C’est ce matin, mardi 30 octobre 2012, à 6h30 que nous avons mis en ligne ce site d’information, après deux jours de travail sans arrêt et jusqu’à l’aube, à faire toutes les vérifications éditoriales et tous les tests informatiques. Deux journées infernales qui viennent couronner plusieurs semaines de patient labeur. La construction de ce site que nous dédions à la mémoire de tous les journalistes du monde morts dans l’exercice de leur fonction, nous a en effet demandé trois mois. On m’a déjà dit que les Tunisiens sont des champions en informatique et j’ai pu le constater en voyant K.J, K.Z et R.B.B travailler. Ce sont les premiers que je voudrai féliciter et remercier, puisqu’ils sont, comme toute l’équipe de Tunisie-Secret, des bénévoles.
Tunisie-Secret est née d’un terrible désespoir et d’une immense espérance. Le désespoir d’abord de voir la Tunisie se libérer du joug de la dictature pour tomber dans les ténèbres de l’islamo-salafisme le plus abominable. Qui aurait pu imaginer une régression aussi vertigineuse, après la joie extatique du 14 janvier 2011 ? Ensuite, l’espérance que la Tunisie, comme Carthage jadis et naguère, renaîtra de ses cendres, encore plus belle et plus ambitieuse qu’elle ne l’a jamais été auparavant.
C’est à ce combat de la vérité contre le mensonge, du dévouement contre la trahison, des Lumières contre l’obscurantisme, de la démocratie contre la théocratie, de la liberté contre la servitude, de la modernité contre l’archaïsme, du patriotisme contre le charlatanisme, de l’humanisme universel contre le totalitarisme vert, de l’islam éclairé contre l’islamisme ténébreux, de l’altérité ouverte contre l’identité fermée, que Tunisie-Secret va désormais se consacrer.
C’est en mai 2011 que l’aventure de Tunisie-Secret a commencé comme un simple blog. Des mois durant, du mieux que nous avons pu, nous avons essayé d’informer sans déformer, de critiquer sans blesser, d’admirer sans flatter ; nous avons défendu ceux et celles qui étaient pour d’autres des « indéfendables », et critiqué ceux qui étaient pour d’autres des « intouchables ». Ce n’était guère par goût de différencialisme ou de sensationnalisme, mais par amour de la liberté et passion de la Justice.
Fort de cette expérience et armé de notre seule volonté, nous allons continuer cette aventure et nous appelons tous les jeunes talents à nous accompagner dans ce journalisme participatif, responsable et citoyen. Ce journal, nous ne l’avons pas crée pour nous mais pour les autres : ceux qui n’ont pas les moyens de faire entendre leur voix, ou ceux qu’on empêche de s’exprimer. Nous ne le mettons pas au service des tentations mercantilistes, mais nous le soumettons aux exigences d’une cause : une Tunisie souveraine, avec une démocratie au diapason de la Modernité, et non pas une Tunisie enfermée dans un présent qui refuse de devenir un passé.
Tunisie-Secret est née d’un terrible désespoir et d’une immense espérance. Le désespoir d’abord de voir la Tunisie se libérer du joug de la dictature pour tomber dans les ténèbres de l’islamo-salafisme le plus abominable. Qui aurait pu imaginer une régression aussi vertigineuse, après la joie extatique du 14 janvier 2011 ? Ensuite, l’espérance que la Tunisie, comme Carthage jadis et naguère, renaîtra de ses cendres, encore plus belle et plus ambitieuse qu’elle ne l’a jamais été auparavant.
C’est à ce combat de la vérité contre le mensonge, du dévouement contre la trahison, des Lumières contre l’obscurantisme, de la démocratie contre la théocratie, de la liberté contre la servitude, de la modernité contre l’archaïsme, du patriotisme contre le charlatanisme, de l’humanisme universel contre le totalitarisme vert, de l’islam éclairé contre l’islamisme ténébreux, de l’altérité ouverte contre l’identité fermée, que Tunisie-Secret va désormais se consacrer.
C’est en mai 2011 que l’aventure de Tunisie-Secret a commencé comme un simple blog. Des mois durant, du mieux que nous avons pu, nous avons essayé d’informer sans déformer, de critiquer sans blesser, d’admirer sans flatter ; nous avons défendu ceux et celles qui étaient pour d’autres des « indéfendables », et critiqué ceux qui étaient pour d’autres des « intouchables ». Ce n’était guère par goût de différencialisme ou de sensationnalisme, mais par amour de la liberté et passion de la Justice.
Fort de cette expérience et armé de notre seule volonté, nous allons continuer cette aventure et nous appelons tous les jeunes talents à nous accompagner dans ce journalisme participatif, responsable et citoyen. Ce journal, nous ne l’avons pas crée pour nous mais pour les autres : ceux qui n’ont pas les moyens de faire entendre leur voix, ou ceux qu’on empêche de s’exprimer. Nous ne le mettons pas au service des tentations mercantilistes, mais nous le soumettons aux exigences d’une cause : une Tunisie souveraine, avec une démocratie au diapason de la Modernité, et non pas une Tunisie enfermée dans un présent qui refuse de devenir un passé.