Lorsque nous avons annoncé dès le 16 juillet dernier que plus de dix soldats ont perdu la vie dans une attaque terroriste à Chaambi, certains nous ont accusés d’exagération et de désinformation. Et pour cause, tous les médias tunisiens parlaient de deux morts et se conformaient studieusement aux « informations » données par le porte-parole du ministère de la Défense, dans sa très longue et importante conférence de presse de deux minutes !
Ce n’est que 24h après cette ignoble attaque que l’on a avoué la mort de 14 soldats, le quinzième ayant été découvert plus tard, puisque les terroristes et criminels de Chaambi l’ont fait prisonnier avant de le martyriser en mutilant et en brulant son corps. Il s’appelait Walid Ben Abdallah et il était soldat volontaire.
Selon sa tante, qui est intervenue au micro de radio Shems, pour indiquer que « l’armée l’avait informé que le martyr Walid Ben Abadallah est mort des suites d’une hémorragie », le jeune soldat n’avait que 24 ans, il est originaire de la région du Menzah 8, « qu’il est titulaire d’un diplôme de coiffure et qu’il a choisi librement de s’engager dans l’armée pour défendre sa patrie ».
Comme Socrate Cherni et tous les militaires et policiers qui ont donné leurs vies à la Tunisie, les quinze derniers soldats tombés à djebel Chaambi dans la nuit du mercredi au jeudi 17 juillet 2014 sont les vrais martyrs du pays et les victimes de la conspiration dont a été victime la Tunisie en janvier 2011. Pour ne jamais les oublier, voici leurs noms : commandant Wissem Akaichi, lieutenant Oussama Chakroun, sergent chef Faïçal Torchi, sergent Sabri Maâlaoui, caporal chef Mohamed Dhaouadi, caporal chef Massoud Bouraoui, caporal chef Kais Bouallagui, caporal chef Issam Gharbi, caporal chef Zaki Saidani, caporal Néji Hammami, soldat volontaire Yassine Ghouili, soldat volontaire Ahmed Hamadi, soldat volontaire Chawki Kilani, soldat volontaire Atef Chaib, soldat volontaire Walid Ben Abdallah.
Le seul terroriste qui a tué lors de cette opération revendiquée par Qatibet Okba Ibn Nafâa, une ramification d’Aqmi, s’appelle Adnen Chergui, originaire du quartier Ezzouhour à Kasserine. Il a été l’un des principaux « leaders » de la « révolution bouazizienne » en janvier 2011. En août 2013, il a rejoint les brigades islamo-terroriste Okba Ibn Nafâa…comme beaucoup d’autres « révolutionnaires » de Kasserine, Sidi Bouzid, Jendouba et Gafsa !
Nebil Ben Yahmed
Ce n’est que 24h après cette ignoble attaque que l’on a avoué la mort de 14 soldats, le quinzième ayant été découvert plus tard, puisque les terroristes et criminels de Chaambi l’ont fait prisonnier avant de le martyriser en mutilant et en brulant son corps. Il s’appelait Walid Ben Abdallah et il était soldat volontaire.
Selon sa tante, qui est intervenue au micro de radio Shems, pour indiquer que « l’armée l’avait informé que le martyr Walid Ben Abadallah est mort des suites d’une hémorragie », le jeune soldat n’avait que 24 ans, il est originaire de la région du Menzah 8, « qu’il est titulaire d’un diplôme de coiffure et qu’il a choisi librement de s’engager dans l’armée pour défendre sa patrie ».
Comme Socrate Cherni et tous les militaires et policiers qui ont donné leurs vies à la Tunisie, les quinze derniers soldats tombés à djebel Chaambi dans la nuit du mercredi au jeudi 17 juillet 2014 sont les vrais martyrs du pays et les victimes de la conspiration dont a été victime la Tunisie en janvier 2011. Pour ne jamais les oublier, voici leurs noms : commandant Wissem Akaichi, lieutenant Oussama Chakroun, sergent chef Faïçal Torchi, sergent Sabri Maâlaoui, caporal chef Mohamed Dhaouadi, caporal chef Massoud Bouraoui, caporal chef Kais Bouallagui, caporal chef Issam Gharbi, caporal chef Zaki Saidani, caporal Néji Hammami, soldat volontaire Yassine Ghouili, soldat volontaire Ahmed Hamadi, soldat volontaire Chawki Kilani, soldat volontaire Atef Chaib, soldat volontaire Walid Ben Abdallah.
Le seul terroriste qui a tué lors de cette opération revendiquée par Qatibet Okba Ibn Nafâa, une ramification d’Aqmi, s’appelle Adnen Chergui, originaire du quartier Ezzouhour à Kasserine. Il a été l’un des principaux « leaders » de la « révolution bouazizienne » en janvier 2011. En août 2013, il a rejoint les brigades islamo-terroriste Okba Ibn Nafâa…comme beaucoup d’autres « révolutionnaires » de Kasserine, Sidi Bouzid, Jendouba et Gafsa !
Nebil Ben Yahmed