S’il semble, au premier abord, positif de voir les peuples du Moyen-Orient et du Maghreb se soulever face à leurs dictateurs, il est toutefois nécessaire d’observer l’asservissement et le contrôle économique qui continueront de régner à ces endroits stratégiques du globe.
Le peuple gagnera-t-il au change ? Qui est à l’origine de ces manœuvres ? Quels seront les nouveaux pions mondialistes mis en place ? Et pour quels intérêts au final ?
Les peuples arabes savent ce qu’ils ont, mais pas ce qu’ils auront par la suite. Il est tout de même étonnant de constater, d’instinct, cette succession de mouvements subversifs envers tous ces dictateurs que l’on savait des tyrans depuis des lustres et qui, jusque-là, avaient été laissés bien tranquille. Une mouche aurait-elle piqué les apôtres du Nouvel Ordre Mondial ? Les faits actuels, cette accélération du processus mondialiste ne font que confirmer ce que Pierre Hillard et moi-même avions évoqué en novembre dernier à Toulon.
Une chose est sûre et certaine, rien n’est spontané. Tout a été planifié depuis belle lurette. Lindsey Williams avait d’ailleurs annoncé, au micro d’Alex Jones il y a quelques mois, les divers renversements qui allaient s’opérer au Moyen-Orient. Et ce dans le but d’une restructuration de cette région planifiée par le Club de Rome.
En Tunisie, comme nous l’avons déjà relaté, Ben Ali comptait faire de la Tunisie le centre financier de l’Afrique du Nord. Il songeait vendre des ressources de gaz aux Russes et Chinois. Comme par hasard, le peuple s’est subitement retourné contre lui, et plus important encore l’armée du pays, laquelle avait été auparavant contacté par les Etats-Unis. D’où la déclaration d’Hassen Nasrallah relayée par le Réseau Voltaire il y a maintenant deux mois. Le leader du Hezbollah parlait déjà de mise en garde contre la CIA et de complot US.
Ce qu’on ne nous dit jamais publiquement, c’est que les Rothschild et leurs associés sont les actionnaires majoritaires des banques centrales (système de la Federal Reserve). Or, les économies de la Tunisie, de l’Egypte, du Yémen, de la Jordanie et de l’Algérie ne sont pas (encore) contrôlées par ces banques estampillées Rothschild. Ces pays ne subissent pas encore l’asservissement par la dette. Outre un renforcement chiite envisagé par les cartels, l’instauration d’un bloc islamique par l'agent Frank G. Wisner est dans les clous.
En effet, un des objectifs non avoués de ces changements de pions est la radicalisation de l’islam dans la région pour un affaiblissement du sionisme. Et ce afin d’opposer, selon les plans de Pike, les deux blocs en vue d’une troisième guerre mondiale. D’où le récent mécontentement israélien envers Barack Obama. Les antisionistes pourront se satisfaire un instant de ces divers changements. Il faut cependant garder à l'esprit que ce schéma machiavélique laisse présager le pire.
En Egypte, la publication d’un document classé top secret (http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/africaandindianocean/egypt/8289698/Egypt-protests-secret-US-document-discloses-support-for-protesters.html)
envoyé de l’ambassade US sur place à Washington confirme le soutien des États-Unis aux émeutiers. George Soros se trouve précisément à l’origine d’organisations travaillant à fournir des propositions pour une nouvelle constitution. Le même Soros a d’ailleurs encensé et encouragé ces mouvements de révolte en série. Une interview réalisée par Fareed Zakaria du CFR et diffusée sur CNN nous donne des précisions sur son postulat :
Habitué à financer les révolutions de toutes sortes, George Soros y déclare donc tranquillement qu’il s’agit d’un « évènement historique. Un désir spontané des peuples d’ébranler les dictatures des régimes corrompus pour tendre vers la démocratie […] Ces pays vont avoir besoin de beaucoup de soutien pour réussir vraiment leur révolution » avant de souhaiter, en guise conclusion, l’effondrement de l’Iran après celui de l’URSS. Et tout cela parce qu’il est attaché à la démocratie dans les pays arabes ! On le croit sans problème !
L’effondrement du dollar ne doit jamais sortir de l’esprit de ceux qui essaient d’y voir plus clair dans le brouillard financier médiatico-institutionnel ; tout comme le contrôle des richesses et de l’énergie de cette région se veut l’aboutissement de ces manœuvres subversives.
Il est évident que l’objectif est clairement l’inflation pour le profit des cartels. Aussi faut-il s’attendre à une augmentation des denrées alimentaires, en plus de l’augmentation du prix du pétrole. Cette multiplication de révolutions jouant en faveur de la Maison Rothschild qui souhaite imposer son régime financier par le biais de Soros et Wisner. Cette prédation fait aussi indirectement l’intérêt des Rockefeller qui, eux, se frottent les mains avec la hausse du pétrole.
Ce n’est donc pas un hasard si Soros fut invité sur CNN pour parler de ces révolutions de manière positive. Ce n’est pas non plus un hasard si ce même Soros est un agent important dans le dispositif Rothschild. Et que le même genre de renversement avec changement de pions se reproduit un peu partout dans le monde. De là à affirmer que ce sont eux qui fomentent ces révolutions -colorées ou non-… il y a un pas qu’il est désormais facile de franchir.Johan Livernette
Le peuple gagnera-t-il au change ? Qui est à l’origine de ces manœuvres ? Quels seront les nouveaux pions mondialistes mis en place ? Et pour quels intérêts au final ?
Les peuples arabes savent ce qu’ils ont, mais pas ce qu’ils auront par la suite. Il est tout de même étonnant de constater, d’instinct, cette succession de mouvements subversifs envers tous ces dictateurs que l’on savait des tyrans depuis des lustres et qui, jusque-là, avaient été laissés bien tranquille. Une mouche aurait-elle piqué les apôtres du Nouvel Ordre Mondial ? Les faits actuels, cette accélération du processus mondialiste ne font que confirmer ce que Pierre Hillard et moi-même avions évoqué en novembre dernier à Toulon.
Une chose est sûre et certaine, rien n’est spontané. Tout a été planifié depuis belle lurette. Lindsey Williams avait d’ailleurs annoncé, au micro d’Alex Jones il y a quelques mois, les divers renversements qui allaient s’opérer au Moyen-Orient. Et ce dans le but d’une restructuration de cette région planifiée par le Club de Rome.
En Tunisie, comme nous l’avons déjà relaté, Ben Ali comptait faire de la Tunisie le centre financier de l’Afrique du Nord. Il songeait vendre des ressources de gaz aux Russes et Chinois. Comme par hasard, le peuple s’est subitement retourné contre lui, et plus important encore l’armée du pays, laquelle avait été auparavant contacté par les Etats-Unis. D’où la déclaration d’Hassen Nasrallah relayée par le Réseau Voltaire il y a maintenant deux mois. Le leader du Hezbollah parlait déjà de mise en garde contre la CIA et de complot US.
Ce qu’on ne nous dit jamais publiquement, c’est que les Rothschild et leurs associés sont les actionnaires majoritaires des banques centrales (système de la Federal Reserve). Or, les économies de la Tunisie, de l’Egypte, du Yémen, de la Jordanie et de l’Algérie ne sont pas (encore) contrôlées par ces banques estampillées Rothschild. Ces pays ne subissent pas encore l’asservissement par la dette. Outre un renforcement chiite envisagé par les cartels, l’instauration d’un bloc islamique par l'agent Frank G. Wisner est dans les clous.
En effet, un des objectifs non avoués de ces changements de pions est la radicalisation de l’islam dans la région pour un affaiblissement du sionisme. Et ce afin d’opposer, selon les plans de Pike, les deux blocs en vue d’une troisième guerre mondiale. D’où le récent mécontentement israélien envers Barack Obama. Les antisionistes pourront se satisfaire un instant de ces divers changements. Il faut cependant garder à l'esprit que ce schéma machiavélique laisse présager le pire.
En Egypte, la publication d’un document classé top secret (http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/africaandindianocean/egypt/8289698/Egypt-protests-secret-US-document-discloses-support-for-protesters.html)
envoyé de l’ambassade US sur place à Washington confirme le soutien des États-Unis aux émeutiers. George Soros se trouve précisément à l’origine d’organisations travaillant à fournir des propositions pour une nouvelle constitution. Le même Soros a d’ailleurs encensé et encouragé ces mouvements de révolte en série. Une interview réalisée par Fareed Zakaria du CFR et diffusée sur CNN nous donne des précisions sur son postulat :
Habitué à financer les révolutions de toutes sortes, George Soros y déclare donc tranquillement qu’il s’agit d’un « évènement historique. Un désir spontané des peuples d’ébranler les dictatures des régimes corrompus pour tendre vers la démocratie […] Ces pays vont avoir besoin de beaucoup de soutien pour réussir vraiment leur révolution » avant de souhaiter, en guise conclusion, l’effondrement de l’Iran après celui de l’URSS. Et tout cela parce qu’il est attaché à la démocratie dans les pays arabes ! On le croit sans problème !
L’effondrement du dollar ne doit jamais sortir de l’esprit de ceux qui essaient d’y voir plus clair dans le brouillard financier médiatico-institutionnel ; tout comme le contrôle des richesses et de l’énergie de cette région se veut l’aboutissement de ces manœuvres subversives.
Il est évident que l’objectif est clairement l’inflation pour le profit des cartels. Aussi faut-il s’attendre à une augmentation des denrées alimentaires, en plus de l’augmentation du prix du pétrole. Cette multiplication de révolutions jouant en faveur de la Maison Rothschild qui souhaite imposer son régime financier par le biais de Soros et Wisner. Cette prédation fait aussi indirectement l’intérêt des Rockefeller qui, eux, se frottent les mains avec la hausse du pétrole.
Ce n’est donc pas un hasard si Soros fut invité sur CNN pour parler de ces révolutions de manière positive. Ce n’est pas non plus un hasard si ce même Soros est un agent important dans le dispositif Rothschild. Et que le même genre de renversement avec changement de pions se reproduit un peu partout dans le monde. De là à affirmer que ce sont eux qui fomentent ces révolutions -colorées ou non-… il y a un pas qu’il est désormais facile de franchir.Johan Livernette