Photo de la famille élargie. Elle date de mars 2015.
Décidemment, de la Tunisie, cheikha Madeleine ne peut plus s’en passer. Bientôt, le nombre de ses incursions en Tunisie dépassera celui de ses excursions en Israël ! Selon un communiqué de l’Agence TAP, Albright a déclaré que sa « visite en Tunisie à la tête d’un groupe de travail visait à s’enquérir de près de l’expérience tunisienne, et de présenter des suggestions à même de relancer la coopération bilatérale tuniso-américaine ».
En matière de coopération bilatérale, cheikha Madeleine s’y connaît très bien ! Dans notre article du 7 mars 2015 (voir lien ci-dessous), nous avons révélé le cachet de 75 000 dollars que Mamy Madeleine a empoché pour participer à la Conférence sur l'Investissement et l'Entreprenariat, qui a été organisé à Tunis le 5 mars 2015. Cette foi-ci, elle n’est pas arrivée à Tunis pour seulement voir où en étaient ses affaires intérieures (la femme politique-entrepreneuse pèserait près de 245 millions de dollars), mais aussi pour autre chose ! D’où la fausse note ou déclaration préméditée de la mission diplomatique américaine à Tunis, qui a fait savoir qu’elle n’avait rien à voir avec cette visite non-officielle.
C’est de la Libye dont il a été principalement question avec ses deux partenaires, Rached Ghannouchi et Béji Caïd Essebsi. Les autres rencontres publiques avec Wided Bouchamaoui et Habib Essid, ou confidentielle avec Houcine Abassi, n’étaient que de la poudre aux yeux socio-économiques.
Cheikha Madeleine est venue dire à ses suzerains locaux ce que l’Amérique attend d’eux car, comme le stipule la devise de la National Endowment for Democracy, que préside Madeleine Korbelova Albright, « Ce qui est bon pour l’Amérique, est bon pour le monde ». L’Oncle Sam attend du cousin Rached qu’il prenne bien soin des daéchiens qui vont se déplacer de la Libye vers la Tunisie, comme ils ont fui la Syrie. C’est que l’Amérique a encore besoin de son armée parallèle, notamment pour son futur plan en Algérie et pour son futur coup en Egypte.
L’expédition militaire que va subir la Libye dans les prochains jours sera ainsi de type dissuasif et non pas destructif. Comme au bon vieux temps de l’esclavagisme aux Etats-Unis, un esclave, on le corrige sans le tuer car il vaut de l’argent. Les Américains et leurs alliés y vont pour sécuriser les puits de pétrole et persuader les daéchiens de rallier les troupes d’Abdelhaki Belhadj. C’est sur cet ancien d’Al-Qaïda que les Américains comptent pour stabiliser la Libye. Or, Abdelhaki Belhadj est le frère en secte de Rached Ghannouchi, et tous les deux sont aux ordres du Qatar et de la Turquie. Telle est donc la véritable raison de la visite de cheikha Madeleine en Tunisie.
On rappellera que l’Institut National Démocratique pour les Affaires Internationales National Democratic Institute for International Affairs-NDI, que préside cheikha Madeleine, est l’un des quatre instituts satellites de l’agence National Endowment for Democracy. Officiellement créé le 6 novembre 1982 sous Ronald Reagan, cette agence est le fer de lance de la CIA dans le monde. Le 20 janvier 2004, à l’occasion de son troisième discours sur l’état de l’Union, George W. Bush avait annoncé qu’il doublerait le budget de la National Endowment for Democracy (NED) et concentrerait « ses nouveaux travaux sur la promotion d’élections libres, du libre-échange, de la liberté de la presse et de la liberté syndicale au Proche-Orient et au Maghreb ».
Nous savons depuis que la NED, comme l’USAID, Freedom House et l’Open Society, a joué un rôle clef dans le formatage et l’endoctrinement des cybers-collabos tunisiens et arabes en général.
Nebil Ben Yahmed
A consulter dans nos archives :
http://www.tunisie-secret.com/Madeleine-Albright-a-encaisse-75000-dollars-pour-se-deplacer-a-Tunis_a1357.html
En matière de coopération bilatérale, cheikha Madeleine s’y connaît très bien ! Dans notre article du 7 mars 2015 (voir lien ci-dessous), nous avons révélé le cachet de 75 000 dollars que Mamy Madeleine a empoché pour participer à la Conférence sur l'Investissement et l'Entreprenariat, qui a été organisé à Tunis le 5 mars 2015. Cette foi-ci, elle n’est pas arrivée à Tunis pour seulement voir où en étaient ses affaires intérieures (la femme politique-entrepreneuse pèserait près de 245 millions de dollars), mais aussi pour autre chose ! D’où la fausse note ou déclaration préméditée de la mission diplomatique américaine à Tunis, qui a fait savoir qu’elle n’avait rien à voir avec cette visite non-officielle.
C’est de la Libye dont il a été principalement question avec ses deux partenaires, Rached Ghannouchi et Béji Caïd Essebsi. Les autres rencontres publiques avec Wided Bouchamaoui et Habib Essid, ou confidentielle avec Houcine Abassi, n’étaient que de la poudre aux yeux socio-économiques.
Cheikha Madeleine est venue dire à ses suzerains locaux ce que l’Amérique attend d’eux car, comme le stipule la devise de la National Endowment for Democracy, que préside Madeleine Korbelova Albright, « Ce qui est bon pour l’Amérique, est bon pour le monde ». L’Oncle Sam attend du cousin Rached qu’il prenne bien soin des daéchiens qui vont se déplacer de la Libye vers la Tunisie, comme ils ont fui la Syrie. C’est que l’Amérique a encore besoin de son armée parallèle, notamment pour son futur plan en Algérie et pour son futur coup en Egypte.
L’expédition militaire que va subir la Libye dans les prochains jours sera ainsi de type dissuasif et non pas destructif. Comme au bon vieux temps de l’esclavagisme aux Etats-Unis, un esclave, on le corrige sans le tuer car il vaut de l’argent. Les Américains et leurs alliés y vont pour sécuriser les puits de pétrole et persuader les daéchiens de rallier les troupes d’Abdelhaki Belhadj. C’est sur cet ancien d’Al-Qaïda que les Américains comptent pour stabiliser la Libye. Or, Abdelhaki Belhadj est le frère en secte de Rached Ghannouchi, et tous les deux sont aux ordres du Qatar et de la Turquie. Telle est donc la véritable raison de la visite de cheikha Madeleine en Tunisie.
On rappellera que l’Institut National Démocratique pour les Affaires Internationales National Democratic Institute for International Affairs-NDI, que préside cheikha Madeleine, est l’un des quatre instituts satellites de l’agence National Endowment for Democracy. Officiellement créé le 6 novembre 1982 sous Ronald Reagan, cette agence est le fer de lance de la CIA dans le monde. Le 20 janvier 2004, à l’occasion de son troisième discours sur l’état de l’Union, George W. Bush avait annoncé qu’il doublerait le budget de la National Endowment for Democracy (NED) et concentrerait « ses nouveaux travaux sur la promotion d’élections libres, du libre-échange, de la liberté de la presse et de la liberté syndicale au Proche-Orient et au Maghreb ».
Nous savons depuis que la NED, comme l’USAID, Freedom House et l’Open Society, a joué un rôle clef dans le formatage et l’endoctrinement des cybers-collabos tunisiens et arabes en général.
Nebil Ben Yahmed
A consulter dans nos archives :
http://www.tunisie-secret.com/Madeleine-Albright-a-encaisse-75000-dollars-pour-se-deplacer-a-Tunis_a1357.html