Evacuation des blessés devant le siège du journal Charlie Hebdo.
Selon les premiers éléments de l’enquête préliminaire, deux hommes cagoulés et vêtus de noir ont fait irruption, ce mercredi 7 janvier 2014, dans le siège de l’hebdomadaire satirique Charlie Hebdo aux cris d’Allah Akbar, en ouvrant le feu avec des kalachnikovs et d’autres armes lourdes dont des fusils à pompe.
Un bilan provisoire, confirmé par le parquet de Paris, fait état de 12 morts et de 6 blessés graves. Il y a dix journalistes, dont les célèbres caricaturistes Cabu, Tignous et Charb, et deux policiers tués, dont un abattu dans la rue par l'un des barbares qui a crié par la suite "nous avons vengé le prophète" (voir vidéo ci-dessous). Dans cette vidéo, avant de recevoir une balle dans la tête, le policier a dit au terroriste, "Je suis musulman". Ce courageux policier d'origine algérienne s'appelait Ahmed Merabet, il avait 42 ans. L'autre policier abattu à l'intérieur des bureaux de Charlie Hebdo s'appelait Franck Brinsolaro et il avait 49 ans.
Selon des témoins, les terroristes, cagoulés, semblent avoir été déterminés, aguerris et bien entraînés aux maniements des armes. Ils ont pris la fuite à bord d’un premier véhicule, ensuite d’un second qu’ils ont abandonné à la Porte de Pantin.
Certains médias, dont le quotidien islamiste « modéré » Le Monde, vont probablement parler de « loups solitaires » ou d’éléments « auto-radicalisés », des concepts inventés ces deux dernières années pour éviter la seule expression les désignant, à savoir islamo-terroristes.
Tunisie-Secret, qui a mis en garde depuis toujours du péril islamiste en France et ailleurs, n’attendra pas les conclusions de l’enquête pour affirmer que les terroristes qui ont commis cet « acte d’une exceptionnelle barbarie », selon François Hollande, sont des djihadistes « français » qui sont revenus de Syrie. Grâce à la vigilance des forces de police et à la détermination de Manuel Valls, qui connait bien le phénomène, plusieurs attentats ont été évités depuis des mois.
Charlie Hebdo était dans le collimateur des islamistes "modéré" depuis la publication des caricatures du prophète, le 6 février 2006. Le siège de Charlie Hebdo a déjà subi en 2011 un incendie. Ces islamistes "modérés", qui s'exprimaient dans les télévisions françaises avaient à l'époque violemment condamné l'audace de ce journal satirique en y voyant un sacrilège et une "atteinte à l'islam". Aujourd'hui, leurs frères en secte ont exprimé à leur manière cette désapprobation.
Maintenant que Daech a frappé au cœur de Paris, il est peut-être temps pour le gouvernement français de revoir entièrement sa politique étrangère vis-à-vis de l’Etat syrien, qui résiste depuis quatre ans aux hordes islamo-fascistes et qu’il faut désormais soutenir, et vis-à-vis du Qatar et de la Turquie, qui sont les principaux Etats qui soutiennent l’Internationale islamo-terroriste.
Tunisie-Secret
Vidéo des terroristes abattant un policier courageux :
https://www.youtube.com/watch?v=johD9NMi6r0
Informations complémentaires (20h05)
Selon Pierre Martinet, ancien sous-officier instructeur parachutiste (sergent-chef) et ancien agent du Service action de la DGSE, les terroristes qui ont attaqué Charlie Hebdo aujourd’hui sont:
Saïd Kouachi, né le 7 septembre 1980 à Paris, français d’origine algérienne.
Chérif Kouachi, né le 29 novembre 1982 à Paris, frère de Saïd.
Hamid Mourad, né le 8 juillet 1996 à Ignore, sans adresse fixe.
Les deux frères Kouachi sont revenus cet été de Syrie. L’un d’entre eux a été jugé en 2008 dans le cadre du démantèlement de la filière irakienne dite du « 19e arrondissement » de Paris. Il avait également été interpellé en 2005, alors qu’il s’apprêtait à partir pour Damas. Quant à Hamid Mourad, il était inscrit en Terminale S en 2014 dans un lycée de Charleville-Mézieres dans l’académie de Reims (Champagne-Ardennes).
L’un des assaillants, Chérif Kouachi., serait bien connu des services de police. Avec une dizaine d’autres, il aurait, entre 2003 et 2005 incité une dizaine de jeunes à partir combattre en Irak. Il avait été interpellé en 2005 au moment où il s’apprêtait à partir lui-même en Irak. À l’époque, il expliquait à la présidente du tribunal « Plus le départ approchait, plus je voulais revenir en arrière. Mais si je me dégonflais, je risquais de passer pour un lâche », avait-il expliqué à la présidente du tribunal. Il avait été condamné à trois ans, dont dix-huit mois avec sursis.
Un bilan provisoire, confirmé par le parquet de Paris, fait état de 12 morts et de 6 blessés graves. Il y a dix journalistes, dont les célèbres caricaturistes Cabu, Tignous et Charb, et deux policiers tués, dont un abattu dans la rue par l'un des barbares qui a crié par la suite "nous avons vengé le prophète" (voir vidéo ci-dessous). Dans cette vidéo, avant de recevoir une balle dans la tête, le policier a dit au terroriste, "Je suis musulman". Ce courageux policier d'origine algérienne s'appelait Ahmed Merabet, il avait 42 ans. L'autre policier abattu à l'intérieur des bureaux de Charlie Hebdo s'appelait Franck Brinsolaro et il avait 49 ans.
Selon des témoins, les terroristes, cagoulés, semblent avoir été déterminés, aguerris et bien entraînés aux maniements des armes. Ils ont pris la fuite à bord d’un premier véhicule, ensuite d’un second qu’ils ont abandonné à la Porte de Pantin.
Certains médias, dont le quotidien islamiste « modéré » Le Monde, vont probablement parler de « loups solitaires » ou d’éléments « auto-radicalisés », des concepts inventés ces deux dernières années pour éviter la seule expression les désignant, à savoir islamo-terroristes.
Tunisie-Secret, qui a mis en garde depuis toujours du péril islamiste en France et ailleurs, n’attendra pas les conclusions de l’enquête pour affirmer que les terroristes qui ont commis cet « acte d’une exceptionnelle barbarie », selon François Hollande, sont des djihadistes « français » qui sont revenus de Syrie. Grâce à la vigilance des forces de police et à la détermination de Manuel Valls, qui connait bien le phénomène, plusieurs attentats ont été évités depuis des mois.
Charlie Hebdo était dans le collimateur des islamistes "modéré" depuis la publication des caricatures du prophète, le 6 février 2006. Le siège de Charlie Hebdo a déjà subi en 2011 un incendie. Ces islamistes "modérés", qui s'exprimaient dans les télévisions françaises avaient à l'époque violemment condamné l'audace de ce journal satirique en y voyant un sacrilège et une "atteinte à l'islam". Aujourd'hui, leurs frères en secte ont exprimé à leur manière cette désapprobation.
Maintenant que Daech a frappé au cœur de Paris, il est peut-être temps pour le gouvernement français de revoir entièrement sa politique étrangère vis-à-vis de l’Etat syrien, qui résiste depuis quatre ans aux hordes islamo-fascistes et qu’il faut désormais soutenir, et vis-à-vis du Qatar et de la Turquie, qui sont les principaux Etats qui soutiennent l’Internationale islamo-terroriste.
Tunisie-Secret
Vidéo des terroristes abattant un policier courageux :
https://www.youtube.com/watch?v=johD9NMi6r0
Informations complémentaires (20h05)
Selon Pierre Martinet, ancien sous-officier instructeur parachutiste (sergent-chef) et ancien agent du Service action de la DGSE, les terroristes qui ont attaqué Charlie Hebdo aujourd’hui sont:
Saïd Kouachi, né le 7 septembre 1980 à Paris, français d’origine algérienne.
Chérif Kouachi, né le 29 novembre 1982 à Paris, frère de Saïd.
Hamid Mourad, né le 8 juillet 1996 à Ignore, sans adresse fixe.
Les deux frères Kouachi sont revenus cet été de Syrie. L’un d’entre eux a été jugé en 2008 dans le cadre du démantèlement de la filière irakienne dite du « 19e arrondissement » de Paris. Il avait également été interpellé en 2005, alors qu’il s’apprêtait à partir pour Damas. Quant à Hamid Mourad, il était inscrit en Terminale S en 2014 dans un lycée de Charleville-Mézieres dans l’académie de Reims (Champagne-Ardennes).
L’un des assaillants, Chérif Kouachi., serait bien connu des services de police. Avec une dizaine d’autres, il aurait, entre 2003 et 2005 incité une dizaine de jeunes à partir combattre en Irak. Il avait été interpellé en 2005 au moment où il s’apprêtait à partir lui-même en Irak. À l’époque, il expliquait à la présidente du tribunal « Plus le départ approchait, plus je voulais revenir en arrière. Mais si je me dégonflais, je risquais de passer pour un lâche », avait-il expliqué à la présidente du tribunal. Il avait été condamné à trois ans, dont dix-huit mois avec sursis.