Le tueur d'Orlando, Omar Mateen, un islamiste homophobe à l'homosexualité refoulée... comme la majorité des islamistes.
ISIS, ISIS, ISIS. Le mot qui tourne en leitmotiv, et on le comprend, sur tous les networks américains. Massacre encore à Orlando dont Disney avait fait le premier paradis de tous les enfants du monde. Paradis aujourd’hui ensanglanté par les mêmes assassins et la même pensée islamiste terroriste qui a ensanglanté Paris et Bruxelles tout récemment et tant d’autres endroits. Les networks US sont à la peine.
Je me souviens que certains, au lendemain des attentats de Paris expliquaient avec quelque condescendance que les Européens ne réussissaient pas à sanctuariser leurs pays comme les US étaient supposés avoir réussi à le faire.
Obama et son administration qui ont par le passé tenté de minimiser la portée islamiste terroriste de certains attentats sont cette fois au pied du mur et ne s’en tireront pas en simulant l’angélisme. D’abord ils apprennent qu’il n’y a pas de sanctuaire contre le terrorisme qui habite les cerveaux malades croyant se battre pour une cause et un Etat: cause des sans cause réelle hormis la haine la plus brute et la volonté de donner la mort. Etat fantôme et fantasme tant par les hordes de criminels voyous ayant fait de la violence la plus abjecte une philosophie et une constitution que par les grandes puissances qui lui ont donné crédit et ses lettres de créance en répétant sans prudence les mots d’Etat Islamique ou ISIS.
L’évidence s’impose aujourd’hui: la politique et géopolitique Obama, qui ont consisté depuis 8 ans à laisser faire partout l’islamisme politique, quand on n’a pas essayé de l’adouber voir de le soutenir dans des calculs machiavéliques insensés, n’ont mené qu’au développement du terrorisme. Trump n’a pas tort de dire qu’Obama ne dénonçait le radicalisme islamiste que du bout des lèvres.
Expliquer encore comme le fait Obama, les massacres commis par les terroristes islamistes, par la libre circulation des armes aux Etats Unis est un voile jeté sur l’échec d’une politique. La France et la plupart des pays d’ailleurs où le commerce des armes n’est pas libre et où leur port est très contrôlé savent que cela n’a jamais empêché un malade mental décidé à tuer et à mourir, de s’en procurer.
Les Américains commencent à demander des comptes et à comprendre que la seule façon de se sanctuariser contre l’islamisme terroriste est de l’extirper par les racines là où on l’a laissé naître, grandir et se multiplier à l’échelle planétaire. Et aussi de couper tous les fils qui les relient aux maîtres à penser de l’islamisme politique, grand père spirituel du djihadisme terroriste.
Hamid Chabaane
Je me souviens que certains, au lendemain des attentats de Paris expliquaient avec quelque condescendance que les Européens ne réussissaient pas à sanctuariser leurs pays comme les US étaient supposés avoir réussi à le faire.
Obama et son administration qui ont par le passé tenté de minimiser la portée islamiste terroriste de certains attentats sont cette fois au pied du mur et ne s’en tireront pas en simulant l’angélisme. D’abord ils apprennent qu’il n’y a pas de sanctuaire contre le terrorisme qui habite les cerveaux malades croyant se battre pour une cause et un Etat: cause des sans cause réelle hormis la haine la plus brute et la volonté de donner la mort. Etat fantôme et fantasme tant par les hordes de criminels voyous ayant fait de la violence la plus abjecte une philosophie et une constitution que par les grandes puissances qui lui ont donné crédit et ses lettres de créance en répétant sans prudence les mots d’Etat Islamique ou ISIS.
L’évidence s’impose aujourd’hui: la politique et géopolitique Obama, qui ont consisté depuis 8 ans à laisser faire partout l’islamisme politique, quand on n’a pas essayé de l’adouber voir de le soutenir dans des calculs machiavéliques insensés, n’ont mené qu’au développement du terrorisme. Trump n’a pas tort de dire qu’Obama ne dénonçait le radicalisme islamiste que du bout des lèvres.
Expliquer encore comme le fait Obama, les massacres commis par les terroristes islamistes, par la libre circulation des armes aux Etats Unis est un voile jeté sur l’échec d’une politique. La France et la plupart des pays d’ailleurs où le commerce des armes n’est pas libre et où leur port est très contrôlé savent que cela n’a jamais empêché un malade mental décidé à tuer et à mourir, de s’en procurer.
Les Américains commencent à demander des comptes et à comprendre que la seule façon de se sanctuariser contre l’islamisme terroriste est de l’extirper par les racines là où on l’a laissé naître, grandir et se multiplier à l’échelle planétaire. Et aussi de couper tous les fils qui les relient aux maîtres à penser de l’islamisme politique, grand père spirituel du djihadisme terroriste.
Hamid Chabaane