De sources dignes de confiance, trois terroristes islamistes ont récemment quitté Tunis pour l’Europe avec pour mission l’assassinat de notre collaborateur Salem Ben Ammar, de Jalel Brick, de Mohamed Amine Slama, et de Noureddine Ferjani, quatre opposants qui sont connues pour leurs critiques virulentes à l’égard de l’islamisme. Dans le cas de Salem Ben Ammar et Jalel Brick, des fatwas ont même été émises depuis près de deux ans, pour « islamophobie » et « atteinte au prophète ». Prétexte habituel des fanatiques et des obscurantistes pour faire taire les voix libres.
Quant à Mohamed Amine Slama, il est le numéro 2 du Parti Pirate tunisien, que Slaheddine Kchouk a fondé et que le cyber-collabos Slim Amamou a essayé de s'approprier. Mohamed Amine Slama a été parmis les premiers cybers-activistes tunisiens à avoir participé à la "révolution 2.0". Depuis, il a rapidement compris les tenants et aboutissants de cette "révolution" suscitée par certains services et ONG américaines, dont il dénonce aujourd'hui les méfaits et forfaits. Il y a une semaine, son avocat Sabri Ziadi a été "suicidé" en Tunisie !
Les trois terroristes en question bénéficieraient de complicités déjà présentes en France et en Allemagne, qui seront chargées de leur fournir l’aide logistique nécessaire à leur basse besogne : armes, voitures, argent, repérage d’adresses, filature…
Outre ces quatre opposants irréductibles dont la presse tunisienne n’évoque jamais les noms ( !), beaucoup d’autres personnalités tunisiennes exilées en France ou en Europe se sentent d’autant plus menacées que les islamo-terroristes tunisiens, ou franco-tunisiens, ou encore maghrébins en général, ont le vent en poupe, depuis l’éclosion du jasmin en Tunisie et le début du printemps dit arabe.
En effet, beaucoup de ces islamo-terroristes ont leur propre interprétation du soutien politique de la France à l’islamisme « modéré » qui est encore au pouvoir en Tunisie, sous la chefferie « spirituelle » de Rached Ghannouchi ! A plus forte raison le soutien implicite de la France aux islamo-fascistes qui opèrent en Syrie !
C’est pourquoi les opposants laïcs, qu’ils se trouvent en Tunisie ou en exil, attendent du gouvernement français un message suffisamment fort pour dissuader les criminels islamistes, galvanisés par le « printemps arabe », de toutes atteintes à l’intégrité physique des opposants tunisiens.
Nebil Ben Yahmed
Quant à Mohamed Amine Slama, il est le numéro 2 du Parti Pirate tunisien, que Slaheddine Kchouk a fondé et que le cyber-collabos Slim Amamou a essayé de s'approprier. Mohamed Amine Slama a été parmis les premiers cybers-activistes tunisiens à avoir participé à la "révolution 2.0". Depuis, il a rapidement compris les tenants et aboutissants de cette "révolution" suscitée par certains services et ONG américaines, dont il dénonce aujourd'hui les méfaits et forfaits. Il y a une semaine, son avocat Sabri Ziadi a été "suicidé" en Tunisie !
Les trois terroristes en question bénéficieraient de complicités déjà présentes en France et en Allemagne, qui seront chargées de leur fournir l’aide logistique nécessaire à leur basse besogne : armes, voitures, argent, repérage d’adresses, filature…
Outre ces quatre opposants irréductibles dont la presse tunisienne n’évoque jamais les noms ( !), beaucoup d’autres personnalités tunisiennes exilées en France ou en Europe se sentent d’autant plus menacées que les islamo-terroristes tunisiens, ou franco-tunisiens, ou encore maghrébins en général, ont le vent en poupe, depuis l’éclosion du jasmin en Tunisie et le début du printemps dit arabe.
En effet, beaucoup de ces islamo-terroristes ont leur propre interprétation du soutien politique de la France à l’islamisme « modéré » qui est encore au pouvoir en Tunisie, sous la chefferie « spirituelle » de Rached Ghannouchi ! A plus forte raison le soutien implicite de la France aux islamo-fascistes qui opèrent en Syrie !
C’est pourquoi les opposants laïcs, qu’ils se trouvent en Tunisie ou en exil, attendent du gouvernement français un message suffisamment fort pour dissuader les criminels islamistes, galvanisés par le « printemps arabe », de toutes atteintes à l’intégrité physique des opposants tunisiens.
Nebil Ben Yahmed