Sihem Ben Sedrine, l'épicière des droits de l'homme pour laquelle les archives de la présidence de la République sont un trésor juteux, n'ayant pas de valeur historique mais purement marchande !
Vers 11h30 de ce matin, Sihem Ben Sedrine s’est déplacée au palais de Carthage avec six camions pour saisir les archives présidentielles et les transférer vers un lieu inconnu. Pas vraiment surpris par cette tentative de faire main basse sur ces archives, les agents de la sécurité présidentielle lui ont interdit l’accès à l’intérieur du palais de Carthage. Elle a usé de tous les subterfuges et chantages pour commettre son forfait, mais face à la détermination des agents de la sécurité présidentielle, elle a rebroussé chemin aux alentours de 14h30.
Selon Hichem Gharbi, secrétaire général du syndicat de la sécurité présidentielle, qui s’est exprimé sur une radio locale, « Sihem Ben Sedrine a demandé l'accès aux archives pour les déplacer mais a été empêchée par la sécurité du palais » parce qu’elle n’avait aucune autorisation officielle ou document émanant des autorités concernées pour procéder à la saisie des archives de la présidence de la République.
Devant ce refus, Sihem Ben Sedrine, qui dit agir au nom de l'IVD à la présidence de laquelle Rached Ghannouchi l'a imposé, a menacé les agents de la sécurité présidentielle de six mois de prison, selon sa propre lecture de l’article 66 de la « Justice transitionnelle ». Hichem Gharbi a même déclaré que cette mercenaire des droits de l’homme aux pratiques mafieuses, les a accusés de vouloir « commettre un coup d’Etat » !
Nos propres sources au sein de la sécurité présidentielle nous ont donné un peu plus de détails sur cette tentative de hold-up d’une mafieuse. Il s’avère qu’en parfaite entente entre Sihem Ben Sedrine et Moncef Marzouki, cette opération de grand banditisme devait intervenir dès lundi dernier, 22 décembre 2014. Elle n’a pu avoir lieu qu’en raison de l’opposition d’un certain nombre d’agents de la sécurité présidentielle, clairement signifiée à Adnène Mansar. Manœuvrant par personnes interposées, Moncef Marzouki agissait effectivement en sous-main, directement avec Sihem Ben Sedrine.
Toujours selon notre informateur, c’est hier soir que Moncef Marzouki lui a donné son feu vert, ni par écrit, ni même par téléphone mais par le biais de l’un de ses conseillers dont nous n’avons pas pu obtenir le nom et qui aurait rencontré Sihem Ben Sedrine le jeudi 25 décembre dans un hôtel à Gammarth. Ce passage à l’acte a été décidé eu égard à la passation de pouvoir qui devrait avoir lieu mardi prochain.
Sihem Ben Sedrine, dont on connaît l’aversion à l’égard du nouveau président démocratiquement élu, tenait beaucoup à ces archives autant que son complice Moncef Marzouki, le mercenaire No 1 du Qatar. Encore faut-il préciser que les archives en question concernent la période de 1957 à 2011, et non pas ce qui reste des archives couvrant la période 2011-2014, dont l’essentiel a déjà disparu. Et pour cause ! Les dossiers relatifs aux relations entre la présidence et le Qatar, entre la Tunisie et les Etats-Unis, entre la présidence et certaines ONG occidentales, les dossiers qui concernent l’affaire Baghdadi Mahmoudi, Chokri Belaïd, Mohamed Brahmi, les terroristes expédiés en Syrie, les biens saisies des familles Ben Ali et Trabelsi, le financement de certaines associations tunisiennes …sont explosifs comparés aux documents qui ont été publiés par Anonymous et qui n’ont jamais été piratés par cette organisation mais fuités de la présidence. Moncef Marzouki disposait de deux caisses noires, dont une qui était réservées aux financements des associations et dont le budget s’élevait à 2 millions de dinars (1 million d’euros).
Il faut également préciser que les archives de la présidence de la République de 1957 à 2011 ont déjà été l’objet de pillages, de fuites et même de marchandage. Nous avons déjà révélé comment ces archives ont été ouvertes à des journalistes d’Al-Jazeera, et à combien de millions de dollars ont été négocié certains documents qui relevaient du Secret défense.
Un ancien proche collaborateur de Moncef Marzouki, qui a été l’un des premiers à comprendre que son patron n’est qu’un vulgaire mercenaire du Qatar, a récemment confié à un haut responsable de Nidaa Tounes que le président usurpateur « passait le plus gros de ses journées et même de ses soirées à fouiller dans les archives du palais », en ajoutant que ces quatre dernières semaines « les photocopieuses tournaient à plein régime ».
C’est pour dire qu’il ne reste pas grand-chose des archives sur lesquelles Sihem Ben Sedrine a voulu faire main basse aujourd’hui. Une partie a déjà servie à la rédaction du fameux « Livre noir », une autre a été vendu au Qatar, sans parler des documents compromettant tel ou tel homme d’affaire ou anciens ministres de Ben Ali, qui ont été, dès 2012, négociés à prix d’or notamment par Imed Daïmi, Khaled Ben Mbarek, Samir Ben Amor et la blanche neige des droits de l’homme, Sihem Ben Sedrine.
Celle-ci a été d’ailleurs la première à se servir dans les archives du ministère de l’Intérieur, en février 2011. Son ami intime, Farhat Rajhi, alors ministre de l’Intérieur, lui avait donné carte blanche pour faire disparaître les documents qui la compromettaient et photocopier d’autres qui concernaient ses amis droit-de-l’hommistes ainsi qu’un certain nombre d’hommes d’affaires, de ministres et de journalistes. C’est Béji Caïd Essebsi, nouvellement désigné chef de gouvernement, qui avait mis fin à cette mascarade et atteinte à la sûreté du pays.
Avec cette tentative désespérée de s’approprier les archives de la présidence de la République, celle qui préside encore l’instance « Vérité et Dignité » a une fois de plus démontrée son mépris des lois et ses agissements mafieux. Mafieux, car, pour Sihem Ben Sedrine, la valeurs des archives n'est pas historique mais marchande! Sur quinze membres, trois ont déjà démissionné de cette instance, notamment l’authentique journaliste et militante Noura Borsali, et Khemaïs Chammari, qui s’est retiré le jour même où Sihem Ben Sedrine a été désignée présidente de l’IVD.
Crée dans l’hystérie pseudo-révolutionnaire, l’instance « Vérité et Dignité » pourrait être dissoute dans la sérénité démocratique. C’est ce que certains de l’ancien régime et du nouveau pouvoir souhaiteraient faire. Mais pour nous, cette Instance doit se maintenir pour faire toute la lumière, non seulement sur la présidence de Bourguiba (1957-1987) et de Ben Ali (1987-2011), mais aussi sur le régime postrévolutionnaire (2011-2014). Plus exactement sur les Hautes trahisons, les malversations, les corruptions et les compromissions avec les terroristes, commises entre janvier 2011 et décembre 2014.
Pour accomplir cette mission politique et éthique délicate, il est évident que Sihem Ben Sedrine, qui a escroqué avec son mari les journalistes qui travaillaient pour sa radio Kalima, doit-être « dégagée » au plus vite, puisqu’elle ne peut pas être à la fois juge et partie, étant elle-même coupable de faits très graves avant, pendant et après la pseudo-révolution.
Karim Zmerli
A lire aussi dans nos archives :
http://www.tunisie-secret.com/Sihem-Ben-Sedrine-l-epiciere-des-droits-de-l-homme-attaquee-en-justice_a916.html
Selon Hichem Gharbi, secrétaire général du syndicat de la sécurité présidentielle, qui s’est exprimé sur une radio locale, « Sihem Ben Sedrine a demandé l'accès aux archives pour les déplacer mais a été empêchée par la sécurité du palais » parce qu’elle n’avait aucune autorisation officielle ou document émanant des autorités concernées pour procéder à la saisie des archives de la présidence de la République.
Devant ce refus, Sihem Ben Sedrine, qui dit agir au nom de l'IVD à la présidence de laquelle Rached Ghannouchi l'a imposé, a menacé les agents de la sécurité présidentielle de six mois de prison, selon sa propre lecture de l’article 66 de la « Justice transitionnelle ». Hichem Gharbi a même déclaré que cette mercenaire des droits de l’homme aux pratiques mafieuses, les a accusés de vouloir « commettre un coup d’Etat » !
Nos propres sources au sein de la sécurité présidentielle nous ont donné un peu plus de détails sur cette tentative de hold-up d’une mafieuse. Il s’avère qu’en parfaite entente entre Sihem Ben Sedrine et Moncef Marzouki, cette opération de grand banditisme devait intervenir dès lundi dernier, 22 décembre 2014. Elle n’a pu avoir lieu qu’en raison de l’opposition d’un certain nombre d’agents de la sécurité présidentielle, clairement signifiée à Adnène Mansar. Manœuvrant par personnes interposées, Moncef Marzouki agissait effectivement en sous-main, directement avec Sihem Ben Sedrine.
Toujours selon notre informateur, c’est hier soir que Moncef Marzouki lui a donné son feu vert, ni par écrit, ni même par téléphone mais par le biais de l’un de ses conseillers dont nous n’avons pas pu obtenir le nom et qui aurait rencontré Sihem Ben Sedrine le jeudi 25 décembre dans un hôtel à Gammarth. Ce passage à l’acte a été décidé eu égard à la passation de pouvoir qui devrait avoir lieu mardi prochain.
Sihem Ben Sedrine, dont on connaît l’aversion à l’égard du nouveau président démocratiquement élu, tenait beaucoup à ces archives autant que son complice Moncef Marzouki, le mercenaire No 1 du Qatar. Encore faut-il préciser que les archives en question concernent la période de 1957 à 2011, et non pas ce qui reste des archives couvrant la période 2011-2014, dont l’essentiel a déjà disparu. Et pour cause ! Les dossiers relatifs aux relations entre la présidence et le Qatar, entre la Tunisie et les Etats-Unis, entre la présidence et certaines ONG occidentales, les dossiers qui concernent l’affaire Baghdadi Mahmoudi, Chokri Belaïd, Mohamed Brahmi, les terroristes expédiés en Syrie, les biens saisies des familles Ben Ali et Trabelsi, le financement de certaines associations tunisiennes …sont explosifs comparés aux documents qui ont été publiés par Anonymous et qui n’ont jamais été piratés par cette organisation mais fuités de la présidence. Moncef Marzouki disposait de deux caisses noires, dont une qui était réservées aux financements des associations et dont le budget s’élevait à 2 millions de dinars (1 million d’euros).
Il faut également préciser que les archives de la présidence de la République de 1957 à 2011 ont déjà été l’objet de pillages, de fuites et même de marchandage. Nous avons déjà révélé comment ces archives ont été ouvertes à des journalistes d’Al-Jazeera, et à combien de millions de dollars ont été négocié certains documents qui relevaient du Secret défense.
Un ancien proche collaborateur de Moncef Marzouki, qui a été l’un des premiers à comprendre que son patron n’est qu’un vulgaire mercenaire du Qatar, a récemment confié à un haut responsable de Nidaa Tounes que le président usurpateur « passait le plus gros de ses journées et même de ses soirées à fouiller dans les archives du palais », en ajoutant que ces quatre dernières semaines « les photocopieuses tournaient à plein régime ».
C’est pour dire qu’il ne reste pas grand-chose des archives sur lesquelles Sihem Ben Sedrine a voulu faire main basse aujourd’hui. Une partie a déjà servie à la rédaction du fameux « Livre noir », une autre a été vendu au Qatar, sans parler des documents compromettant tel ou tel homme d’affaire ou anciens ministres de Ben Ali, qui ont été, dès 2012, négociés à prix d’or notamment par Imed Daïmi, Khaled Ben Mbarek, Samir Ben Amor et la blanche neige des droits de l’homme, Sihem Ben Sedrine.
Celle-ci a été d’ailleurs la première à se servir dans les archives du ministère de l’Intérieur, en février 2011. Son ami intime, Farhat Rajhi, alors ministre de l’Intérieur, lui avait donné carte blanche pour faire disparaître les documents qui la compromettaient et photocopier d’autres qui concernaient ses amis droit-de-l’hommistes ainsi qu’un certain nombre d’hommes d’affaires, de ministres et de journalistes. C’est Béji Caïd Essebsi, nouvellement désigné chef de gouvernement, qui avait mis fin à cette mascarade et atteinte à la sûreté du pays.
Avec cette tentative désespérée de s’approprier les archives de la présidence de la République, celle qui préside encore l’instance « Vérité et Dignité » a une fois de plus démontrée son mépris des lois et ses agissements mafieux. Mafieux, car, pour Sihem Ben Sedrine, la valeurs des archives n'est pas historique mais marchande! Sur quinze membres, trois ont déjà démissionné de cette instance, notamment l’authentique journaliste et militante Noura Borsali, et Khemaïs Chammari, qui s’est retiré le jour même où Sihem Ben Sedrine a été désignée présidente de l’IVD.
Crée dans l’hystérie pseudo-révolutionnaire, l’instance « Vérité et Dignité » pourrait être dissoute dans la sérénité démocratique. C’est ce que certains de l’ancien régime et du nouveau pouvoir souhaiteraient faire. Mais pour nous, cette Instance doit se maintenir pour faire toute la lumière, non seulement sur la présidence de Bourguiba (1957-1987) et de Ben Ali (1987-2011), mais aussi sur le régime postrévolutionnaire (2011-2014). Plus exactement sur les Hautes trahisons, les malversations, les corruptions et les compromissions avec les terroristes, commises entre janvier 2011 et décembre 2014.
Pour accomplir cette mission politique et éthique délicate, il est évident que Sihem Ben Sedrine, qui a escroqué avec son mari les journalistes qui travaillaient pour sa radio Kalima, doit-être « dégagée » au plus vite, puisqu’elle ne peut pas être à la fois juge et partie, étant elle-même coupable de faits très graves avant, pendant et après la pseudo-révolution.
Karim Zmerli
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http://www.tunisie-secret.com/Sihem-Ben-Sedrine-l-epiciere-des-droits-de-l-homme-attaquee-en-justice_a916.html
Sihem Ben Sedrine et son époux Omar Mestiri, le couple qui a escroqué les journalistes de la vraie-fausse radio Kalima.