Bachar el-Assad, le Georges Clemenceau des Arabes.
Je suis le premier dans le monde à avoir prédit le retour de la guerre froide. C’était dans le journal électronique Tunisien Business News et moins d’une année après le 14 Janvier 2011, quand la Syrie plongeait dans une violence inédite lors de laquelle le régime laïque et nationaliste de Bashar Al Assad révélait une fois de plus au monde sa relation historique, étroite et loyale avec la Russie.
Oui, la guerre froide est de retour et en nationaliste Arabe, je m’en réjouis car après tout l’ex-guerre froide a vu le soutien indéfectible de l’URSS pour un monde Arabe délaissé et saboté par l’occident au profit d’Israël.
Qui ne se souvient pas du moment de gloire qu’a été l’affaire du Canal de Suez quand Moscou menaçait de frapper de ses missiles Paris et Londres et quand Israël, l’Angleterre, et la France rebroussaient chemin penauds face à un Nasser déterminé et un canal de Suez impraticable à la navigation par ses navires coulés par le Rais ? Ce jour la fut avec l’indépendance de la Tunisie, l’un des moments les plus glorieux de mon existence.
La troisième guerre mondiale a commencé
Mais cette nouvelle guerre froide n’en est plus une aujourd’hui. Il s’agit d’un début de troisième guerre mondiale dans laquelle les puissances nucléaires de l ‘OTAN et la Russie s’affrontent par pays interposés… Pour le moment !
Ce qui est encore plus grave est que la fin de cette guerre dans un futur proche est très improbable et qu’il est très probable aussi qu’elle se solde par la mort de millions de civils innocents comme ce fut le cas pendant la première et seconde guerre mondiale.
Mais pis que ça, cette guerre s’est étendue aux portes de la Russie, en Ukraine où l’OTAN inconsciente procède à des exercices militaires sous le nez d’un Moscou exaspéré et dont la constitution précise que ce pays historiquement proche des Arabes se réserve le droit d’utiliser l’arme nucléaire afin de préserver sa souveraineté et l’intégrité de son territoire.
La troisième guerre mondiale a débuté. Et si l’on compte les pogroms, exactions, atrocités, et meurtres commis en Syrie, en Libye, et en Irak, cette guerre aura très bientôt son million de mort et son génocide d’une minorité religieuse, comme pour la seconde guerre mondiale.
Il manque les camps de concentration mais ceux-ci existent dans les prisons Libyennes ou des geôliers salafistes proches de Bernard Henry Levi, entassent des noirs Africains accusés d’avoir travaillé pour le régime de Kadhafi. Et dans le cas des salafistes du levant en Irak, ils ont pour chambres à gaz ces fosses du désert ou ils enterrent vivants des femmes et des enfants ayant commis le crime d’être Chrétiens.
Le 14 janvier 2011 fut un coup d’Etat de la CIA
Cette guerre a eu comme incident déclencheur non pas l’assassinat d’un Archiduc ou l’invasion de la Pologne, mais l’immolation d’un repris de justice transformé en martyr d’un régime soi-disant abusif et dont les méfaits de sa belle-famille ont été exagérés, par des millions de Tunisiens l’un aussi inculte que l’autre. Un incident happé par la CIA qui après avoir commandité un officier de l’armée Tunisienne souffrant du complexe du blanc, a réalisé un des putschs les plus astucieux de son histoire. Même plus astucieux que ceux de Téhéran, de Saigon, de Santiago du Chili, ou du Guatemala.
Le coup d’état de la CIA du 14 Janvier 2011 s’est si habillement déroulé qu’il laisse encore un doute et une confusion au sein de la population Tunisienne qui croit encore dur comme fer que la rue a délogé Ben Ali de son Palais de Carthage dans une victoire du peuple qui a galvanisé d’autres révolutions de la liberté et de la dignité dans d’autres pays Arabes et leurs tyrans. Des révolutions dont les Gavroches sont en barbes et en qamis et brandissent des têtes coupées exsangues et aux yeux glauques.
Les coups d’états de la CIA portent en général la signature de ces services secrets destructeurs. Cet organisme ne porte en général pas de masque. Saigon et ses généraux ont même été jusqu’à attendre officiellement le feu vert de l’ambassade des Etats Unis qui pris la forme d’un appel téléphonique.
A Santiago au Chili, la CIA a mobilisé destroyers et sous-marins et des milliers de marines qui ont même procédé à un début de débarquement.
A Téhéran, le coup d’état contre Mossadeq a vu Kermit Roosevelt, petit-fils du Président Roosevelt, distribuer des billets de 100 dollars à la pègre des rues soutenue par les Mollahs de Qom et le Bazaris Iraniens pendant que l’armée du général Fazlollah Zahidi passait les menottes a un Président Mossadeq élu démocratiquement. Le coup d’état de Téhéran fut un coup d’état en devises qui couta la modique somme de dix milles dollars. Dix milles dollars pour démettre de ses fonctions le Président d’un pays au passé millénaire et cela afin que la Anglo Persian Oil Company, qui plus tard se nommera British Petroleum, puisse demeurer Britannique et alimenter en hydrocarbures les navires de l’empire de Londres se rendant en Inde ou à la corne de l’Afrique par le canal de Suez.
A Tunis pendant le mois de Février 2011, des billets de banque étaient distribués sur l’avenue Habib Bourguiba par des inconnus conduisant des Mercedes et cela peu avant la démission de Mohamed Ghannouchi. Sans doute que l’utilisation de billets en dollars aurait été trop voyante. Il arrive parfois à la CIA d’innover dans ses coups d’états. C’était aussi quand la CIA avait comme mission avec son domestique le Qatar, d’effondrer complètement le régime de Ben Ali et de ne laisser au pouvoir aucun de ses génies de hauts cadres. Les vides politiques sont propices à ces parasites de l’humanité que l’on appelle islamistes et qui sont nourris dans leurs cages spirituelles de fanatisme par la CIA, le MI6, et le Mossad.
Et l’on est en droit de se poser la question suivante aujourd’hui : combien a couté le coup d’état de Carthage du 14 Janvier 2011 ? J’espère qu’il aura couté plus que dix milles dollars, une somme si ridicule quelle serait humiliante pour la Tunisie et son passé et sa culture trois fois millénaires.
Les derniers grands hommes politiques Français sont De Gaulle, Chirac, et Le Pen
Et cette guerre où des Chrétiens sont enterrés vivant dans le désert Irakien a comme tête la CIA, le MI6, et le Mossad, mais comme corps et surtout comme banques le Qatar et l’Arabie Saoudite, pays d’autant plus riches que le prix du baril se maintient à un prix élevé et stable depuis que George W. Bush a raye l’Irak de la carte et plongé une région entière dans une guérilla Chiite contre Sunnite permanente.
Les régimes féodaux du Golfe et d’Arabie ont pour désir ultime de perdurer sur des siècles et leur survie dépend de la création de zones de l’Islam fanatique tampons dans le monde Arabe. Ces pays ne s’attaqueront jamais à Israël même si ce pays lui aussi commet son génocide, puisqu’ils servent l’état Hébreux indirectement, étant eux-mêmes et comme Israël de vastes bases militaires Américaines.
L’Arabie Saoudite, la Turquie, et le Qatar comme la Tunisie d’ailleurs, sont sous commandement Américain. Ils condamnent les atrocités d’Israël mais aident l’état Hébreux en obéissant à Washington et en faisant la promotion de l’islamisme et de sa barbarie dans le monde. Le Hamas est une création astucieuse du Mossad qui fera que les Palestiniens n’auront jamais de pays. Il n’y aura jamais plus d’autres accords de Camp David grâce à l’entêtement des islamistes Palestiniens tombés dans le piège de l’extrême droite Israélienne qui rêve même de raser la mosquée Al Aqsa de Jérusalem.
Lors de mes années à la Sorbonne, je me suis passionné de civilisation Russe surtout que j’eu la chance comme à Sadiki d’ailleurs, de côtoyer les professeurs d’histoire les plus intelligents et les plus cultivés. Il y a pour moi la civilisation Russe et le reste du monde.
Les Russes même s’ils sont parfois maladroits politiquement en public lors des conventions internationales où le sionisme sévit et commande, représentent des êtres humains remarquables. L’URSS a combattu le nazisme par elle-même sans quémander d’aide au Américains et sans résister pacifiquement par des gouvernements de Vichy. Les Russes ont préféré perdre dix millions d’hommes face à la sixième armée du Führer que de capituler.
La France quand a elle a succombé au Blitzkrieg mais pire que ça, elle a collaboré avec les nazis afin de maintenir un mode de vie aristocrate, raffiné, et sophistiqué pour sa classe politique. Finalement, certains Français n’étaient bons qu’à abattre des civils Algériens sans défense comme l’on abat un chien suspecté de porter le virus de la rage.
Certes la France m’a éduqué, mais ce que je reproche à ce pays est son aspect colonial dont le déguisement fluctue à travers les décennies. La France fait la promotion des droits de l’homme dans le monde pour être un pays encore plus colonial. Elle falsifie son passé génocidaire en Algérie pour condamner les autres génocides sauf celui d’Israël. Les derniers grands hommes politiques Français sont De Gaulle, Chirac, et Le Pen. Certains nouveaux hommes politiques Français sont des Menahem Begin et des Golda Meir déguisés, quand ils ne sont pas des Al Capone, comme celui qui a détruit la Libye et qui joue aujourd’hui au sauveur providentiel d’une France économiquement exsangue.
Oui, il m’arrive d’éprouver un certain ressentiment à l’égard de la France, même si sa culture me fascine et que certains de ses grands hommes forcent le respect. Mais je ne pardonne pas à ce pays d’avoir colonisé mon peuple et je fête la défaite de Dieng Bien Phu plus souvent que je ne fête mon propre anniversaire.
Et je ne désire même pas m’attarder sur la campagne militaire de la France en Libye qui, comme toute campagne coloniale, a détruit ce pays et son pauvre peuple agrippé à l’Islam comme solution à un sous-développement par choix.
Je n’ose également même pas m’étaler sur le support logistique et en armes apporté par François Hollande aux Salafistes Syriens, qui, aujourd’hui décapitent des Chrétiens de l’Irak et jouent de leurs têtes à la pétanque.
Oui, beaucoup de Français et certains de leurs hommes politiques, comme les Tunisiens d’ailleurs, sont des gueux. Même après des siècles de colonisation et de sévices commis en toute impunité, ils continuent à malmener de plein droit les peuples Arabes et à glorifier Israël.
Bachar el-Assad est le Georges Clemenceau des Arabes
Pour gagner les guerres, il faut s’attaquer aux infrastructures et au financement de ses ennemis. A la fin de seconde guerre mondiale, les alliés bombardaient toutes les nuits les usines de la Ruhr et les raffineries Allemandes. Un pays sans argent et sans pétrole ne peut guère mener de guerre. Pendant la première guerre du Golfe, l’armée Américaine qui avançait de ses tanks Abrams sur le Koweït, était suivie par des centaines de camions citernes. Dans une guerre, c’est le pétrole qui en est le nerf.
Cette troisième guerre mondiale pourrait durer des années surtout si l’on tient compte du triste fait que des pays comme l’Iran et le Liban pourraient être attaqués par les Djihadistes du levant et être entrainés dans ce conflit sanglant. L’homme qui sortira de ce conflit en héros légendaire sera non pas le Marechal Al Sissi, mais le Docteur Bashar Al Assad.
Le Marechal Al Sissi a certes sauvé son pays des griffes de l’Islam, mais il doit aller jusqu’au bout et rompre les accords de Camp David. Si l’on ne peut guère battre Israël militairement, ce pays doit être isolé et la victoire des Arabes viendra d’une guerre froide sans date limite qui réduira l’état Hébreux à une république de bananes désertique, surpeuplée, et ayant comme pendant le Troisième Reich une gestapo et des généraux répertoriés par l’ONU comme ayant commis des génocides en série. L’aide Américaine à l’Egypte est une forme de colonisation et de pression constante pour un maintien des relations diplomatiques avec Israël qui n’ont aucun sens. On ne doit pas se réconcilier avec un pays qui a un jour envisagé de lancer la bombe atomique sur Le Caire.
Comme je l’ai déjà mentionné, ce conflit sanglant fera de la Syrie le pays Arabe le plus puissant militairement. La Russie a besoin de la Syrie car celle-ci représente une zone tampon à l’islamisme qui guette ses populations musulmanes. Car si la Syrie tombait, les populations musulmanes du Nord Caucase entre la mer Caspienne et la mer Noire, basculeraient elle aussi dans le Jihad et s’attaqueraient au Kremlin. Apres tout, un sixième de la population Russe est musulmane.
Cette guerre pourrait être brève si la Syrie et son allié la Russie s’attaquaient aux infrastructures des sponsors du Jihad mondial, c’est-à-dire à l’Arabie Saoudite et au Qatar. Sans leurs infrastructures gazières et pétrolières, ces pays seraient neutralisés pour des décennies à venir et plongeraient dans la banqueroute.
La Russie a fourni à la Syrie des missiles balistiques de nouvelles générations mais ceux-ci, bien que très précis, ne peuvent atteindre que des villes comme Ankara ou Istanbul. La Turquie et son Erdogan sont un pays de gueux et une colonie Israélienne. Ils ne valent même pas un missile Russe.
Mais si la Russie devait installer en Syrie des missiles balistiques à longue portée qui attendraient les complexes gaziers du Qatar et les complexes pétroliers de l’Arabie Saoudite, la destruction de ces derniers marquerait un tournant dans cette guerre mondiale qui pourrait couter la vie a des dizaines de millions d’innocents.
Dans toute guerre, il faut une stratégie de réciprocité. Le Qatar et l’Arabie Saoudite s’apprêtent par leur cruauté et leur fausse version de l’islam à détruire le monde Arabe au profit de l’expansion d’Israël. Il s’agit d’ennemis du monde Arabe et de l’humanité.
La destruction de ces deux pays rendrait justice aux victimes de ce conflit mais aussi au Prophète Mohamed lui-même dont la parole a été usurpée par des régimes féodaux sanguinaires qui n’ont de respect ni pour eux-mêmes, ni pour l’espèce humaine.
Bashar Al Assad a débuté une guerre d’usure contre les Djihadistes de l’OTAN dont il ne peut que sortir victorieux. Une victoire qui fera de la Syrie un pays détruit mais renforcé comme la Russie après l’opération Barberousse d’Hitler. L’Armée rouge victorieuse a continué l’avancée de ses chars jusqu’à Berlin.
Les missiles de Bashar doivent atteindre Doha et Ryadh. Bashar Al Assad est le Georges Clemenceau des Arabes et Il doit être comme lui jusqu'au-boutiste.
F.M. Alias JOHN WAYNE. Ancien élève au Collège Sadiki, diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne. Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali. Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.
Oui, la guerre froide est de retour et en nationaliste Arabe, je m’en réjouis car après tout l’ex-guerre froide a vu le soutien indéfectible de l’URSS pour un monde Arabe délaissé et saboté par l’occident au profit d’Israël.
Qui ne se souvient pas du moment de gloire qu’a été l’affaire du Canal de Suez quand Moscou menaçait de frapper de ses missiles Paris et Londres et quand Israël, l’Angleterre, et la France rebroussaient chemin penauds face à un Nasser déterminé et un canal de Suez impraticable à la navigation par ses navires coulés par le Rais ? Ce jour la fut avec l’indépendance de la Tunisie, l’un des moments les plus glorieux de mon existence.
La troisième guerre mondiale a commencé
Mais cette nouvelle guerre froide n’en est plus une aujourd’hui. Il s’agit d’un début de troisième guerre mondiale dans laquelle les puissances nucléaires de l ‘OTAN et la Russie s’affrontent par pays interposés… Pour le moment !
Ce qui est encore plus grave est que la fin de cette guerre dans un futur proche est très improbable et qu’il est très probable aussi qu’elle se solde par la mort de millions de civils innocents comme ce fut le cas pendant la première et seconde guerre mondiale.
Mais pis que ça, cette guerre s’est étendue aux portes de la Russie, en Ukraine où l’OTAN inconsciente procède à des exercices militaires sous le nez d’un Moscou exaspéré et dont la constitution précise que ce pays historiquement proche des Arabes se réserve le droit d’utiliser l’arme nucléaire afin de préserver sa souveraineté et l’intégrité de son territoire.
La troisième guerre mondiale a débuté. Et si l’on compte les pogroms, exactions, atrocités, et meurtres commis en Syrie, en Libye, et en Irak, cette guerre aura très bientôt son million de mort et son génocide d’une minorité religieuse, comme pour la seconde guerre mondiale.
Il manque les camps de concentration mais ceux-ci existent dans les prisons Libyennes ou des geôliers salafistes proches de Bernard Henry Levi, entassent des noirs Africains accusés d’avoir travaillé pour le régime de Kadhafi. Et dans le cas des salafistes du levant en Irak, ils ont pour chambres à gaz ces fosses du désert ou ils enterrent vivants des femmes et des enfants ayant commis le crime d’être Chrétiens.
Le 14 janvier 2011 fut un coup d’Etat de la CIA
Cette guerre a eu comme incident déclencheur non pas l’assassinat d’un Archiduc ou l’invasion de la Pologne, mais l’immolation d’un repris de justice transformé en martyr d’un régime soi-disant abusif et dont les méfaits de sa belle-famille ont été exagérés, par des millions de Tunisiens l’un aussi inculte que l’autre. Un incident happé par la CIA qui après avoir commandité un officier de l’armée Tunisienne souffrant du complexe du blanc, a réalisé un des putschs les plus astucieux de son histoire. Même plus astucieux que ceux de Téhéran, de Saigon, de Santiago du Chili, ou du Guatemala.
Le coup d’état de la CIA du 14 Janvier 2011 s’est si habillement déroulé qu’il laisse encore un doute et une confusion au sein de la population Tunisienne qui croit encore dur comme fer que la rue a délogé Ben Ali de son Palais de Carthage dans une victoire du peuple qui a galvanisé d’autres révolutions de la liberté et de la dignité dans d’autres pays Arabes et leurs tyrans. Des révolutions dont les Gavroches sont en barbes et en qamis et brandissent des têtes coupées exsangues et aux yeux glauques.
Les coups d’états de la CIA portent en général la signature de ces services secrets destructeurs. Cet organisme ne porte en général pas de masque. Saigon et ses généraux ont même été jusqu’à attendre officiellement le feu vert de l’ambassade des Etats Unis qui pris la forme d’un appel téléphonique.
A Santiago au Chili, la CIA a mobilisé destroyers et sous-marins et des milliers de marines qui ont même procédé à un début de débarquement.
A Téhéran, le coup d’état contre Mossadeq a vu Kermit Roosevelt, petit-fils du Président Roosevelt, distribuer des billets de 100 dollars à la pègre des rues soutenue par les Mollahs de Qom et le Bazaris Iraniens pendant que l’armée du général Fazlollah Zahidi passait les menottes a un Président Mossadeq élu démocratiquement. Le coup d’état de Téhéran fut un coup d’état en devises qui couta la modique somme de dix milles dollars. Dix milles dollars pour démettre de ses fonctions le Président d’un pays au passé millénaire et cela afin que la Anglo Persian Oil Company, qui plus tard se nommera British Petroleum, puisse demeurer Britannique et alimenter en hydrocarbures les navires de l’empire de Londres se rendant en Inde ou à la corne de l’Afrique par le canal de Suez.
A Tunis pendant le mois de Février 2011, des billets de banque étaient distribués sur l’avenue Habib Bourguiba par des inconnus conduisant des Mercedes et cela peu avant la démission de Mohamed Ghannouchi. Sans doute que l’utilisation de billets en dollars aurait été trop voyante. Il arrive parfois à la CIA d’innover dans ses coups d’états. C’était aussi quand la CIA avait comme mission avec son domestique le Qatar, d’effondrer complètement le régime de Ben Ali et de ne laisser au pouvoir aucun de ses génies de hauts cadres. Les vides politiques sont propices à ces parasites de l’humanité que l’on appelle islamistes et qui sont nourris dans leurs cages spirituelles de fanatisme par la CIA, le MI6, et le Mossad.
Et l’on est en droit de se poser la question suivante aujourd’hui : combien a couté le coup d’état de Carthage du 14 Janvier 2011 ? J’espère qu’il aura couté plus que dix milles dollars, une somme si ridicule quelle serait humiliante pour la Tunisie et son passé et sa culture trois fois millénaires.
Les derniers grands hommes politiques Français sont De Gaulle, Chirac, et Le Pen
Et cette guerre où des Chrétiens sont enterrés vivant dans le désert Irakien a comme tête la CIA, le MI6, et le Mossad, mais comme corps et surtout comme banques le Qatar et l’Arabie Saoudite, pays d’autant plus riches que le prix du baril se maintient à un prix élevé et stable depuis que George W. Bush a raye l’Irak de la carte et plongé une région entière dans une guérilla Chiite contre Sunnite permanente.
Les régimes féodaux du Golfe et d’Arabie ont pour désir ultime de perdurer sur des siècles et leur survie dépend de la création de zones de l’Islam fanatique tampons dans le monde Arabe. Ces pays ne s’attaqueront jamais à Israël même si ce pays lui aussi commet son génocide, puisqu’ils servent l’état Hébreux indirectement, étant eux-mêmes et comme Israël de vastes bases militaires Américaines.
L’Arabie Saoudite, la Turquie, et le Qatar comme la Tunisie d’ailleurs, sont sous commandement Américain. Ils condamnent les atrocités d’Israël mais aident l’état Hébreux en obéissant à Washington et en faisant la promotion de l’islamisme et de sa barbarie dans le monde. Le Hamas est une création astucieuse du Mossad qui fera que les Palestiniens n’auront jamais de pays. Il n’y aura jamais plus d’autres accords de Camp David grâce à l’entêtement des islamistes Palestiniens tombés dans le piège de l’extrême droite Israélienne qui rêve même de raser la mosquée Al Aqsa de Jérusalem.
Lors de mes années à la Sorbonne, je me suis passionné de civilisation Russe surtout que j’eu la chance comme à Sadiki d’ailleurs, de côtoyer les professeurs d’histoire les plus intelligents et les plus cultivés. Il y a pour moi la civilisation Russe et le reste du monde.
Les Russes même s’ils sont parfois maladroits politiquement en public lors des conventions internationales où le sionisme sévit et commande, représentent des êtres humains remarquables. L’URSS a combattu le nazisme par elle-même sans quémander d’aide au Américains et sans résister pacifiquement par des gouvernements de Vichy. Les Russes ont préféré perdre dix millions d’hommes face à la sixième armée du Führer que de capituler.
La France quand a elle a succombé au Blitzkrieg mais pire que ça, elle a collaboré avec les nazis afin de maintenir un mode de vie aristocrate, raffiné, et sophistiqué pour sa classe politique. Finalement, certains Français n’étaient bons qu’à abattre des civils Algériens sans défense comme l’on abat un chien suspecté de porter le virus de la rage.
Certes la France m’a éduqué, mais ce que je reproche à ce pays est son aspect colonial dont le déguisement fluctue à travers les décennies. La France fait la promotion des droits de l’homme dans le monde pour être un pays encore plus colonial. Elle falsifie son passé génocidaire en Algérie pour condamner les autres génocides sauf celui d’Israël. Les derniers grands hommes politiques Français sont De Gaulle, Chirac, et Le Pen. Certains nouveaux hommes politiques Français sont des Menahem Begin et des Golda Meir déguisés, quand ils ne sont pas des Al Capone, comme celui qui a détruit la Libye et qui joue aujourd’hui au sauveur providentiel d’une France économiquement exsangue.
Oui, il m’arrive d’éprouver un certain ressentiment à l’égard de la France, même si sa culture me fascine et que certains de ses grands hommes forcent le respect. Mais je ne pardonne pas à ce pays d’avoir colonisé mon peuple et je fête la défaite de Dieng Bien Phu plus souvent que je ne fête mon propre anniversaire.
Et je ne désire même pas m’attarder sur la campagne militaire de la France en Libye qui, comme toute campagne coloniale, a détruit ce pays et son pauvre peuple agrippé à l’Islam comme solution à un sous-développement par choix.
Je n’ose également même pas m’étaler sur le support logistique et en armes apporté par François Hollande aux Salafistes Syriens, qui, aujourd’hui décapitent des Chrétiens de l’Irak et jouent de leurs têtes à la pétanque.
Oui, beaucoup de Français et certains de leurs hommes politiques, comme les Tunisiens d’ailleurs, sont des gueux. Même après des siècles de colonisation et de sévices commis en toute impunité, ils continuent à malmener de plein droit les peuples Arabes et à glorifier Israël.
Bachar el-Assad est le Georges Clemenceau des Arabes
Pour gagner les guerres, il faut s’attaquer aux infrastructures et au financement de ses ennemis. A la fin de seconde guerre mondiale, les alliés bombardaient toutes les nuits les usines de la Ruhr et les raffineries Allemandes. Un pays sans argent et sans pétrole ne peut guère mener de guerre. Pendant la première guerre du Golfe, l’armée Américaine qui avançait de ses tanks Abrams sur le Koweït, était suivie par des centaines de camions citernes. Dans une guerre, c’est le pétrole qui en est le nerf.
Cette troisième guerre mondiale pourrait durer des années surtout si l’on tient compte du triste fait que des pays comme l’Iran et le Liban pourraient être attaqués par les Djihadistes du levant et être entrainés dans ce conflit sanglant. L’homme qui sortira de ce conflit en héros légendaire sera non pas le Marechal Al Sissi, mais le Docteur Bashar Al Assad.
Le Marechal Al Sissi a certes sauvé son pays des griffes de l’Islam, mais il doit aller jusqu’au bout et rompre les accords de Camp David. Si l’on ne peut guère battre Israël militairement, ce pays doit être isolé et la victoire des Arabes viendra d’une guerre froide sans date limite qui réduira l’état Hébreux à une république de bananes désertique, surpeuplée, et ayant comme pendant le Troisième Reich une gestapo et des généraux répertoriés par l’ONU comme ayant commis des génocides en série. L’aide Américaine à l’Egypte est une forme de colonisation et de pression constante pour un maintien des relations diplomatiques avec Israël qui n’ont aucun sens. On ne doit pas se réconcilier avec un pays qui a un jour envisagé de lancer la bombe atomique sur Le Caire.
Comme je l’ai déjà mentionné, ce conflit sanglant fera de la Syrie le pays Arabe le plus puissant militairement. La Russie a besoin de la Syrie car celle-ci représente une zone tampon à l’islamisme qui guette ses populations musulmanes. Car si la Syrie tombait, les populations musulmanes du Nord Caucase entre la mer Caspienne et la mer Noire, basculeraient elle aussi dans le Jihad et s’attaqueraient au Kremlin. Apres tout, un sixième de la population Russe est musulmane.
Cette guerre pourrait être brève si la Syrie et son allié la Russie s’attaquaient aux infrastructures des sponsors du Jihad mondial, c’est-à-dire à l’Arabie Saoudite et au Qatar. Sans leurs infrastructures gazières et pétrolières, ces pays seraient neutralisés pour des décennies à venir et plongeraient dans la banqueroute.
La Russie a fourni à la Syrie des missiles balistiques de nouvelles générations mais ceux-ci, bien que très précis, ne peuvent atteindre que des villes comme Ankara ou Istanbul. La Turquie et son Erdogan sont un pays de gueux et une colonie Israélienne. Ils ne valent même pas un missile Russe.
Mais si la Russie devait installer en Syrie des missiles balistiques à longue portée qui attendraient les complexes gaziers du Qatar et les complexes pétroliers de l’Arabie Saoudite, la destruction de ces derniers marquerait un tournant dans cette guerre mondiale qui pourrait couter la vie a des dizaines de millions d’innocents.
Dans toute guerre, il faut une stratégie de réciprocité. Le Qatar et l’Arabie Saoudite s’apprêtent par leur cruauté et leur fausse version de l’islam à détruire le monde Arabe au profit de l’expansion d’Israël. Il s’agit d’ennemis du monde Arabe et de l’humanité.
La destruction de ces deux pays rendrait justice aux victimes de ce conflit mais aussi au Prophète Mohamed lui-même dont la parole a été usurpée par des régimes féodaux sanguinaires qui n’ont de respect ni pour eux-mêmes, ni pour l’espèce humaine.
Bashar Al Assad a débuté une guerre d’usure contre les Djihadistes de l’OTAN dont il ne peut que sortir victorieux. Une victoire qui fera de la Syrie un pays détruit mais renforcé comme la Russie après l’opération Barberousse d’Hitler. L’Armée rouge victorieuse a continué l’avancée de ses chars jusqu’à Berlin.
Les missiles de Bashar doivent atteindre Doha et Ryadh. Bashar Al Assad est le Georges Clemenceau des Arabes et Il doit être comme lui jusqu'au-boutiste.
F.M. Alias JOHN WAYNE. Ancien élève au Collège Sadiki, diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne. Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali. Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.