Hamad, le 13 janvier 2012 à Tunis:"Vous voyez comment j'apprends à votre président comment se tenir et comment saluer"!
Comme d’habitude, les Arabes se sont réunis pour enfoncer la Syrie et, comme c’est de coutume depuis cinquante ans, condamner Israël et soutenir la sacro-sainte « cause palestinienne ». Israël ou plus exactement ce qu’ils appellent « l’entité sioniste », est un sujet mobilisateur pour la populace arabe dont ces roitelets, émirs et présidents sont les dignes représentants !
Déjà lors des préparatifs de ce sommet « décisif », pour le monde arabe et même pour le monde tout court, il y a eu un différent sur la présence et la participation de la Coalition « nationale » syrienne (CNS), une exigence du Qatar et de son appendice tunisien. Mais l’Egypte, l’Algérie et le Liban s’y sont violemment opposés. Pas question que l’opposition syrienne prenne le siège du gouvernement légitime de Damas. Nabil El-Arabi, le serviteur bien servile du Qatar, n’a pourtant pas ménagé ses efforts pour que l’opposition syrienne, dite nationale, puisse prendre la parole lors de ce Sommet.
Le Qatar n’a effectivement rien pu faire, malgré le soutien de l’émirat de Tunisie. L’époque, pas si lointaine, où Hamad et Mozza faisaient la pluie et le beau temps au sein de la Ligue arabe est révolue. Mis à l’index par l’Arabie Saoudite, l’Egypte, l'Irak et les Emirats Arabes Unis, le Qatar a beaucoup perdu de son influence pernicieuse. En abritant ce Sommet arabe, le Koweït espérait d’ailleurs réconcilier la principauté de Mozza avec ses puissants voisins, au nom de la « fraternité » arabe !
Faute d’une décision qui aurait changée le cours de l’Histoire, nous avons eu droit à deux anecdotes qui font rire à défaut d’en pleurer : un émir se tenant sur son fauteuil comme un bédouin sur son chameau, et un « président » friand de friandises.
Comme le montrent les vidéos ci-dessous, le roitelet du Qatar et l’usurpateur de Carthage ont encore beaucoup à apprendre, pas tant dans l’art de gouverner que dans la manière de se tenir dans un réunion publique. Le premier se croyait en réunion tribale sous une tente, et le second, dans un mariage chez les Mrazig de Douz.
Depuis la leçon humiliante que lui a infligée le roitelet du Qatar, l'usurpateur de Carthage n'a toujours rien appris des règles de bienséance. C'était le 13 janvier 2012, à l'aéroport de Tunis-Carthage, lorsque la libérateur de la Tunisie a été invité à partager avec les Tunisiens le premier anniversaire de leur illustre "révolution": « Vous voyez comment j’apprends à votre président comment se tenir et comment saluer ». Inoubliable !
http://www.youtube.com/watch?v=8qptMN4wPtY
https://www.facebook.com/photo.php?v=683264105048400&set=vb.549450935096385&type=2&theater
Déjà lors des préparatifs de ce sommet « décisif », pour le monde arabe et même pour le monde tout court, il y a eu un différent sur la présence et la participation de la Coalition « nationale » syrienne (CNS), une exigence du Qatar et de son appendice tunisien. Mais l’Egypte, l’Algérie et le Liban s’y sont violemment opposés. Pas question que l’opposition syrienne prenne le siège du gouvernement légitime de Damas. Nabil El-Arabi, le serviteur bien servile du Qatar, n’a pourtant pas ménagé ses efforts pour que l’opposition syrienne, dite nationale, puisse prendre la parole lors de ce Sommet.
Le Qatar n’a effectivement rien pu faire, malgré le soutien de l’émirat de Tunisie. L’époque, pas si lointaine, où Hamad et Mozza faisaient la pluie et le beau temps au sein de la Ligue arabe est révolue. Mis à l’index par l’Arabie Saoudite, l’Egypte, l'Irak et les Emirats Arabes Unis, le Qatar a beaucoup perdu de son influence pernicieuse. En abritant ce Sommet arabe, le Koweït espérait d’ailleurs réconcilier la principauté de Mozza avec ses puissants voisins, au nom de la « fraternité » arabe !
Faute d’une décision qui aurait changée le cours de l’Histoire, nous avons eu droit à deux anecdotes qui font rire à défaut d’en pleurer : un émir se tenant sur son fauteuil comme un bédouin sur son chameau, et un « président » friand de friandises.
Comme le montrent les vidéos ci-dessous, le roitelet du Qatar et l’usurpateur de Carthage ont encore beaucoup à apprendre, pas tant dans l’art de gouverner que dans la manière de se tenir dans un réunion publique. Le premier se croyait en réunion tribale sous une tente, et le second, dans un mariage chez les Mrazig de Douz.
Depuis la leçon humiliante que lui a infligée le roitelet du Qatar, l'usurpateur de Carthage n'a toujours rien appris des règles de bienséance. C'était le 13 janvier 2012, à l'aéroport de Tunis-Carthage, lorsque la libérateur de la Tunisie a été invité à partager avec les Tunisiens le premier anniversaire de leur illustre "révolution": « Vous voyez comment j’apprends à votre président comment se tenir et comment saluer ». Inoubliable !
http://www.youtube.com/watch?v=8qptMN4wPtY
https://www.facebook.com/photo.php?v=683264105048400&set=vb.549450935096385&type=2&theater