaoui pour montrer ses formes généreuses aux « impies » occidentaux. Qu’importe ce qu’on montre, l’essentiel c’est de convertir !
La seconde épouse de l’ex roitelet du Qatar dirige une fondation au budget de plus de 15 milliards de dollars, une somme colossale pour se faire des amis dans les milieux culturels, médiatiques et politiques européens, qui n’aiment pas l’argent ! On lui doit la création d'un centre pour la liberté de la presse dans le monde arabe, dont elle avait confié la direction à Robert Ménard, le défenseur de la liberté d’expression et des droits de l’homme qui tenait en laisse la presse française et qui a fini par atterrir au Front National dont il est devenu un élu local !
Femme d'affaires, Moza-lifting dirige également Qatar Luxury, un groupe qui a pris le contrôle du célèbre maroquinier français Le Tanneur. Pour sa garde robe, Moza dépense 8500 millions de dollars par an, chez les meilleurs couturiers parisiens et londoniens. De quoi nourrir 10% des êtres humains qui souffrent de famine dans le monde.
Lilia Ben Rejeb
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