Selon nos confrères de Kapitalis, « Le congrès est co-organisé par Ennahdha et le Centre maghrébin pour le développement Al Maqdissi, ouvert dans le courant de 2012 et financé notamment par la Turquie d’Erdogan. Aux côtés de Rached Ghannouchi, n°2 du mouvement mondial des Frères musulmans, on annonce la présence en Tunisie, à cette occasion, de 42 dirigeants des Frères musulmans en provenance de Jordanie, Syrie, Palestine, du Liban… ainsi que des anciens parlementaires islamistes égyptiens de l’ère Mohamed Morsi, le président islamiste déchu. Les internautes se sont mobilisés dans les réseaux sociaux pour essayer d’empêcher la tenue de cette rencontre. En vain. Certains ont demandé au ministre de l’Intérieur Lotfi Ben Jeddou de l’interdire. Mais c’est le même Lotfi Ben Jeddou qui met ses équipes pour assurer la sécurité de ce congrès qui se tient loin des regards et dans le secret le plus absolu. Et même loin des regards des journalistes. A moins que des cartons d'invitation aient été envoyés aux journalistes proches du mouvement islamistes ».
Après investigation, nous confirmons totalement cette information de Kapitalis et nous en apportons les preuves. Mais comme ils en ont l’habitude depuis leur naissance en 1928, les Frères musulmans pratiquent la Taquiyya (secret) et le mensonge pour dissimuler leurs rencontres et ce qu’elles cachent. Pour les confondre, voici ce que nos investigations révèlent, sur la base de documents confidentiels que nous avons pu obtenir grâce à notre réseau d’information.
Il convient d’abord de rappeler que le dernier congrès des Frères musulmans s’est tenu à Istanbul, en octobre 2013, à l’époque où l’intégriste light, Erdogan, avait le vent en poupe et que certains médias occidentaux faisaient l’éloge du bon modèle turc et de l’islamisme « modéré ». Depuis, les temps ont bien changé et le régime islamo-ottoman s’est révélé tel qu’en lui-même, c’est-à-dire un régime mafieux, corrompu et répressif.
Selon le document ci-joint, le rassemblement qui se tient actuellement à Tunis est a priori un congrès de « soutien des Frères musulmans au Hamas ». Toujours selon ce document confidentiel, « Les préparatifs pour la tenue de ce congrès ont commencé sous les directives de Mounir Saïd Jerada, Abdallah Atwat et Hichem Atwat, en collaboration avec les Frères musulmans de Tunisie, en la personne du chef d’Ennahda et dirigeant de l’organisation mondiale des Frères musulmans, Rached Ghannouchi. Le congrès se déroulera à Tunis du 16 au 18 janvier 2014 et des invitations ont été adressées à 42 personnalités arabes et musulmanes, outre des personnalités dont les noms n’ont pas été encore précisés. C’est le Centre Maghrébin pour le développement Al-Maqdissi à Tunis, qui est l’organisateur. En marge de ce congrès, il y aura une réunion maghrébine le dimanche 19 janvier 2014 et une seconde, le même jour, rassemblant les députés arabes ».
La question qui s’impose ici est la suivante : pourquoi ce congrès ne s’est-il pas déroulé en Turquie, pays encore frériste, ou au Qatar qui est le principal soutien financier, médiatique, politique et diplomatique des Frères musulmans, ainsi que des ramifications terroristes et djihadistes de l’Internationale Islamiste ? Tout simplement parce que la Tunisie est devenue le siège secret des Frères musulmans et l’arrière base tout aussi secrète du terrorisme international.
Pour ne pas aggraver les tensions diplomatiques de l’Egypte avec la Turquie et le Qatar, le chef politique (Tamim) et religieux (Qaradaoui) de l’émirat qatari ont ordonné à leur larbin et serviteur Ghannouchi d’accueillir ce rassemblement. Ni les avocats qui ont tenté une action urgente en Justice pour empêcher la tenue de ce congrès, ni la mobilisation de certains internautes, ni même les tergiversations du ministre de l’Intérieur, n’y peuvent rien. Un ordre c’est un ordre. Nos associés et partenaires dans la révolution, comme l’avait si bien reconnu Rached Ghannouchi, ont des droits sur la Tunisie.
Le représentant des Frères musulmans en Tunisie est allé jusqu’à dire que la Tunisie accordera l’asile politique aux responsables et militants des Frères musulmans, montrant ainsi qu’il est le maître suprême du pays. Nul besoin de le déclarer puisque nous savons que des terroristes du Hamas se trouvent déjà depuis plus d’une année en Tunisie, et qu’une trentaine de cadres des Frères musulmans y sont arrivés depuis que le général Abdelfattah Al-Sissi a fait le grand nettoyage en Egypte en déclarant ce mouvement comme étant illégal et terroriste.
En attendant que leurs Frères tunisiens subissent le même sort, les politichiens qui observent un grand mutisme peuvent souhaiter bons travaux aux congressistes de l’Internationale Islamiste.
Karim Zmerli
Après investigation, nous confirmons totalement cette information de Kapitalis et nous en apportons les preuves. Mais comme ils en ont l’habitude depuis leur naissance en 1928, les Frères musulmans pratiquent la Taquiyya (secret) et le mensonge pour dissimuler leurs rencontres et ce qu’elles cachent. Pour les confondre, voici ce que nos investigations révèlent, sur la base de documents confidentiels que nous avons pu obtenir grâce à notre réseau d’information.
Il convient d’abord de rappeler que le dernier congrès des Frères musulmans s’est tenu à Istanbul, en octobre 2013, à l’époque où l’intégriste light, Erdogan, avait le vent en poupe et que certains médias occidentaux faisaient l’éloge du bon modèle turc et de l’islamisme « modéré ». Depuis, les temps ont bien changé et le régime islamo-ottoman s’est révélé tel qu’en lui-même, c’est-à-dire un régime mafieux, corrompu et répressif.
Selon le document ci-joint, le rassemblement qui se tient actuellement à Tunis est a priori un congrès de « soutien des Frères musulmans au Hamas ». Toujours selon ce document confidentiel, « Les préparatifs pour la tenue de ce congrès ont commencé sous les directives de Mounir Saïd Jerada, Abdallah Atwat et Hichem Atwat, en collaboration avec les Frères musulmans de Tunisie, en la personne du chef d’Ennahda et dirigeant de l’organisation mondiale des Frères musulmans, Rached Ghannouchi. Le congrès se déroulera à Tunis du 16 au 18 janvier 2014 et des invitations ont été adressées à 42 personnalités arabes et musulmanes, outre des personnalités dont les noms n’ont pas été encore précisés. C’est le Centre Maghrébin pour le développement Al-Maqdissi à Tunis, qui est l’organisateur. En marge de ce congrès, il y aura une réunion maghrébine le dimanche 19 janvier 2014 et une seconde, le même jour, rassemblant les députés arabes ».
La question qui s’impose ici est la suivante : pourquoi ce congrès ne s’est-il pas déroulé en Turquie, pays encore frériste, ou au Qatar qui est le principal soutien financier, médiatique, politique et diplomatique des Frères musulmans, ainsi que des ramifications terroristes et djihadistes de l’Internationale Islamiste ? Tout simplement parce que la Tunisie est devenue le siège secret des Frères musulmans et l’arrière base tout aussi secrète du terrorisme international.
Pour ne pas aggraver les tensions diplomatiques de l’Egypte avec la Turquie et le Qatar, le chef politique (Tamim) et religieux (Qaradaoui) de l’émirat qatari ont ordonné à leur larbin et serviteur Ghannouchi d’accueillir ce rassemblement. Ni les avocats qui ont tenté une action urgente en Justice pour empêcher la tenue de ce congrès, ni la mobilisation de certains internautes, ni même les tergiversations du ministre de l’Intérieur, n’y peuvent rien. Un ordre c’est un ordre. Nos associés et partenaires dans la révolution, comme l’avait si bien reconnu Rached Ghannouchi, ont des droits sur la Tunisie.
Le représentant des Frères musulmans en Tunisie est allé jusqu’à dire que la Tunisie accordera l’asile politique aux responsables et militants des Frères musulmans, montrant ainsi qu’il est le maître suprême du pays. Nul besoin de le déclarer puisque nous savons que des terroristes du Hamas se trouvent déjà depuis plus d’une année en Tunisie, et qu’une trentaine de cadres des Frères musulmans y sont arrivés depuis que le général Abdelfattah Al-Sissi a fait le grand nettoyage en Egypte en déclarant ce mouvement comme étant illégal et terroriste.
En attendant que leurs Frères tunisiens subissent le même sort, les politichiens qui observent un grand mutisme peuvent souhaiter bons travaux aux congressistes de l’Internationale Islamiste.
Karim Zmerli