Hamma Hammami, le dernier des dinosaures communistes, nostalgique du bolchevisme d'un autre siècle, qui se nourrit de la réaction, comme Rached Ghannouchi s’abreuve de l'ultra-réaction et de la haine de la Tunisie, tu peux toujours faire le charmeur de serpents et te livrer à ton exercice narcissique d’autosatisfaction.
Satisfait de quoi au juste ? D’avoir ouvert la voie royale à Ennahdha avec ta Casbah1, Casbah2 et ta connerie de Constituante, la cause de tous les tourments actuels de la Tunisie. Tu t’es pris pour Robespierre, mais sans la lucidité, ni le courage ni la vision politique qui faisaient d’un politicien médiocre, un politicien digne de ce nom.
Ton discours d’hier n’a pas de quoi te faire entrer dans le Panthéon de l'histoire tunisienne. Car tu leur as servi un plat réchauffé qui ne t'a demandé aucun effort pour sa préparation, la vraie politique est d'innover, de sortir des sentiers battus, d'avoir ce petit grain de folie propre aux grands chefs.
Je constate qu'en Tunisie, vous êtes encore à l’âge de pierre dans l'art de la politique, orphelins de Ben Ali qui vous a fait exister sur la scène où vous lui serviez de marionnettes qu'il faisait valser selon les circonstances. C'est pourquoi ni toi ni tes congénères n'ont aucune envergure pour servir de catalyseur au réveil des consciences citoyennes.
La politique, la noble, la pure, la vraie, ne consiste pas à brasser du vent, à faire le Don Quichotte dans un combat épique contre les moulins à vents, ou à mener un combat d'arrière-garde à l'image du tien.
Après avoir laissé le feu tout embraser sur son passage tu t'es mis à l'éteindre. Connais-tu au moins la vraie définition du mot politique. Tu n'es pas Bourguiba, ni Kémal Atatürk, des novateurs, capables de révolutionner les mentalités au risque de heurter leurs concitoyens dans leur croyance.
Faire souffler un vent de changement comme un Pierre le Grand qui se transforme en tempête balayant toutes les forces conservatrices. S'opposer n'est pas proposer et surtout impulser un nouveau changement de cap pour la Tunisie.
Te voilà renouant avec tes vieux démons de ton passé bénalien, en t'agitant comme un forcené hystérique, imbu de sa personne, convaincu qu'il est le seul à avoir raison après tout le monde. On dit que la France a un train de retard mais toi tu es encore là à t'emmêler les pieds dans la neige comme un bolchevique en 1918.
Tu rêves du modèle bolchevique en Tunisie, comme ton ancien partenaire Ghannouchi rêve du modèle wahhabite pour le pays d'Ibn Khaldun, comme si la Tunisie ne pouvait pas être un modèle pour elle-même.
Du copier-coller, c'est tout ce que tu connais de la politique, alors que la politique est de faire du sur mesure et non pas d’appliquer benoîtement à la lettre les recettes du voisin surtout quand elles sont dépassées et périmées.
Comme tu as toujours regardé l'histoire du monde dans le rétroviseur bolchevique, tu ne peux pas anticiper sur les événements, et tes propos d'hier, il fallait les tenir bien avant le 23 octobre 2011 et mettre les tunisiens en garde sur les choix des instances de la mise à mort de la souveraineté nationale, sur la haute nocivité d’Ennahdha et de ses desseins antipatriotiques, scélérats et criminels pour la Tunisie.
Faire de la politique, c’est prévoir, oser et braver le danger. Que tu viennes aujourd’hui dresser le bilan d’Ennahdha et dénoncer ses dérives terroristes qui ne sont plus un secret pour personne, c’est à ton honneur, mais cela ne te dédouane pas de tes irresponsabilités. Sache que cela ne va pas faire vibrer les tunisiens et faire de toi un leader politique que tu ne peux être car tu as raté le rendez-vous de l’histoire et ce n’est pas en prenant tardivement en marche son train que tu vas pouvoir rattraper le terrain perdu.
Est-ce qu’il s’agit d’un simple calcul opportuniste de ta part ? Il n’y a que toi et toi seul qui pourrais y répondre. Ce bilan était prévisible dans ses moindres petits détails sauf pour les naïfs comme ceux qui ont pactisé avec le Satan wahhabite dans la ferveur de la pseudo révolution, serrant la main à R. Ghannouchi.
Comme si un Besancenot pouvait serrer la main à Marine le Pen, dont les mains ne sont pourtant pas tâchées de sang comme celles de cet ignoble individu avec qui tu avais fait une photo de famille au lendemain de son retour indécent de son exil doré londonien..
Il ne fallait pas laisser la rivière polluée sortir de son lit, il fallait faire le travail en amont et combattre le mal avant qu’il ne se déclare. La politique est aussi de la prévention et de la vigilance. Maintenant que les dégâts sont là, tu peux toujours faire le coq qui chante les pattes dans le fumier.
Qualifier la politique d’Ennahdha de réactionnaire wahhabite, c’est tout simplement un manque de discernement grave et ignorer qu'il il s’agit d’une politique non seulement fasciste mais surtout nazie et génocidaire. Tunisie-Secret.com
Salem Ben Ammar
Satisfait de quoi au juste ? D’avoir ouvert la voie royale à Ennahdha avec ta Casbah1, Casbah2 et ta connerie de Constituante, la cause de tous les tourments actuels de la Tunisie. Tu t’es pris pour Robespierre, mais sans la lucidité, ni le courage ni la vision politique qui faisaient d’un politicien médiocre, un politicien digne de ce nom.
Ton discours d’hier n’a pas de quoi te faire entrer dans le Panthéon de l'histoire tunisienne. Car tu leur as servi un plat réchauffé qui ne t'a demandé aucun effort pour sa préparation, la vraie politique est d'innover, de sortir des sentiers battus, d'avoir ce petit grain de folie propre aux grands chefs.
Je constate qu'en Tunisie, vous êtes encore à l’âge de pierre dans l'art de la politique, orphelins de Ben Ali qui vous a fait exister sur la scène où vous lui serviez de marionnettes qu'il faisait valser selon les circonstances. C'est pourquoi ni toi ni tes congénères n'ont aucune envergure pour servir de catalyseur au réveil des consciences citoyennes.
La politique, la noble, la pure, la vraie, ne consiste pas à brasser du vent, à faire le Don Quichotte dans un combat épique contre les moulins à vents, ou à mener un combat d'arrière-garde à l'image du tien.
Après avoir laissé le feu tout embraser sur son passage tu t'es mis à l'éteindre. Connais-tu au moins la vraie définition du mot politique. Tu n'es pas Bourguiba, ni Kémal Atatürk, des novateurs, capables de révolutionner les mentalités au risque de heurter leurs concitoyens dans leur croyance.
Faire souffler un vent de changement comme un Pierre le Grand qui se transforme en tempête balayant toutes les forces conservatrices. S'opposer n'est pas proposer et surtout impulser un nouveau changement de cap pour la Tunisie.
Te voilà renouant avec tes vieux démons de ton passé bénalien, en t'agitant comme un forcené hystérique, imbu de sa personne, convaincu qu'il est le seul à avoir raison après tout le monde. On dit que la France a un train de retard mais toi tu es encore là à t'emmêler les pieds dans la neige comme un bolchevique en 1918.
Tu rêves du modèle bolchevique en Tunisie, comme ton ancien partenaire Ghannouchi rêve du modèle wahhabite pour le pays d'Ibn Khaldun, comme si la Tunisie ne pouvait pas être un modèle pour elle-même.
Du copier-coller, c'est tout ce que tu connais de la politique, alors que la politique est de faire du sur mesure et non pas d’appliquer benoîtement à la lettre les recettes du voisin surtout quand elles sont dépassées et périmées.
Comme tu as toujours regardé l'histoire du monde dans le rétroviseur bolchevique, tu ne peux pas anticiper sur les événements, et tes propos d'hier, il fallait les tenir bien avant le 23 octobre 2011 et mettre les tunisiens en garde sur les choix des instances de la mise à mort de la souveraineté nationale, sur la haute nocivité d’Ennahdha et de ses desseins antipatriotiques, scélérats et criminels pour la Tunisie.
Faire de la politique, c’est prévoir, oser et braver le danger. Que tu viennes aujourd’hui dresser le bilan d’Ennahdha et dénoncer ses dérives terroristes qui ne sont plus un secret pour personne, c’est à ton honneur, mais cela ne te dédouane pas de tes irresponsabilités. Sache que cela ne va pas faire vibrer les tunisiens et faire de toi un leader politique que tu ne peux être car tu as raté le rendez-vous de l’histoire et ce n’est pas en prenant tardivement en marche son train que tu vas pouvoir rattraper le terrain perdu.
Est-ce qu’il s’agit d’un simple calcul opportuniste de ta part ? Il n’y a que toi et toi seul qui pourrais y répondre. Ce bilan était prévisible dans ses moindres petits détails sauf pour les naïfs comme ceux qui ont pactisé avec le Satan wahhabite dans la ferveur de la pseudo révolution, serrant la main à R. Ghannouchi.
Comme si un Besancenot pouvait serrer la main à Marine le Pen, dont les mains ne sont pourtant pas tâchées de sang comme celles de cet ignoble individu avec qui tu avais fait une photo de famille au lendemain de son retour indécent de son exil doré londonien..
Il ne fallait pas laisser la rivière polluée sortir de son lit, il fallait faire le travail en amont et combattre le mal avant qu’il ne se déclare. La politique est aussi de la prévention et de la vigilance. Maintenant que les dégâts sont là, tu peux toujours faire le coq qui chante les pattes dans le fumier.
Qualifier la politique d’Ennahdha de réactionnaire wahhabite, c’est tout simplement un manque de discernement grave et ignorer qu'il il s’agit d’une politique non seulement fasciste mais surtout nazie et génocidaire. Tunisie-Secret.com
Salem Ben Ammar