Des islamo-terroristes tunisiens partis commettre leurs crimes en Syrie.
Il se fait appeler Abou Hamza al-Tounsi. Après avoir servi Al-Qaïda et Ansar al-charia pour rejoindre Daech, après avoir commis Dieu sait quels crimes et combien de crimes en Syrie, il est revenu en Tunisie où personne ne l’a inquiété ni même interrogé. Il est revenu comme il est parti : dans l’impunité la plus totale.
Ce n’est pas une télévision tunisienne qui est allée l’interviewer mais la chaîne « Akhbaâr al-Aân ». Il dit avoir rompu avec Daech et regretter ses crimes commis en Syrie. S’il éprouvait le moindre remords, qu’il dise qui l’a endoctriné en Tunisie, qui a financé son voyage en Syrie via la Turquie et combien de crimes a-t-il commis à l’encontre du peuple syrien.
Abou Hamza al-Tounsi, dont on a en vain cherché la vraie identité, n’est pas le seul dans ce cas. Il y a des dizaines et peut-être même des centaines à avoir à avoir eu une carrière d’islamo-terroriste en Syrie, en Libye et en Irak. Kaïs Mnasri, originaire de Tala et considéré comme un blessé de la « révolution » comme ils disent, est également parti massacrer des civils en Syrie.
Il y a quelques semaines, le ministère de la Jeunesse et des Sports a ouvert une enquête au sujet d’un certain Badreddine Amdouni, qui percevait durant huit mois un salaire en tant que travailleur au sein du club de judo de l’Espérance sportive alors qu’il se trouvait en Syrie. Ce criminel, membre d’Ennahdha, a été arrêté il y a deux mois parce qu’il dirigeait un trafic d’exportation de terroristes en Syrie.
On rappellera que depuis 2011, le pays de la « révolution du jasmin » est devenu le premier exportateur de terroristes en Syrie. Des témoignages syriens et irakiens affirment que les Tunisiens sont les plus barbares de tous. Des truands, des mercenaires et des malades sexuels qui sont partis au djihad, c’est-à-dire pour abuser des filles et se faire de l’argent, avant de revenir en Tunisie pour s’évaporer dans la société… en attendant de reprendre du service, chez-eux cette fois-ci !
Lilia Ben Rejeb
Témoignage d’Abou Hamza al-Tounsi :
https://www.youtube.com/watch?v=1ORZ-AMvqbQ
Ce n’est pas une télévision tunisienne qui est allée l’interviewer mais la chaîne « Akhbaâr al-Aân ». Il dit avoir rompu avec Daech et regretter ses crimes commis en Syrie. S’il éprouvait le moindre remords, qu’il dise qui l’a endoctriné en Tunisie, qui a financé son voyage en Syrie via la Turquie et combien de crimes a-t-il commis à l’encontre du peuple syrien.
Abou Hamza al-Tounsi, dont on a en vain cherché la vraie identité, n’est pas le seul dans ce cas. Il y a des dizaines et peut-être même des centaines à avoir à avoir eu une carrière d’islamo-terroriste en Syrie, en Libye et en Irak. Kaïs Mnasri, originaire de Tala et considéré comme un blessé de la « révolution » comme ils disent, est également parti massacrer des civils en Syrie.
Il y a quelques semaines, le ministère de la Jeunesse et des Sports a ouvert une enquête au sujet d’un certain Badreddine Amdouni, qui percevait durant huit mois un salaire en tant que travailleur au sein du club de judo de l’Espérance sportive alors qu’il se trouvait en Syrie. Ce criminel, membre d’Ennahdha, a été arrêté il y a deux mois parce qu’il dirigeait un trafic d’exportation de terroristes en Syrie.
On rappellera que depuis 2011, le pays de la « révolution du jasmin » est devenu le premier exportateur de terroristes en Syrie. Des témoignages syriens et irakiens affirment que les Tunisiens sont les plus barbares de tous. Des truands, des mercenaires et des malades sexuels qui sont partis au djihad, c’est-à-dire pour abuser des filles et se faire de l’argent, avant de revenir en Tunisie pour s’évaporer dans la société… en attendant de reprendre du service, chez-eux cette fois-ci !
Lilia Ben Rejeb
Témoignage d’Abou Hamza al-Tounsi :
https://www.youtube.com/watch?v=1ORZ-AMvqbQ