Olivier Poivre d'Arvor, Ambassadeur de France en Tunisie.
A l’issue de la conférence annuelle des Ambassadeurs au Quai d’Orsay, Olivier Poivre d’Arvor a été interrogé par Marc-Olivier Fogiel sur RTL, le 30 août dernier. Le journaliste d’RTL : « Ce qui se passe en Tunisie a une implication directe sur ce qui se passe ici (en France)…Quelles sont vos priorités en tant qu’Ambassadeur ? »
Réponse d’Oliver Poivre d’Arvor : « Le premier rôle d’un ambassadeur où qu’il soit d’ailleurs, c’est d’assurer la sécurité des Français qui sont là-bas. Il y a 30.000 ressortissants, presque 15.000 jeunes dans des lycées français. Ce sont des cibles. Il faut le dire simplement. Il faut pouvoir les protéger, notamment dans les pays comme la Tunisie dont on sait qu'elle est fournisseuse de djihadistes, d’un certain nombre de radicalisés… »
Qu’y a-t-il dans ces propos de faux ou d’injuste pour indigner les vierges effarouchées ? Que la Tunisie soit devenue depuis 2011 le premier fournisseur mondial de terroristes islamistes, cela est un fait dont nul ne peut contester la véracité. Que la première mission d’un Ambassadeur soit d’assurer la sécurité de ses compatriotes dans le pays d’accueil, cela est d’une évidence élémentaire. De plus, c’est tous les jours en France que des Tunisiens sont expulsés vers leur pays d’origine pour des faits graves ayant trait au terrorisme islamiste.
Lorsqu’on a atteint un tel degré de déchéance, lorsqu’on a hurlé « Digage » en détruisant son propre pays, lorsqu’on a allumé le feu de l’anarchie et du terrorisme dans certains pays arabes, lorsqu’on a massivement voté pour les Frères musulmans en octobre 2011, lorsqu’on a répondu aux appels « révolutionnaires » de l’émirat islamo-mafieux du Qatar, lorsqu’on a été si fiers que les médias français louent la « révolution du jasmin » et le « printemps arabe », lorsqu’on a trahi sa propre Patrie, lorsqu’on a prêté main forte aux colons d’envahir la Libye, lorsqu’on a envoyé ses criminels faire le Djihad en Syrie…alors il faut assumer son nouveau statut de néocolonisé et se faire tout petit.
Il fut un temps, de 1956 à 2011, où la Tunisie était un pays respectable et les Tunisiens un peuple digne et fier. Mais cette époque est révolue. Se la jouer nationaliste ne sert plus à rien et ne trompe plus personne. Même s’il a oublié son propre pays, qui est le premier exportateur occidental de djihadistes en Syrie et en Irak, Olivier Poivre d’Arvor a eu parfaitement raison de traiter les Tunisiens de la sorte.
Et dans tous les cas, il est bien plus honorable que son prédécesseur, l’islamophyle François Gouyette, ou le « diplomate » aux manières de voyou, Boris Boillon, qui s’est fait prendre, le 31 juillet 2013, à la gare du Nord, avec un sac contenant 350 000 euros et 40 000 dollars en espèces. Une petite fortune héritée de ses arrières grands parents « Libyens » qu’il voulait planquer chez les Belges !
Karim Zmerli
Lien vidéo sur le site d’RTL :
http://www.rtl.fr/actu/international/olivier-poivre-d-arvor-ses-missions-en-tant-qu-ambassadeur-de-tunisie-7784670201
Réponse d’Oliver Poivre d’Arvor : « Le premier rôle d’un ambassadeur où qu’il soit d’ailleurs, c’est d’assurer la sécurité des Français qui sont là-bas. Il y a 30.000 ressortissants, presque 15.000 jeunes dans des lycées français. Ce sont des cibles. Il faut le dire simplement. Il faut pouvoir les protéger, notamment dans les pays comme la Tunisie dont on sait qu'elle est fournisseuse de djihadistes, d’un certain nombre de radicalisés… »
Qu’y a-t-il dans ces propos de faux ou d’injuste pour indigner les vierges effarouchées ? Que la Tunisie soit devenue depuis 2011 le premier fournisseur mondial de terroristes islamistes, cela est un fait dont nul ne peut contester la véracité. Que la première mission d’un Ambassadeur soit d’assurer la sécurité de ses compatriotes dans le pays d’accueil, cela est d’une évidence élémentaire. De plus, c’est tous les jours en France que des Tunisiens sont expulsés vers leur pays d’origine pour des faits graves ayant trait au terrorisme islamiste.
Lorsqu’on a atteint un tel degré de déchéance, lorsqu’on a hurlé « Digage » en détruisant son propre pays, lorsqu’on a allumé le feu de l’anarchie et du terrorisme dans certains pays arabes, lorsqu’on a massivement voté pour les Frères musulmans en octobre 2011, lorsqu’on a répondu aux appels « révolutionnaires » de l’émirat islamo-mafieux du Qatar, lorsqu’on a été si fiers que les médias français louent la « révolution du jasmin » et le « printemps arabe », lorsqu’on a trahi sa propre Patrie, lorsqu’on a prêté main forte aux colons d’envahir la Libye, lorsqu’on a envoyé ses criminels faire le Djihad en Syrie…alors il faut assumer son nouveau statut de néocolonisé et se faire tout petit.
Il fut un temps, de 1956 à 2011, où la Tunisie était un pays respectable et les Tunisiens un peuple digne et fier. Mais cette époque est révolue. Se la jouer nationaliste ne sert plus à rien et ne trompe plus personne. Même s’il a oublié son propre pays, qui est le premier exportateur occidental de djihadistes en Syrie et en Irak, Olivier Poivre d’Arvor a eu parfaitement raison de traiter les Tunisiens de la sorte.
Et dans tous les cas, il est bien plus honorable que son prédécesseur, l’islamophyle François Gouyette, ou le « diplomate » aux manières de voyou, Boris Boillon, qui s’est fait prendre, le 31 juillet 2013, à la gare du Nord, avec un sac contenant 350 000 euros et 40 000 dollars en espèces. Une petite fortune héritée de ses arrières grands parents « Libyens » qu’il voulait planquer chez les Belges !
Karim Zmerli
Lien vidéo sur le site d’RTL :
http://www.rtl.fr/actu/international/olivier-poivre-d-arvor-ses-missions-en-tant-qu-ambassadeur-de-tunisie-7784670201