L’internationale du crime est un tout indissociable. Il constitue la chaîne de valeur la plus large et la mieux organisée à travers le monde. L’objectif ultime étant de mettre la main sur les richesses de pays maintenus avec habilité dans le sous développement humain de telle sorte à faire de la culture de l’esclavagisme une composante de la conscience collective, ôtant à la société ses mécanismes de défense naturelles. Dirigées depuis leurs indépendances par des gouvernants conditionnés à n’être que mercenaires au service des barons de l’internationale du crime, la rupture entre gouvernées et gouvernants s’avère faille structurelle dont les pays sous développés peinent à se défaire. N’ayant rien épargné, la confiscation des droits des peuples de ces pays va jusqu’à l’appropriation de leur droits à la révolte, au point que les révoltes sont improvisées de l’extérieur en complicité avec la nouvelle génération de mercenaires amenée à créer le cahot, non pas pour remplacer le système mafieux préexistant mais pour le renforcer via de nouvelles coalitions entre bandes mafieuses, dont les activités diverses sont à ce point savamment agencées, que les peuples basculent dans une culture d’esclavagisme et une économie sous terraine de crime, gagne pain au grand jour de populations entières, mais destructrices d’un autre côté de sociétés, tant au nord qu’au sud. Du trafic d’armes à la traite des êtres humains, de la vente de drogue à la prostitution, tous les moyens sont bons.
Quoi que les méthodes ne soient pas nouvelles, ce qui se passe actuellement dans les pays arabo musulman est la version inédite des pratiques de l’internationale du crime. Avec la montée en puissance de l’extrémisme religieux, puisant toute sa légitimité dans la référence au divin, qui s’avère outil par excellence de domination des esprits et des âmes, la région est proie, à une infinité de perversion contraires à toute morale, qu’elle soit religieuse ou autre, au point que les codes sociétaux sont totalement bouleversés. L’humain est dépouillé de ce qu’il a de plus sacré, son honneur, sa dignité et son droit à la vie. Travestie sous la bonne cause, le crime assassine, pousse les jeunes filles à la prostitution, et dépouille les sociétés du sens de l’honneur, et par voie de conséquence de toute souveraineté. Ce qui se passe actuellement en Syrie en est illustration grandeur nature, mais, il convient de lire la situation de ce pays dans une dynamique régionale accélérée et dopée par des moyens outre atlantiques, avec pour finalité ultime de banaliser l’effet domino, de telle sorte à frapper même au cœur des pays se considérant prémunis contre le mal. Constitués en réseau sans frontières, les soldats de l’internationale du crime, sont prêts à se déplacer dans le temps et dans l’espace avec une facilité telle, qu’ils peuvent frapper aujourd’hui en Libye pour une cause, et le lendemain au Mali, pour une cause contraire, sans même s’en rendre compte, tant l’habilité de formatage des cerveaux a réussi à dépouiller les pions de tout ce qui caractérise l’humain, pour en faire l’automate, disposé à s’exécuter au gré du maître, jusqu’à ce que se dernier se décide à l’exécuter, quand il s’avère encombrant, où quand il devient outil, justifiant un durcissement de la législation internationale de lutte contre le terrorisme, laquelle n’est autre que le moyen de dépouiller les pays de leur souveraineté. Tel fut le cas au lendemain du 11 septembre. Pris dans le piège de la manipulation médiatique, peuple du nord, comme peuples du sud, se laissent emporter par l’intoxication des esprits, au point que ces derniers s’avèrent dans l’impossibilité de décrypter l’analogie de ce qui s’est passé il y a deux décennies en Afghanistan, et ce qui se passe aujourd’hui dans les pays arabes.
Ce que les populations du monde doivent aujourd’hui comprendre c’est la complicité des services de renseignement et de sécurité à l’échelle planétaire, dans ce méga crime contre l’humanité. Si ce n’est par la facilitation du trafic des moyens logistiques (armes) et des produits du crime(drogue), c’est en usant des jihadistes dans toutes les sales besognes de déstabilisation, pour préparer le terrain propice aux pilleurs des richesses de dépouiller les pays de leurs richesses naturelles et de maltraiter l’environnement, réduisant les pays cibles en poudrière humaine et écologique. La métamorphose connue par la Tunisie en l’espace de deux ans en est l’illustration grandeur nature. Est-il possible que les armes récemment découvertes et qui sont aussi impressionnants en volume qu’en puissances, puissent être semées du nord au sud du pays, sans complicité des services de sécurité ? Est-il possible que les stupéfiants se soient à ce point banalisés, que les écoliers en consomment sans modération ? Est-il possible que les terroristes sèment la terreur alors que les services de l’ordre sont appelés à ne pas les neutraliser ? Est-il possible que de jeunes filles puissent traverser à quatorze ans les frontières seules sans se faire interpeller, quand la respectable femme d’affaire est harcelée dans l’avion, en se faisant interroger par la police des mœurs si elle avait l’accord de son époux pour voyager ? Cette état de faits n’est guère de bonne augure pour le voisin qui semble de plus en plus sur la ligne de mire de l’internationale du crime, alors qu’il s’est longtemps cru immunisé de par son expérience passée. L’Algérie subit aujourd’hui de plein fouet la mise en exécution du plan qui lui est destinée. Bien que les symptômes du mal ne se soient pas encore fait trop visibles, les signes annonciateurs attestent de la détermination des criminels à ne laisser guère d‘échappatoire aux Algériens (1).
Au-delà de l’attentat sur le site gazier, les médias nous rapportent jour après jours des faits attestant que la mise en œuvre du plan suit son chemin de bonhomme. Tantôt c’est la saisie de grandes quantités de matériel électronique hautement sophistiqué dans un aéroport, à d’autres moments c’est l’interpellation d’un agent du Mossad femme, déguisée en intégriste avec nikab. La découverte d’une formation en Tunisie d’activistes destinés à déstabiliser l’Algérie est un autre indice et non des moindres. En effet, il n’est pas seulement le signe que l’internationale du crime s’est bien installée dans la région, mais ceci révèle surtout que le quartier général du crime a choisi d’élire domicile en Tunisie, en en faisant le pourvoyeur de jihadistes et de femmes de joie à tout le bataillon, mais aussi terrain d’entraînement à l’exercice de toute activité, des plus soft aux plus lourdes. Après ce qui a été découvert à Mont Châmbi et tout ce qui s’en est suivi, le peuple Tunisien n’a plus de doute sur la complicité de toute la classe politique dans le crime commis contre le pays et les voisins proches et lointains. Si elle n’est directe, cette complicité est indirecte, soit par le silence soit par la persistance dans la voie des compromissions, alors que la déconfiture du pays est quasi-totale. Comment peut-il en être autrement, quand les évènements de Châmbi ont précédé à peine de quelques heures le débarquement d’un rétrograde en provenance des pays du Golf, munie d’une batterie de valises exonérées de contrôle douanier. Certains penseraient qu’il est insensé de contrôler ce généreux donateur, débarquant dans un avion privé, et s’empressant de faire acte de charité à un peuple dans l’incapacité de se remettre debout par ses propres moyens. A méditer….avant qu’il ne soit trop tard.Tunisie-Secret.com
Asma Souissi
(1) http://www.alterinfo.net/Syrie-Algerie-Guerre-imminente-rendez-vous-sur-l-agenda-du-chaos
Quoi que les méthodes ne soient pas nouvelles, ce qui se passe actuellement dans les pays arabo musulman est la version inédite des pratiques de l’internationale du crime. Avec la montée en puissance de l’extrémisme religieux, puisant toute sa légitimité dans la référence au divin, qui s’avère outil par excellence de domination des esprits et des âmes, la région est proie, à une infinité de perversion contraires à toute morale, qu’elle soit religieuse ou autre, au point que les codes sociétaux sont totalement bouleversés. L’humain est dépouillé de ce qu’il a de plus sacré, son honneur, sa dignité et son droit à la vie. Travestie sous la bonne cause, le crime assassine, pousse les jeunes filles à la prostitution, et dépouille les sociétés du sens de l’honneur, et par voie de conséquence de toute souveraineté. Ce qui se passe actuellement en Syrie en est illustration grandeur nature, mais, il convient de lire la situation de ce pays dans une dynamique régionale accélérée et dopée par des moyens outre atlantiques, avec pour finalité ultime de banaliser l’effet domino, de telle sorte à frapper même au cœur des pays se considérant prémunis contre le mal. Constitués en réseau sans frontières, les soldats de l’internationale du crime, sont prêts à se déplacer dans le temps et dans l’espace avec une facilité telle, qu’ils peuvent frapper aujourd’hui en Libye pour une cause, et le lendemain au Mali, pour une cause contraire, sans même s’en rendre compte, tant l’habilité de formatage des cerveaux a réussi à dépouiller les pions de tout ce qui caractérise l’humain, pour en faire l’automate, disposé à s’exécuter au gré du maître, jusqu’à ce que se dernier se décide à l’exécuter, quand il s’avère encombrant, où quand il devient outil, justifiant un durcissement de la législation internationale de lutte contre le terrorisme, laquelle n’est autre que le moyen de dépouiller les pays de leur souveraineté. Tel fut le cas au lendemain du 11 septembre. Pris dans le piège de la manipulation médiatique, peuple du nord, comme peuples du sud, se laissent emporter par l’intoxication des esprits, au point que ces derniers s’avèrent dans l’impossibilité de décrypter l’analogie de ce qui s’est passé il y a deux décennies en Afghanistan, et ce qui se passe aujourd’hui dans les pays arabes.
Ce que les populations du monde doivent aujourd’hui comprendre c’est la complicité des services de renseignement et de sécurité à l’échelle planétaire, dans ce méga crime contre l’humanité. Si ce n’est par la facilitation du trafic des moyens logistiques (armes) et des produits du crime(drogue), c’est en usant des jihadistes dans toutes les sales besognes de déstabilisation, pour préparer le terrain propice aux pilleurs des richesses de dépouiller les pays de leurs richesses naturelles et de maltraiter l’environnement, réduisant les pays cibles en poudrière humaine et écologique. La métamorphose connue par la Tunisie en l’espace de deux ans en est l’illustration grandeur nature. Est-il possible que les armes récemment découvertes et qui sont aussi impressionnants en volume qu’en puissances, puissent être semées du nord au sud du pays, sans complicité des services de sécurité ? Est-il possible que les stupéfiants se soient à ce point banalisés, que les écoliers en consomment sans modération ? Est-il possible que les terroristes sèment la terreur alors que les services de l’ordre sont appelés à ne pas les neutraliser ? Est-il possible que de jeunes filles puissent traverser à quatorze ans les frontières seules sans se faire interpeller, quand la respectable femme d’affaire est harcelée dans l’avion, en se faisant interroger par la police des mœurs si elle avait l’accord de son époux pour voyager ? Cette état de faits n’est guère de bonne augure pour le voisin qui semble de plus en plus sur la ligne de mire de l’internationale du crime, alors qu’il s’est longtemps cru immunisé de par son expérience passée. L’Algérie subit aujourd’hui de plein fouet la mise en exécution du plan qui lui est destinée. Bien que les symptômes du mal ne se soient pas encore fait trop visibles, les signes annonciateurs attestent de la détermination des criminels à ne laisser guère d‘échappatoire aux Algériens (1).
Au-delà de l’attentat sur le site gazier, les médias nous rapportent jour après jours des faits attestant que la mise en œuvre du plan suit son chemin de bonhomme. Tantôt c’est la saisie de grandes quantités de matériel électronique hautement sophistiqué dans un aéroport, à d’autres moments c’est l’interpellation d’un agent du Mossad femme, déguisée en intégriste avec nikab. La découverte d’une formation en Tunisie d’activistes destinés à déstabiliser l’Algérie est un autre indice et non des moindres. En effet, il n’est pas seulement le signe que l’internationale du crime s’est bien installée dans la région, mais ceci révèle surtout que le quartier général du crime a choisi d’élire domicile en Tunisie, en en faisant le pourvoyeur de jihadistes et de femmes de joie à tout le bataillon, mais aussi terrain d’entraînement à l’exercice de toute activité, des plus soft aux plus lourdes. Après ce qui a été découvert à Mont Châmbi et tout ce qui s’en est suivi, le peuple Tunisien n’a plus de doute sur la complicité de toute la classe politique dans le crime commis contre le pays et les voisins proches et lointains. Si elle n’est directe, cette complicité est indirecte, soit par le silence soit par la persistance dans la voie des compromissions, alors que la déconfiture du pays est quasi-totale. Comment peut-il en être autrement, quand les évènements de Châmbi ont précédé à peine de quelques heures le débarquement d’un rétrograde en provenance des pays du Golf, munie d’une batterie de valises exonérées de contrôle douanier. Certains penseraient qu’il est insensé de contrôler ce généreux donateur, débarquant dans un avion privé, et s’empressant de faire acte de charité à un peuple dans l’incapacité de se remettre debout par ses propres moyens. A méditer….avant qu’il ne soit trop tard.Tunisie-Secret.com
Asma Souissi
(1) http://www.alterinfo.net/Syrie-Algerie-Guerre-imminente-rendez-vous-sur-l-agenda-du-chaos