Le ministre franco-tunisien Kamel Jendoubi.
Selon Kamel Jendoubi, les allusions de Béji Caïd Essebsi aux « individus et partis politiques » qu’il a tenu responsables des dernières émeutes « ne doivent pas être imputées aux partis politiques reconnus ». En contredisant et ridiculisant ainsi le président de la République, ce ministre franco-tunisien chargé des Relations avec les instances constitutionnelles et la société civile a précisé que, « Jusqu'à maintenant, nous n'avons vu aucun parti politique reconnu, prendre part à des actes de violence ». Drôle de gouvernent, drôle de chef du gouvernement et drôle de République !
On rappelle que le vendredi 22 janvier, lors d'un discours sur la chaine nationale, Béji Caïd Essebsi avait accusé, « des partis politiques de vouloir enflammer la situation ». Ces gens, a-t-il dit, « sont tous connus, nous les connaissons un par un, ils sont fichés et leurs appartenances partisanes sont connues ». L’allusion était parfaitement claire à Hamma Hammami (Front Populaire), à Moncef Marzouki (ex CPR) et à Ridha Belhaj (Hizb Ettahrir), ce que nous avons été les premiers à affirmer ici-même.
Selon des informations parvenues à notre journal d’une source policière, Kamel Jendoubi aurait rencontré dans la soirée du vendredi 22 janvier, dans une maison située à la cité Ennasr, Hamma Hammami ou Radhia Nasraoui (nous ne savons pas lequel des deux), qui lui aurait demandé « d’arrondir les angles » pour écarter les suspicions qui pèsent sur le Front populaire.
C’est la faute aux journalistes, a laissé entendre ce mercenaire franco-tunisien qui a traficoté les résultats des premières élections, comme il a traficoté son diplôme fictif obtenu à l’Université Panthéon-Assas ! Jendoubi a martelé que « Monsieur le président de la république, (...) il ne faut pas lui faire dire ce qu'il n'a pas dit (…) certains journalistes ont déformé son discours » ! Pourtant, Hamma Hammami a avoué lui-même que ses troupes ont participé aux manifestations, mais que celles-ci "n'ont pas été encadrées par le Front populaire" !!!
Décidément, Kamel Jendoubi ne changera jamais. N’a-t-il pas autrefois appelé, avec le raciste Robert Ménard, les touristes français de ne pas se rendre en Tunisie ? N’a-t-il pas fait le siège de l’Union européenne à Bruxelles, avec Sihem Bensedrine, pour que l’on coupe les vivres à la Tunisie ? Que l'o brûle, que l'on pille, que l'on casse, que les touristes désertent la Tunisie, que les Tunisiens crèvent de faim, Kamel Jendoubi s'en fout totalement.
Nebil Ben Yahmed
On rappelle que le vendredi 22 janvier, lors d'un discours sur la chaine nationale, Béji Caïd Essebsi avait accusé, « des partis politiques de vouloir enflammer la situation ». Ces gens, a-t-il dit, « sont tous connus, nous les connaissons un par un, ils sont fichés et leurs appartenances partisanes sont connues ». L’allusion était parfaitement claire à Hamma Hammami (Front Populaire), à Moncef Marzouki (ex CPR) et à Ridha Belhaj (Hizb Ettahrir), ce que nous avons été les premiers à affirmer ici-même.
Selon des informations parvenues à notre journal d’une source policière, Kamel Jendoubi aurait rencontré dans la soirée du vendredi 22 janvier, dans une maison située à la cité Ennasr, Hamma Hammami ou Radhia Nasraoui (nous ne savons pas lequel des deux), qui lui aurait demandé « d’arrondir les angles » pour écarter les suspicions qui pèsent sur le Front populaire.
C’est la faute aux journalistes, a laissé entendre ce mercenaire franco-tunisien qui a traficoté les résultats des premières élections, comme il a traficoté son diplôme fictif obtenu à l’Université Panthéon-Assas ! Jendoubi a martelé que « Monsieur le président de la république, (...) il ne faut pas lui faire dire ce qu'il n'a pas dit (…) certains journalistes ont déformé son discours » ! Pourtant, Hamma Hammami a avoué lui-même que ses troupes ont participé aux manifestations, mais que celles-ci "n'ont pas été encadrées par le Front populaire" !!!
Décidément, Kamel Jendoubi ne changera jamais. N’a-t-il pas autrefois appelé, avec le raciste Robert Ménard, les touristes français de ne pas se rendre en Tunisie ? N’a-t-il pas fait le siège de l’Union européenne à Bruxelles, avec Sihem Bensedrine, pour que l’on coupe les vivres à la Tunisie ? Que l'o brûle, que l'on pille, que l'on casse, que les touristes désertent la Tunisie, que les Tunisiens crèvent de faim, Kamel Jendoubi s'en fout totalement.
Nebil Ben Yahmed