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Exclusif : Tarak , le deuxième Kahlaoui qui a piégé Moncef Marzouki


10 Janvier 2013

Ex-membre d’Ennahda, vindicatif à l’égard de tous, sa dernière victime étant Béji Caïd Essebsi, Tarek Kahlaoui est un arrogant et un opportuniste qui a travaillé pour Al-Jazeera avant de se mettre au service de Sakher El-Materi. Après la révolution 2.0, il a rejoint le CPR qui l’a généreusement récompensé en le nommant à la tête de l’Institut d’Etudes Stratégiques avec rang de secrétaire d’Etat. C'est son père, Ahmed Kahlaoui, un ancien du Baath, qui a supplié son ami Marzouki de "caser" son fils. Voici ce qu’il a caché à Marzouki et à l’opinion publique tunisienne.


Exclusif : Tarak , le deuxième Kahlaoui qui a piégé Moncef Marzouki
Pourquoi est-il le deuxième Kahlaoui à tromper son recruteur, Moncef Marzouki ? Parce que ce dernier a déjà commis la bourde de nommer comme premier conseiller à la Présidence un ancien cacique du RCD, Abdallah Kahlaoui. Tunisie-Secret, à l’époque (over-blog), a été le premier à découvrir le pot aux roses, le 19 janvier 2012, en dévoilant à l’opinion tunisienne qu’Abdallah Kahlaoui devait sa carrière à Ben Ali et qu’il était jusqu’au 14 janvier 2011 un haut cadre du RCD. Deux semaines après, pour éviter le scandale, Marzouki a poussé son éphémère conseiller principal à la démission.

Pourquoi cette réplique à Tarek Kahlaoui ?

Le cas de Tarek Kahlaoui est encore plus édifiant. Il est actuellement président de l’Institut des Etudes Stratégiques (choses connue), avec rang de secrétaire d’Etat (chose moins connue), une institution dont le siège est à Carthage Amilcar et qui dépend directement de la présidence de la République. On le voit sur toutes les chaines de télévision, humiliant un tel, vilipendant tel autre, avec une arrogance et une insolence inégalées. Pour être sincère avec nos lecteurs, nous avons voulu publier le présent article il y a déjà plus d’un mois, tout de suite après l’avoir vu sur Hannibal TV calomniant  Mezri Haddad, alors qu’il était déjà hors antenne et intervenant à partir de Paris. Mais paradoxalement, c’est lui qui nous a demandé de ne pas attaquer ce « jeune qui ne sait pas ce qu’il dit ». Depuis que nous avons lancé ce site, nous n’avons pas caché à nos lecteurs que, chaque fois que ce philosophe ou d'autres intellectuels honorables sont injustement calomniés, nous les défendrons et particulièrement M.Haddad, parce qu’il a été le premier et le seul tunisien à nous ouvrir les yeux sur le « printemps arabe ». Espérons qu’il ne nous en voudra pas de publier le présent article, parce que cette fois-ci, le dénommé Tarek Kahlaoui s’en est pris à Béji Caïd Essebsi (voir vidéo ci-dessous). Nous n’avons pourtant pas été très tendre avec cet ancien premier ministre, mais avec Tarek Kahlaoui, trop c’est trop. Notre voyou a dépassé les limites de l’indécence.

Cet imposteur n’a jamais été professeur aux Etats-Unis

Avant le 14 janvier 2011, personne ne connaissait ce jeune « révolutionnaire » venu de nul part, qui s’est constitué un CV académique surdimensionné et un parcours politique irréprochable. Agé de 37 ans, il dit avoir été « professeur » à l‘Université Rutgers au New Jersey , après avoir soutenu son diplôme de fin d’étude aux Etats-Unis. C’est évidemment prestigieux, pas tant en raison de la cotation de cette université qui fait partie des quinze universités les moins cotées aux Etats-Unis et la moins sérieuse, mais parce que tout ce qui vient de l’Amérique du Nord, après la « révolution du jasmin », est digne d’intérêt et mérite, de facto, de faire partie de cette nouvelle élite politique tunisienne à la création de laquelle nos «libérateurs » américains ont très largement contribué. Certes, il a fait des études en histoire de l’art, mais d'abord à l'University of Pennsylvania, là où enseigne Jane Sharp, le philosophe de la "révolution sans violence" dont le livre a été la Bible des cyberdissidents arabes que les Américains ont formaté depuis 2004 pour provoquer le "printemps arabe". Tarek Kahlaoui est donc un cyber-collabos de la première génération. C'est par la suite qu'il a terminé ses études à Rutgers University avec une option en archéologie. Mais les profanes doivent savoir qu’aux Etats-Unis, les étudiants en fin d’étude peuvent assister leurs professeurs titulaires quelques heures par semaines, en échange d’une rétribution équivalente à une bourse. Tarek Kahlaoui n’a donc jamais été « Professeur » à Rutgers, mais étudiant-moniteur à l'University of Pennsylvania et ce, jusqu’à la soutenance de son diplôme de fin d'étude en 2009. Les étudiants tunisiens de famille modeste, ce qui est le cas de Tarek, n'ont pas eu la chance de faire leurs études aux Etats-Unis. La question est donc de savoir qui a payé les premières années d'étude de tarek Kahlaoui ? Freedom House, Open Society, ou tout simplement Ennahda ?   

Parcours d’un islamiste bien discret et au service du Qatar

Dès septembre 2008, Tarek Kahlaoui a été recruté par la chaine qatarie Al-Jazeera, comme beaucoup d’autres tunisiens sympathisants ou proches d’Ennahda. Tarek Kahlaoui n’a pas été un proche d’Ennahda mais un militant, section Taquiyya, c’est-à-dire ceux qui ne doivent pas se dévoiler pour ne pas avoir des problèmes en Tunisie. C’est son ami Rafik Abdessalem qui est intervenu en sa faveur dans ce recrutement, étant lui-même cadre supérieur de cette chaine inférieur ! Entre islamistes, la solidarité est infaillible. La seule expérience professionnelle de celui qui a été bombardé directeur de l’Institut des Etudes Stratégiques à Carthage, c’est à peine deux années passées au « Centre d’études stratégiques d’Al-Jazeera ». Pour preuve, le document ci-dessous, qui est un article publié dans « La face cachée des révolutions arabes » (éd. Ellipses, 2012), par Taoufik Bourgou (tunisien), maitre de conférence en Science Politique à l’Université de droit Lyon 3- Jean Moulin et Directeur du Centre d’Etudes de la Politique et des Institutions Américaines (CEPIA).
        
Un scribouillard inféodé à Sakher El-Materi

Parallèlement au boulot qu’il effectuait pour Al-Jazeera, Tarek Kahlaoui pensait à son avenir « politique » et « universitaire » en Tunisie. En janvier 2010, il a eu la « chance » de rencontrer celui qui devait hériter du trône tunisien, Sakher El-Materi. Le tunisien qui le lui a présenté, un certain J.L, dit que Tarek Kahlaoui avait fait ce jour là le siège de l’hôtel Ritz-Carlton, dans le quartier chic de West Bay Lagoon à Doha. Une trace écrite de cette rencontre existe dans le bureau des services de renseignement tunisien au sein de l’ambassade de Tunisie au Qatar. A cette époque, l’héritier du trône avait la cote chez les islamistes tunisiens, se présentant lui-même comme un islamiste light. C’est tout de suite après cette rencontre entre deux jeunes que tout rapproche, y compris la discrète barbichette, que Tarek Kahlaoui a commencé à écrire pour le quotidien Assabah, dont le propriétaire était Sakher El-Materi. Pour ne citer que cet exemple, il a publié dans ce quotidien un article intitulé « Les Arabes ont-ils besoin de Wikileaks ? », une critique contre Wikileaks qui venaient de publier des informations sur le régime tunisien et particulièrement sur Sakher El-Materi, qui ne sentaient pas le jasmin ! Son article est daté du 30 octobre 2010 (http://www.assabah.com.tn/pdf/1288385995_30102010-ASSABAH.pdf )
A titre anecdotique, il signait déjà Tarek Kahlaloui, Professeur d’Histoire du Moyen-Orient à l’Université Rutgers ! Et à titre historique, Tarek Kahlaoui avait demandé à Sakher El-Materi d’intercéder en sa faveur pour se faire embaucher par Mhammad Hassine Fantar, éminent archéologue et titulaire à l’époque de la « Chaire Ben Ali pour le dialogue des religions et des civilisations » ! Pour les curieux, la trace écrite du dossier  de candidature de Tarek Kahlaoui existe à l’Université de Tunis-Al-Manar, là où Fantar avait ses locaux.  

Un opportuniste recyclé chez Moncef Marzouki

Dès le 15 janvier 2011, comme beaucoup d’autres khoubsistes, Tarek Kahlaoui s’est mis à « militer » sur facebook. Il est vrai qu’en bon adepte de la Taquiyya, il était déjà présent dans les réseaux sociaux, mais il ne signait jamais de son vrai nom, préférant utiliser le pseudonyme de Tahar Laswad, même si les articles qu’il publiait n’étaient pas proprement dit politiques, encore moins critiques à l’égard de Ben Ali. Un mois après la chute du régime, il est devenu l’une des figures emblématiques de la « révolution du jasmin » et du « printemps arabe » en général, puisqu’il ne se contentait pas de stigmatiser l’ancienne élite politique et intellectuelle tunisienne, mais appelait violemment à la chute des régimes libyen, algérien, égyptiens, syriens et même marocain. Par tactique concertée avec Ennahda qui était de toute façon certaine de gagner, Tarek Kahlaoui s’est présenté aux élections du 23 octobre 2011 avec une liste indépendante pour attirer les jeunes pas très en phase avec l’islamisme. Il s’est présenté à Ben Arous en tant que tête de liste de la « Voix des Jeunes ». Essuyant un échec cuisant avec un score de 0,2%, soit 545 voix obtenues, il a immédiatement rejoint le CPR de Moncef Marzouki, l’allié historique d’Ennahda. C’est à partir de ce moment là que commence son ascension jusqu’à sa nomination, le 17 mai 2012, à la tête de l’Institut des Etudes Stratégiques, un poste directement rattaché à a présidence et qui nécessite des qualifications universitaires adéquates et au moins une dizaine de publications académiques. Selon des rumeurs que Tarek Kahlaoui laisse volontairement courir, c’est Ahmed Kahlaoui, un ancien syndicaliste de l’enseignement secondaire converti au baathisme, qui aurait convaincu son ami de longue date Moncef Marzouki d’aider ce jeune « haute compétence ». Et pour cause: Tarek Kahlaoui est le fils d'Ahmed Kahlaoui, ex-enseignant d'arabe dans un lycée de Radès, syndicaliste et baathiste, au parcours militant parfaitement honorable, y compris sous le régime de Ben Ali. 

Des personnalités académiques s’étaient élevées contre cette nomination

La polémique a commencé dans Business News du 22 juillet 2012, avec une pétition signée par de respectables universitaires tunisiens exerçant en Tunisie à l’étranger et scandalisés de voir une telle incompétence à la tête de l’Institut des Etudes Stratégiques, ainsi d’ailleurs que son nouveau staff tout aussi médiocre que lui. Ils dénonçaient le copinage et le favoritisme partisan dont avait fait preuve Marzouki en nommant un membre du CPR à la tête de cette Institut. Plutôt que d’écouter ces universitaires aux motivations patriotiques et scientifiques, Moncef Marzouki a maintenu à son poste son jeune protégé au prix des intérêts supérieurs du pays. Mieux encore, l’incompétent en question s’est permis d’attaquer violemment nos confrères de Business News, sur sa page facebook et sur son blog, là où il publiait autrefois ses « études hautement universitaires ». Arrogance et insolence qui lui ont valu cette réplique de Business News : « Après la révolution, le militant directeur-secrétaire d’Etat s’est réinventé un CV et une biographie et réussit à leurrer son président et quelques militants sincères du CPR. Mais ce type de tromperies ne marche pas avec les universitaires chevronnés qui n’ont demandé qu’une chose à voir : ses publications scientifiques en rapport avec ses activités actuelles. Point. Ils ont attiré notre attention, nous avons vérifié, constaté et publié. Si lui est déconnecté du milieu scientifique et universitaire, c’est son affaire, mais c’est notre rôle de relayer ce type de polémiques qui sont loins d’être stériles vu l‘Institut qu’elles touchent ».

Un nain qui s’en prend à un géant !

Nain et géant, d’abord du point de vue de l’âge : 37 ans pour le premier et 86 ans pour le second. Du point de vue des études universitaires et de l’expérience politique aussi. Du point de vue des publications : le premier a scribouillé quelques articles sur facebook et le second est l’auteur d’un livre. Toutes ces différences n’ont pas amené Tarek Kahlaoui à faire preuve d’humilité et d’objectivité historique dans sa charge contre Béji lors d’un meeting organisé à Tataouine, le 5 janvier dernier (voir vidéo). Se faisant passer pour un youssefiste –le youssefisme étant à la mode ces derniers mois- il a accusé Béji d’avoir été le chef des tortionnaires entre 1955 et 1956, ainsi qu’en 1963 contre les comploteurs à la solde de Lazhar Chraïti. C’est-à-dire les traitres qui voulaient renverser Bourguiba, le seul véritable géant que la Tunisie a produit. Cet ignorant de l’histoire exhibait comme preuve une publication de Abdeljelil Témimi datant de 2004 et reproduisant le témoignage de Béji. Il a aussi déversé sa haine contre Bourguiba en jetant un discrédit sur les acquis de l’indépendance interne négociée avec Mendès France et considérée par cet ignorant comme un acte de trahison…

C’était le portrait incomplet d’un « professeur » et futur ministre, charrié par la boue du « printemps arabe ». Nous mettons au défi Tarek Kahlaoui de mettre en doute la moindre information dans ce portrait. Outre les raisons subjectives que nous vous avons sincèrement indiqués, dans Tunisie-Secret, nous traquons les islamo-impérialistes, les cyber-collabos, les mercenaires du Qatar et les révolutionnaires de la 25eme heure. Quant à la crise entre youssefistes et bourguibistes, nous y reviendrons avec un dossier et des documents inédits qui prouvent la justesse de Bourguiba,considéré aujourd’hui comme un monstre, et les égarements de Salah Ben Youssef, élevé au rang d’un saint.
www.tunisie-secret.com
Karim Zmerli et Lilia Ben Rejeb             

Exclusif : Tarak , le deuxième Kahlaoui qui a piégé Moncef Marzouki


 
 


           

Du plus récent au plus ancien | Du plus ancien au plus récent

29.Posté par Louis Sisnoo le 30/09/2014 18:06
Fautes d'orthographe et maladresses stylistiques sur le site de l'Institut tunisien d'études stratégiques.
Ça devrait vous intéresser!
https://www.facebook.com/photo.php?fbid=10204977436905178&set=o.190810014344881&type=1

Bien à vous,

LS

28.Posté par walid le 21/09/2013 11:26
quel voyou...ce Kahlaoui

27.Posté par letaief hayet le 03/05/2013 17:36
j'ajouterai que je suis scandalisée,après avoir vu le show d'un boussa3dia,scandalisée que le président marzouki ne l'ait pas démis du poste honorable qu'il occupe et qu'il salit par son incompétence comme orateur,comme politicien ;comment un président digne de ce nom peut-il nommer à un poste si important un minable pareil ? je pleure mon pays !comment avons-nous pu croire en cette révolution,comment avons-nous-naivement- applaudi à l'installation au pouvoir de cette bande de minables menée par le bout du nez par une autre bande de terroristes ?

26.Posté par wajih le 02/05/2013 19:32
أين المشكل مقال عادي لكن ليعلم النجمع أنه لن يعود مهما شوه المناضلين واعلم سيد طارق الكحلاوي أنهم اذا هاجموك بشدة أنك هددتهم فابتدأوا بالهلوسة والتشويه لكن هيهات لن تمروا

25.Posté par Ali ALGERIE le 30/03/2013 19:21
Marzouhui, un président qui a vécu 20 ans en France! les Libyens ont eu plusieurs étrangers au pouvoir, les Mahmoud Jibril ; les Egyptiens leur Al Baradei ; les Syriens leurs opposants de l'étranger en attente de voler le pouvoir comme les Marzougui et Morsi l'ont volé au peuple et à des présidents démocratiquement élus qui auraient pu partir dans la dignité et le respect des institutions, aussi contestés fussent-ils. Les printemps arabes sont des révolution au profit des opposants de l'étranger! j'aime votre expression "boue du printemps arabe"

24.Posté par 3abroud le 24/02/2013 13:25
* Ce mec n'aurait pas été à son poste s'il avait présenté son vrai cv et si la Présidence aurait été bien informé sur son cas !
* Prendre "Tahar Lassoued" comme pseudonyme n'est pas très civique. C'et un combattant célèbre de la région de El Hamma ;
* En écoutant l'émission "Essaraha raha" du 23/02/2013 au soir, sur la chaîne tunisienne Hannibal, j'écoute, avec beaucoup de surprise, que le syndicaliste Ahmed Kahlaoui (A.K) envoyait (à Ahmed Jebril ?) des jeunes tunisiens pour combattre avec les palestiniens, contre 3000 dollars. Alors qu’il (A.K) encourageait son fils à aller étudier aux Etats-Unis.

23.Posté par khlifi le 07/02/2013 13:19
Après ces précisions, la Présidence devrait remettre de l'ordre à l'Institut des études stratégiques qui aura à effectuer de nombreuses études prospectives importantes notamment en matière de terrorisme et de ressources en eaux et en énergie et de production agricole et industrielle.

22.Posté par Rachid Barnat le 02/02/2013 16:34
PORTRAIT D'UN OPPORTUNISTE, le nain qui a osé s’en prendre à un géant (BCS) et à une grande dame (Maya Jribi) !
Marzouki naïf ou complice dans le recrutement des crypto islamistes ?

21.Posté par DR JAGHMOUN PARIS le 01/02/2013 17:24
COMME SON MAITRE MARZOUKI AVEC AUCUN DOSSIER DE DEFENSE DES DROITS DE
L'HOMME, UN ERRANT A PARIS IL N'A JAMAIS ACTIVE LE CPR SAUF QUELQUES RV.
AVEC LES NAHDAOUIS QUIL'ONT ENCERCLE /DAIMI BEN HMIDENE....IL N'A JAMAIS FAIT
APPEL AUX INTELLECTUELS TUNISIENS DE LA REGION PARISIENNE ET IL N'ECRIT
JAMAIS SUR LE SITE CPR C'EST MOI ET D' AUTRES TUNISIENS QUI ECRIVENT.
IL A VISITE ABBOU EN PRISON ET QUELQUES PASSAGES A ALJAZIRAA ACHETES PAR ENNAHDA, MARZOUKI N'EST PAS UN RASSEMBLEUR LUI MEME LE DIT NOUS ETIONS 4
PERSONNES CAR IL N'A PAS DE COMMUNICATION SOLITAIRE ETVEUT SEUL SE MONTRER ET PRETEND ETRE LE PLUS MILITANT ET LE PLUS VALABLE.
RESULTAT PROPULSE PAR ENNAHDA AAU POSTE DE PRESIDENT IL S'ENTOURE DE
JEUNOTS INCOMPETENT LE CPR COULE ET IL AFFROTE LA DIFFICULTE CEUIILE LE VIDE
ET EN DIFFEREND AVEC ENNAHDA ENCERCLE DE PARTOUT.

20.Posté par Lefauve le 01/02/2013 10:52
Si ce Tarek Kahlaoui comprenait qlq ch en stratégie, il aurait compris que, maintenant, BCS se démène, avec tt le poids de ses 86 ans, pour éviter une guerre civile au pays !

19.Posté par bachir le 01/02/2013 10:14
quand j'ai vu ce type a la tele j'ai eu envie de vomir, ce minable imbu de sa personne est degoutant

18.Posté par Jalel le 31/01/2013 09:59
Ce KAHLAOUI laisse transparaitre à travers ses passages à la télé une rancoeur et une formidable haine pour tous les partis de l'opposition , ce qui est la marque de fabrique des connards intégristes , des gueux méprisables aveuglés par leur enfermement dogmatique . Ce n'est pas avec des minables de ce type qu'on construit la Tunisie politique

17.Posté par nizar le 17/01/2013 02:04
c'est pas vraie ces sont des mensonges tarek est le fils de ahmed kahlaoui le célebre militant nationaliste arabe

16.Posté par Slim El BAHRI le 15/01/2013 13:49
Tout d'abord, je remercie vivement, les auteurs de cette enquête, si bien décrite, car et après avoir visionné ce charlatan dans les medias, mon ecoeurement fut tel, que je n'ai pu m’empêcher, de chercher à savoir d'ou sort, cet énergumène, hautin et indescent, dont l'attitude comportementale, m'avait littéralement choqué, j'avoue n'avoir rien trouvé, ce qui m'a d'avantage frustré.
Je suis donc fier, de mes concitoyens, car cet article m'a apaisé.
Cordialement & chapeau bas.

15.Posté par kais le 15/01/2013 13:41
خود العلم من رؤوس الغكارن.........با و الله وقت عشنا حتى رينا البعابص تولى رؤوس.....

14.Posté par kais le 15/01/2013 13:30
ç un minable habité par la folie des grandeurs aurait dit ma grand-mere , si elle était encore de ce monde......ç un " cas social total " comme le décriraient les psychiatres.......ç un vulgaire opportuniste arriviste comme l'aurait dépeint ma future belle mère (que je ne connais pas encore ).........

13.Posté par Asma Souissi le 13/01/2013 08:32
D'abord merci à Karim Zmerli et Lilia Ben Rejeb pour cet article et merci à Tunisie-secret pour l'identification.

Trop d'enchevêtrements dans ce qui s'est passé sur la scène politique tunisienne d'avant et d'après le 14 janvier, tout comme de l'avant et de l'après ZABA ou encore de l'avant et de l'après indépendance. Le vrai du faux ne sera connu dans son intégralité, que quand les historiens ouvriront ce qui reste des archives tunisiennes. Archives dont l'essentiel était détruit au cours de la première phase de transition, dont la reconstitution requiert le témoignage d'acteurs au dessus de tout soupçon. Ce qui est loin d'être acquis tant les témoignages divergent. Au vu de ce qui nous est révélé de jour en jour, il s'avère que la Tunisie n'a toujours pas de dirigeants la plaçant au dessus de toute considération. Ceux qui se sont appropriés la scène après la chute de ZABA, ont démontré par leurs agissements qu'ils courent tous pour l'ennemi de la liberté et de la dignité du Tunisien, prêts à vendre la souveraineté du pays pour se faire gloire. Quand on apprend que notre sud était mis à disposition des envahisseurs pour acheminer les moyens logistiques et démolir la Libye, tuant des dizaines de milliers d'innocents, et exposant notre pays aux pires fléaux après le transit des armes et de la drogue, nous ne pouvons qu'espérer déloger tous les traîtres, qui ont contribué d'une manière ou d'une autre à empirer la situation tunisienne, au point que tous nos indicateurs ont basculé dans le rouge, avec risque imminent que le pays sombre dans le bain de sang de la guerre civile. Si les dirigeants de la transition avaient dès le lendemain de la chute de ZABA suivi le postulat "LA TUNISIE D'ABORD", jamais personne ne se serait vanté d'être plus patriote que l'autre. Le patriotisme ne se décrète pas à coup de déclarations mais à coup de gestes désintéressés par lesquels le Tunisien démontre de tout son sens de sacrifice pour ne jamais trahir son pays ou le soumettre au marchandage via la logique d'espérance mathématique de GAIN PERSONNEL. Or, le malheur tunisien réside justement dans le fait que majorité comme opposition, politique comme société civile, n'ont retenu que le crédo de l'égocentrisme et de la course vers les sièges et la gloire personnelle, dans l'espoir de se rendre héros au détriment d'un peuple qui périt sous le poids de l'injustice et de la précarité. Peuple que les ennemis de la liberté tant tunisiens qu'étrangers cherchent à faire taire la voix pour l'écarter de la scène et se donner les moyens d'achever ce qu'ils n'ont pas achevé dans la Tunisie. Et pour ça, tous les partis se valent, tous les partis disposent de chiens qu'ils lâchent notamment sur les réseaux sociaux via du lynchage gratuit des patriotes. Tous les partis sans exception, recourent à de telles méthodes pour discréditer la voix patriote dans l'espoir de l'éloigner à jamais de la scène. Tous journaliste se disant placer le pays au dessus de tout sens partisan, devrait suivre de près la manière dont fonctionne les indicateurs des partis, sur les réseaux sociaux, y compris ceux du parti de BCS, pour se livrer à un vrai harcèlement pour s'acharner à faire taire la vérité que des Tunisiens veulent dévoiler loin de toute appartenance politique, mais par seul souci de sauver la Tunisie des mains des ennemis de la liberté, qui s'étalent de tous les côtés, pour réduire le pays en poudrière écologique et en masse d'individus réduits à la servitude.

12.Posté par toumata merich le 12/01/2013 14:57
Le commentaire 3 n'aurait pas dû être publié en raison du vocabulaire vulgaire dans lequel s'est exprimé son auteur. Oui pour tout type de commentaire mais la rédaction devrait se faire dans des termes respectant les lecteurs. La même opinion aurait pu être rédigée en termes virulents s'il le fallait mais pas ceux utilisés. Ce commentaire aurait-il échappé au modérateur?

11.Posté par gueblaouiM le 12/01/2013 08:54
A ben Salah el Aid , la lecture de ton commentaire montre quel triste personnage tu es , sùr que tu appartiens à Nidaa Touness , alors les gens peuvent deviner le reste..

10.Posté par toumata merich le 11/01/2013 12:50
Je me doutais un peu que toute la suffisance, l'arrogance, le "sais-tu qui je suis!"... dont faisait montre T. Kahlaoui sur les plateaux était signe d'un malaise (faire constamment des efforts pour "paraître") son comportement n'était pas naturel et sûrement pas celui d'un vrai universitaire, d'un vrai intellectuel, d'un vrai homme de culture. Ceux-là, les vrais, sont pour leur grande majorité (et j'en connais beaucoup) HUMBLES, MODESTES, CORRECTS peu enclins à l'invective et refusant de faire étalage de leurs compétences notamment sur les plateaux de TV car ils savent que les téléspectateurs sont capables de séparer le grain de l'ivraie.

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