Jabeur Mejri, prisonnier d'opinion de l'Etat islamo-mafieux tunisien.
Sous Ben Ali, on n’entendait qu’eux, choyés et adulés par les médias occidentaux et les partis de gauche, avec Ennahdha qui voue une haine dogmatique aux libertés humaines, comme naguère les nazis aux juifs. On ne les entend plus les caméléons des droits de l’homme. Toutes ces petites frappes et vendus aux ennemis de la Tunisie, ont perdu la voix, ou plutôt leur honneur à supposer qu’ils en eussent un jour.
Aujourd’hui, passée l’euphorie pseudo-révolutionnaire, plus personne en Tunisie ne monte au créneau pour dénoncer et condamner les assassinats politiques et l es menaces de mort dont sont victimes les combattants pour les libertés.
Plus personne ne s’inquiète des atteintes graves et répétées aux droits humains et à la liberté de la presse, hormis les télévisions et les journaux qui se sont couchés devant la nouvelle idole islamiste. Le seul fait d’évoquer le sujet reviendrait à commettre un sacrilège.
De peur de subir le courroux de la secte -Etat et de se voir privé de leurs prébendes en violant la loi du sacré qui ne reconnaît à l’homme que des devoirs et jamais des droits, et enfreindre ainsi l’article 6 de la nouvelle Constitution tunisienne revue et corrigée par Sieur Noah Freedman, les mercenaires du droit- de l’hommisme, en tant que bons musulmans eux-mêmes, soucieux par conséquent du repos de leurs âmes tourmentées, préfèrent observer la loi du silence sur les exactions et les dérives liberticides du régime tyrannique islamiste.
Au temps de Ben Ali, les droits de l’homme avaient du sens apparemment. Aujourd’hui, il semble qu’ils ont perdu toute leur substance alors que le bilan d’Ennahdha en la matière n’a rien à envier à celui de ses maîtres wahhabites en Arabie Saoudite et au Qatar, ou khomeynistes en Iran. Jamais il n’y a eu en Tunisie en l’espace de 3 ans autant d’immolations par le feu, ni de meurtres des opposants, ni des menaces de mort, ni d’actes d’intimidation, ni de jugements iniques, ni autant d’ingérences dans les affaires de la justice. Un terroriste est blanchi et remis en liberté et un athée condamné pour avoir déclaré son insoumission à l’islam, sans que cela ne heurte les apôtres tunisiens du droit de l’hommisme.
De toute évidence, tout laisse croire que leur attitude trouble et lourde de sens en dit long sur leur collusion avec Ennahdha, connue pour sa générosité avec ses lèche-babouches. Ni Nasraoui à la surface financière florissante, ni Sihem Ben Sedrine, une collabo avérée royalement payée pour son silence, ni Oum Zied qui est toujours braquée sur l’ancien régime pour éviter les crimes de celui dont elle est complice, ni le juge Mokhtar Yahyaoui dont on n’entend plus parler tout occupé qu’il soit dans ses nouvelles affaires, ni Khemais Chammari qui ne désespère pas d’occuper un nouveau poste après son passage très silencieux à l’Unesco, ni Mokhtar Trifi, ni Taoufik Ben Brik, doublement salarié de RSF et de Kamel Eltaïef…
Depuis trois ans, aucun communiqué ni alerte sur l’état de dégradation exécrable des droits de l’homme en Tunisie, pire qu’au temps de Ben Ali. Eux qui étaient prompts à faire de l’agitation médiatique, à souffler sur la braise ou faire semblant d’observer des grèves de la faim, ils ont tous avalé leur langue de putois. Comme si désormais les droits de l’homme en Tunisie ne sont plus un sujet d’actualité et sources d’inquiétudes. Et pourtant, avec la nouvelle affaire de Mejri Jabeur ils avaient l’occasion de redorer leur blason des plus ternis. Aucune voix ne s’est élevée pour dénoncer le harcèlement judiciaire dont est victime Jabeur Mejri, qui vient de nouveau d’être incarcéré juste quelques jours après sa sortie de la prison de Mahdia pour une sombre affaire d’outrage à fonctionnaire, pour lui faire payer son vrai « crime » : l’outrage à Allah et à son prophète !
Son cas ne devrait certainement pas mériter leur attention surtout après avoir touché le jack pot grâce au coup de Trafalgar qui a emporté Ben Ali. Ils ont été tous, sans exception, récompensés par la secte des Frères musulmans au-delà de leurs espérances. Touchant tous leur Graal, de Moncef Marzougui nommé président de la République tunisienne alors que sa place serait dans un asile psychiatrique, à Mustapha Ben Jaafar promu président d’une ANC illégale et illégitime, à kamel Jendoubi, parachuté par ses maitres gauchistes parisiens et par ses payeurs islamistes tunisiens, président de l’ISIE, malgré un CV extrêmement léger et bidouillé (cf voir mon article à son sujet), ainsi que toutes les autres figures troubles et sulfureuses du droit de l’hommisme sous Ben Ali.
Maintenant qu’ils goûtent aux joies du pouvoir et du busines, ils ne vont pas se rabaisser pour s’indigner contre l’arbitraire et l’injustice dont fait l’objet Jabeur Mejri, qu’Ennnahdha cherche à acculer au suicide, pour avoir commis un blasphème « impardonnable » !
Salem Ben Ammar
Aujourd’hui, passée l’euphorie pseudo-révolutionnaire, plus personne en Tunisie ne monte au créneau pour dénoncer et condamner les assassinats politiques et l es menaces de mort dont sont victimes les combattants pour les libertés.
Plus personne ne s’inquiète des atteintes graves et répétées aux droits humains et à la liberté de la presse, hormis les télévisions et les journaux qui se sont couchés devant la nouvelle idole islamiste. Le seul fait d’évoquer le sujet reviendrait à commettre un sacrilège.
De peur de subir le courroux de la secte -Etat et de se voir privé de leurs prébendes en violant la loi du sacré qui ne reconnaît à l’homme que des devoirs et jamais des droits, et enfreindre ainsi l’article 6 de la nouvelle Constitution tunisienne revue et corrigée par Sieur Noah Freedman, les mercenaires du droit- de l’hommisme, en tant que bons musulmans eux-mêmes, soucieux par conséquent du repos de leurs âmes tourmentées, préfèrent observer la loi du silence sur les exactions et les dérives liberticides du régime tyrannique islamiste.
Au temps de Ben Ali, les droits de l’homme avaient du sens apparemment. Aujourd’hui, il semble qu’ils ont perdu toute leur substance alors que le bilan d’Ennahdha en la matière n’a rien à envier à celui de ses maîtres wahhabites en Arabie Saoudite et au Qatar, ou khomeynistes en Iran. Jamais il n’y a eu en Tunisie en l’espace de 3 ans autant d’immolations par le feu, ni de meurtres des opposants, ni des menaces de mort, ni d’actes d’intimidation, ni de jugements iniques, ni autant d’ingérences dans les affaires de la justice. Un terroriste est blanchi et remis en liberté et un athée condamné pour avoir déclaré son insoumission à l’islam, sans que cela ne heurte les apôtres tunisiens du droit de l’hommisme.
De toute évidence, tout laisse croire que leur attitude trouble et lourde de sens en dit long sur leur collusion avec Ennahdha, connue pour sa générosité avec ses lèche-babouches. Ni Nasraoui à la surface financière florissante, ni Sihem Ben Sedrine, une collabo avérée royalement payée pour son silence, ni Oum Zied qui est toujours braquée sur l’ancien régime pour éviter les crimes de celui dont elle est complice, ni le juge Mokhtar Yahyaoui dont on n’entend plus parler tout occupé qu’il soit dans ses nouvelles affaires, ni Khemais Chammari qui ne désespère pas d’occuper un nouveau poste après son passage très silencieux à l’Unesco, ni Mokhtar Trifi, ni Taoufik Ben Brik, doublement salarié de RSF et de Kamel Eltaïef…
Depuis trois ans, aucun communiqué ni alerte sur l’état de dégradation exécrable des droits de l’homme en Tunisie, pire qu’au temps de Ben Ali. Eux qui étaient prompts à faire de l’agitation médiatique, à souffler sur la braise ou faire semblant d’observer des grèves de la faim, ils ont tous avalé leur langue de putois. Comme si désormais les droits de l’homme en Tunisie ne sont plus un sujet d’actualité et sources d’inquiétudes. Et pourtant, avec la nouvelle affaire de Mejri Jabeur ils avaient l’occasion de redorer leur blason des plus ternis. Aucune voix ne s’est élevée pour dénoncer le harcèlement judiciaire dont est victime Jabeur Mejri, qui vient de nouveau d’être incarcéré juste quelques jours après sa sortie de la prison de Mahdia pour une sombre affaire d’outrage à fonctionnaire, pour lui faire payer son vrai « crime » : l’outrage à Allah et à son prophète !
Son cas ne devrait certainement pas mériter leur attention surtout après avoir touché le jack pot grâce au coup de Trafalgar qui a emporté Ben Ali. Ils ont été tous, sans exception, récompensés par la secte des Frères musulmans au-delà de leurs espérances. Touchant tous leur Graal, de Moncef Marzougui nommé président de la République tunisienne alors que sa place serait dans un asile psychiatrique, à Mustapha Ben Jaafar promu président d’une ANC illégale et illégitime, à kamel Jendoubi, parachuté par ses maitres gauchistes parisiens et par ses payeurs islamistes tunisiens, président de l’ISIE, malgré un CV extrêmement léger et bidouillé (cf voir mon article à son sujet), ainsi que toutes les autres figures troubles et sulfureuses du droit de l’hommisme sous Ben Ali.
Maintenant qu’ils goûtent aux joies du pouvoir et du busines, ils ne vont pas se rabaisser pour s’indigner contre l’arbitraire et l’injustice dont fait l’objet Jabeur Mejri, qu’Ennnahdha cherche à acculer au suicide, pour avoir commis un blasphème « impardonnable » !
Salem Ben Ammar