Sofiène Bousellimi, tué par la racaille de Kasserine


22 Janvier 2016

Ce policier avait à peine 25 ans et il appartenait à une famille très pauvre. Il a été achevé à coups de pierres par des criminels que certains médias et politiciens osent encore appeler de « jeunes révolutionnaires victimes d’injustice » !


Sofiène Bousellimi, le 136ème martyrs depuis la "révolution" des traîtres et des pouilleux.
Le mercredi 20 janvier, accomplissant son devoir de policier, de citoyen et de patriote face à la horde de Feriana dans le gouvernorat de Kasserine, il a trouvé la mort alors qu’il n‘avait que 25 ans. Son véhicule s’est renversé, mais ce n’est pas cela qui l’avait tué. Il a été lynché à coups de pierres par des  criminels et des sauvages à qui la Constitution islamo-américaine permet de manifester.

Sofiène Bousellimi est, depuis trois ans, le 102 ème  vrai martyr tombé en défendant son pays, le 136ème si l’on compte tous les agents de police et les soldats tués depuis le début de la « révolution » des minables, des incultes, des mercenaires et des traitres, qui a commencé avec un ramassis de pouilleux à Sidi Bouzid et s’est terminée avec les canailles de la bourgeoisie tunisoise.

Comme nous l’avons affirmé dès hier, Moncef Marzouki et Hamma Hammami sont les principaux ordonnateurs de cette tentative de déstabilisation du pays. Cela n’a pas plu à certains de nos lecteurs mais nous n’avons plus à le démontrer : aussi bien le mercenaire No1 du Qatar que le pseudo-gauchiste ont parlé hier soir, sur des chaines de télévisions arabes, pour confirmer ce que nous avons dit.

Quant à Imed Dghij, le caïd de la racaille du Kram, après avoir appelé au soulèvement général, il s’est rétracté hier en publiant à la hâte une seconde vidéo dans laquelle il appelait les « révolutionnaires » à suspendre leurs manifestations en attendant « d’organiser les cellules révolutionnaires » !

Sami Tahri, le secrétaire général adjoint de l'Union générale tunisienne du travail (UGTT), a choisi un autre subterfuge pour dégager son ami Hamma Hammami de toutes responsabilités. Vendredi, il a déclaré à l’Agence TAP détenir « des informations sûres » selon lesquelles « de l'argent est distribué à des jeunes à Kasserine, Thala et Haidra, pour les pousser à perpétrer des actes de vandalisme ». Prenant les Tunisiens pour ce qu’ils sont, il a jeté la responsabilité sur des « groupes terroristes et des salafistes » qui auraient obligés « les manifestants pacifiques » à saccager et à piller !

Que des terroristes et même des Daechiens aient profité de la situation pour s’infiltrer dans les rangs des manifestants, cela ne fait aucun doute. Il n’en demeure pas moins vrai que la plupart de ces manifestants sont eux-mêmes des violents, des hors la loi, des incendiaires et des voleurs que Moncef Marzouki et Hamma Hammami utilisent pour déstabiliser le pays et prendre le pouvoir. Ces criminels, comme les terroristes, sont d'ailleurs redevables à Moncef Marzouki qui les a libéré de prison par respect des droits-de-l'homme.

En cela, Moez Joudi a parfaitement raison d’écrire sur sa page facebook que « Ceux qui pillent et cassent les magasins, les agences bancaires et les postes de souveraineté nationales sont des sous-hommes, des criminels, des traîtres et des minables qu'il faut arrêter et foutre en taule!! Ce ne sont ni des "révolutionnaires" ni des jeunes désœuvrés, ce sont des rats de prison et ils doivent demeurer en prison! La police et les forces armées doivent sévir! »

Nous ajouterons, pas seulement contre cette racaille, mais aussi contre les lâches et les traîtres parmi les chefs de partis, les membres de l’Assemblée dite nationale et certains syndicalistes, qui exploitent la misère sociale pour détruire ce qui reste de la Tunisie.
 
Lilia Ben Rejeb