L'époque où Chedly Ayari pouvait encore mentir à Christine Lagarde.
Nous le savions déjà, les institutions financières internationales, notamment le FMI, la Banque Mondiale, la BERD, la BEI, suivent de très près la dégradation inexorable du secteur bancaire et de façon générale l’économie du pays. L’Union européenne et les Etats-Unis d’Amérique, qui garantie à hauteur de 500 millions de dollars l’ensemble des crédits tunisiens ne veulent plus prêter leur concours, à moins d’obtenir du gouvernement tunisien la garantie de réformer et d’assainir d’urgence le secteur bancaire.
Dans une première étape, les institutions financières déjà citées entendent obliger la Tunisie à faire des provisions pour couvrir les créances irrécouvrables jusqu’à présent. Et dans un second temps, de recouvrer les créances auprès des personnes endettées, qui refusent de rembourser leurs crédits qui se chiffrent par milliards de dinars.
Ces institutions internationales exigent aussi du gouvernement de remettre dans le circuit bancaire tout l’argent liquide qui inonde le marché noir et dont profite la section tunisienne des Frères musulmans, Ennahdha, ainsi que d’autres affairistes véreux. Pour les initiés, cela s’appelle bancarisation du marché noir.
Pour ce faire, le changement des billets de banque serait inévitable, mais le gouverneur de la Banque centrale, Chedly Ayari, s’y refuse par obéissance à ses maitres islamistes qui l’ont nommé et maintenu en poste jusqu’à présent. C’est la nouvelle ministre des finances, Lamia Jeribi, qui manque pourtant de compétence et d’expérience, qui a essuyé ce refus catégorique de Chedly Ayari.
Nous savons que récemment, ce dernier s’est discrètement entretenu avec Rached Ghannouchi pour garantir sa retraite dorée de 28 000 dinars par mois, précédemment directement négociée avec le chef des Frères musulmans tunisiens, et obtenir l’immunité perpétuelle en échange de quoi il garderait le secret absolu sur les trafics et les malversations qui ont plombé l’économie tunisienne ainsi que sur le financement étranger d’Ennahdha, de Nidaa Tounes et du parti moribond de Moncef Marzouki.
Quant au placement sous surveillance de la Banque Centrale, il est déjà de fait : Diane Moris, représentante de l’Office of Technical Assistance au sein du département du Trésor américain et spécialiste du stress tests bancaire, a depuis début septembre son bureau au huitième étage de la Banque Centrale, dans le même couloir où se trouvent les bureaux du gouverneur et celui de son vice !
Nebil Ben Yahmed
Dans une première étape, les institutions financières déjà citées entendent obliger la Tunisie à faire des provisions pour couvrir les créances irrécouvrables jusqu’à présent. Et dans un second temps, de recouvrer les créances auprès des personnes endettées, qui refusent de rembourser leurs crédits qui se chiffrent par milliards de dinars.
Ces institutions internationales exigent aussi du gouvernement de remettre dans le circuit bancaire tout l’argent liquide qui inonde le marché noir et dont profite la section tunisienne des Frères musulmans, Ennahdha, ainsi que d’autres affairistes véreux. Pour les initiés, cela s’appelle bancarisation du marché noir.
Pour ce faire, le changement des billets de banque serait inévitable, mais le gouverneur de la Banque centrale, Chedly Ayari, s’y refuse par obéissance à ses maitres islamistes qui l’ont nommé et maintenu en poste jusqu’à présent. C’est la nouvelle ministre des finances, Lamia Jeribi, qui manque pourtant de compétence et d’expérience, qui a essuyé ce refus catégorique de Chedly Ayari.
Nous savons que récemment, ce dernier s’est discrètement entretenu avec Rached Ghannouchi pour garantir sa retraite dorée de 28 000 dinars par mois, précédemment directement négociée avec le chef des Frères musulmans tunisiens, et obtenir l’immunité perpétuelle en échange de quoi il garderait le secret absolu sur les trafics et les malversations qui ont plombé l’économie tunisienne ainsi que sur le financement étranger d’Ennahdha, de Nidaa Tounes et du parti moribond de Moncef Marzouki.
Quant au placement sous surveillance de la Banque Centrale, il est déjà de fait : Diane Moris, représentante de l’Office of Technical Assistance au sein du département du Trésor américain et spécialiste du stress tests bancaire, a depuis début septembre son bureau au huitième étage de la Banque Centrale, dans le même couloir où se trouvent les bureaux du gouverneur et celui de son vice !
Nebil Ben Yahmed