Une fois de plus, une fois de trop, cet avocassier vient d’interdire la diffusion d’une interview que Slim Chiboub a accordée à Moez Ben Gharbia pour la chaine de télévision Attounissia et qui devait passer dans la soirée du 22 novembre 2012. Comme d’habitude, il a agit en tant que protecteur suprême de la « révolution du jasmin », cette interview constituant bien évidemmen une grande menace sur la paix civile en Tunisie !
Cet individu, Fathi Layouni, les Tunisiens l’ont connu sous l’ancien régime employé de Larbi Nasra sur Hannibal TV, où il faisait office de commentateur judiciaire pour des affaires de divorces ou de disputes entre voisins. Depuis la « révolution du jasmin », cet avocassier s’est autoproclamé conscience du peuple et gardien de la « révolution tunisienne ».
Cet individu, Fathi Layouni, les Tunisiens l’ont connu sous l’ancien régime employé de Larbi Nasra sur Hannibal TV, où il faisait office de commentateur judiciaire pour des affaires de divorces ou de disputes entre voisins. Depuis la « révolution du jasmin », cet avocassier s’est autoproclamé conscience du peuple et gardien de la « révolution tunisienne ».
Il dépose entre cinq et dix plaintes par mois. Tantôt, c’est contre un journaliste (Sami Fehri) qui n’aurait pas interviewé la bonne personne, tantôt c’est contre un humoriste (Lotfi Abdelli) qui aurait porté atteinte à la morale, tantôt c’est contre un homme d’affaire ou un homme politique (Mohamed Brahmi, Ahmed Kaskousi), tantôt c’est contre Nessma TV et Beji Caïd Essebsi en raison de la fuite de l’enregistrement entre ce dernier et Hammadi Jebali…
Monsieur l’avocassier traque ce qu’il considère comme étant de contre-révolutionnaires parce qu’il est membre de la ridicule « Haute instance pour les objectifs de la révolution ». Lorsque cette instance compte parmi ses membres des vermines comme ce Fathi Layouni, on peut comprendre pourquoi elle a raté tous les objectifs de la « révolution » ! Qui est donc ce Fathi Layouni que la « révolution du jasmin » a sorti de l’obscurité comme beaucoup d’autres misérables opportunistes ?
Ses collègues avocats le savaient corrompu et dépouilleur de la veuve et de l’orphelin, sous l’ancien régime. Membre du RCD depuis 1991, il avait publié en 1997, en arabe un livre (en fait son mémoire de fin d’étude) sur « Les crimes financiers dans la législation tunisienne et les législations comparées ». Un travail pseudo-universitaire qui était en réalité un discours de propagande du RCD. Ce livre, une commande d’Abdelaziz Ben Diah, a été préfacé par Salah Bouras, premier président à l’époque de la cour d’Appel de Tunis. Une préface qui présente Ben Ali comme le sauveur de la Tunisie, l’architecte du changement historique et le grand guerrier contre la corruption ! Fathi Layouni écrit dans ce livre que vous pouvez trouver dans les bibliothèques des facultés de droit que « La Tunisie, après le changement historique du 7 novembre 1987, a commencé une politique d’ouverture et de libéralisation consistant en plusieurs lois qui encouragent l’investissement pour renforcer l’économie nationale… Après ces multiples réformes, son Excellence le Président Zine Al-Abidine Ben Ali a annoncé le 27 décembre 1992, la libéralisation du dinar tunisien, une mesure qui a eu un impact considérable sur la prospérité économique de la Tunisie… ».
Ce lèche botte de Ben Ali et propagandiste du RCD pourrait dire aujourd’hui qu’il avait écrit ce livre sous la contrainte et même sous la menace de mort. En réalité, par toutes ses actions judiciaires commandées, cette vermine cherche à se refaire une virginité et à conserver sa petite fortune constituée à l’époque de la dictature (terrain AFH de 2000 m2 à l’Ariana, licence d’import-export, crédit de la STB de 300000 dinars).
Depuis la « révolution du jasmin », comme beaucoup d’autres rcédistes, il s’est mis au service des islamistes, qui lavent plus blanc que les Trabelsi. Il agit sous instruction d’Ennahda qui le rétribue en contrepartie. Sa dernière affaire, interdire par décision de justice l’interview de Slim Chiboub, qui devait passer sur Attounissia. Mais cette fois-ci, il n’a pas agit sous les ordres d’Ennahda mais à la demande d’un patron de télévision concurrente à Attounissia, dont on va taire le nom pour le moment.
Nebil Ben Yahmed
http://www.tunisie-secret.com
Monsieur l’avocassier traque ce qu’il considère comme étant de contre-révolutionnaires parce qu’il est membre de la ridicule « Haute instance pour les objectifs de la révolution ». Lorsque cette instance compte parmi ses membres des vermines comme ce Fathi Layouni, on peut comprendre pourquoi elle a raté tous les objectifs de la « révolution » ! Qui est donc ce Fathi Layouni que la « révolution du jasmin » a sorti de l’obscurité comme beaucoup d’autres misérables opportunistes ?
Ses collègues avocats le savaient corrompu et dépouilleur de la veuve et de l’orphelin, sous l’ancien régime. Membre du RCD depuis 1991, il avait publié en 1997, en arabe un livre (en fait son mémoire de fin d’étude) sur « Les crimes financiers dans la législation tunisienne et les législations comparées ». Un travail pseudo-universitaire qui était en réalité un discours de propagande du RCD. Ce livre, une commande d’Abdelaziz Ben Diah, a été préfacé par Salah Bouras, premier président à l’époque de la cour d’Appel de Tunis. Une préface qui présente Ben Ali comme le sauveur de la Tunisie, l’architecte du changement historique et le grand guerrier contre la corruption ! Fathi Layouni écrit dans ce livre que vous pouvez trouver dans les bibliothèques des facultés de droit que « La Tunisie, après le changement historique du 7 novembre 1987, a commencé une politique d’ouverture et de libéralisation consistant en plusieurs lois qui encouragent l’investissement pour renforcer l’économie nationale… Après ces multiples réformes, son Excellence le Président Zine Al-Abidine Ben Ali a annoncé le 27 décembre 1992, la libéralisation du dinar tunisien, une mesure qui a eu un impact considérable sur la prospérité économique de la Tunisie… ».
Ce lèche botte de Ben Ali et propagandiste du RCD pourrait dire aujourd’hui qu’il avait écrit ce livre sous la contrainte et même sous la menace de mort. En réalité, par toutes ses actions judiciaires commandées, cette vermine cherche à se refaire une virginité et à conserver sa petite fortune constituée à l’époque de la dictature (terrain AFH de 2000 m2 à l’Ariana, licence d’import-export, crédit de la STB de 300000 dinars).
Depuis la « révolution du jasmin », comme beaucoup d’autres rcédistes, il s’est mis au service des islamistes, qui lavent plus blanc que les Trabelsi. Il agit sous instruction d’Ennahda qui le rétribue en contrepartie. Sa dernière affaire, interdire par décision de justice l’interview de Slim Chiboub, qui devait passer sur Attounissia. Mais cette fois-ci, il n’a pas agit sous les ordres d’Ennahda mais à la demande d’un patron de télévision concurrente à Attounissia, dont on va taire le nom pour le moment.
Nebil Ben Yahmed
http://www.tunisie-secret.com