Chiheb Boughedir, la posture de l’imposteur, par Thomas Fiera


12 Février 2015

Plusieurs fois plagié par Chiheb Boughedir, Thomas Fiera a fini par réagir, mais sans montrer la face vraiment hideuse de cet imposteur, faute de connaitre son passé et ses motivations opportunistes. Rcédiste dépité sous l’ère Ben Ali, Chiheb Boughedir est devenu hyper-révolutionnaire après. Sa nouvelle idole, un certain Moncef Marzouki. Le 29 novembre 2013, il twettait au sujet de nos confrères de Kapitalis : « Et la très rcédiste officine Kapitalis défend les chiens de garde de Ben Ali et ses larbins ». Il a oublié l’un de ses nombreux articles publié dans Réalités No 1256, du 21 janvier 2010, dédié à la gloire de Ben Ali, alors que l’hommage devait être rendu à Taoufik Boughedir, son oncle décédé le 2 janvier, et qui était un valeureux destourien outre ses talents d’écrivain et de journaliste. Faute d’une carrière semblable à celle de son oncle, ou de son cousin Férid Boughedir, taxé par Nawaat de « cinéaste mauve », notre petit prof de français ( !) scribouille sur facebook et sur son blog Tunivers, en stigmatisant tous ceux dont il envie la culture et en plagiant ses amis (virtuels) français. L’un d’eux l’a dénoncé, voici son article.


Le "professeur" plagiaire Chiheb Boughedir.
Pour être franc, je ne connais rien à la situation politique tunisienne et je me garderai bien d’y mettre mon grain de sel ou de décerner des prix de démocratie à telle ou telle personnalité que je ne suis pas en mesure d’évaluer.

Par contre, quand un mec – qui par ailleurs se dandine, se pavane et se donne à voir comme le parangon de toutes les vertus, le grand Humaniste de service et l’inventeur de la démocratie et du pain de mie en tranche – me vole mes articles et ceux d’autres blogueur en se les attribuant, il n’est pas besoin d’être titulaire d’un doctorat en droit pour s’autoriser à le taxer de voleur.

Quand ce même mec à qui je m’adresse discrètement pour qu’il cesse ses agissements ne prend pas la peine de me répondre et qu’il bloque mon compte facebook, il n’est pas besoin d’être urologue pour s’autoriser à le taxer de couille molle.

Quand enfin, ce triste sire crie au complot, à la diffamation et se drape dans sa dignité blessée en me traitant de mercenaire et de quelques autres noms d’oiseau (sans toutefois oser me nommer explicitement, le fripon…), il n’est pas besoin d’être philosophe ou théologien pour s’autoriser à penser que monsieur Chiheb Boughedir possède le niveau de moralité d’un ténia.

Le voleur qui accuse le volé, le plagiaire qui accuse le plagié voilà qui ne manque pas de culot.

Ce petit homoncule compte sans doute parmi ses admirateurs d’authentiques démocrates bernés par ses impostures et c’est à eux qu’aujourd’hui je m’adresse. Pour qu’ils ouvrent les yeux et parce que la Tunisie mérite mieux que des pseudos humanistes tout juste bons à piller les mots et les idées des autres.

Et je remercie par avance, tous ceux qui voudront bien transmettre cet article à ces honnêtes gens grugés et abusés. Quant à Monsieur Boughedir, je ne souhaite pas me venger de lui, ni l’humilier, ni le moquer.

Tenez, si je le voyais là, en face de moi, au milieu du trottoir, je ne lui ferais rien du tout, j’éviterais juste de marcher dedans… Même si on dit que ça porte bonheur !

Thomas Fiera

Source de l’article :
https://thomasfiera.wordpress.com/2014/10/16/chiheb-boughedir-la-posture-de-limposteur/

Chiheb Boughedir au meeting de son patron Moncef Marzouki, le 17 décembre 2014 à Sidi Bouzid.